Keisuke Kotobuki

Cette série continue sur sa lancée. Elle exploite l’univers ludique et fantastique des jeux enfantins pour créer un univers très fantasque, tout comme les personnages qui le peuplent. Publié en couleur, le dessin reste dans des gammes très pastels et très nature pour un rendu très agréable à lire, et ce, dès 10 ans. Les chapitres pouvaient sembler n’avoir ni queue ni tête mais ce tome dévoile peu à peu le fil conducteur de l’histoire. La fin laisse un suspens très agréable et on a hâte de lire le tome 3.
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Je connais peu l'univers du manga BD. Ma fille de 9 ans ayant envie d'en lire, j'ai demandé conseil à la médiathèque que nous fréquentons. La bibliothécaire m'a sortie cette série.



Et là quelle merveilleuse découverte ! Un manga joli à regarder dès la couverture, des histoires pleines de douceur, d'humour et de poésie. C'est avec bonheur que je les ai lu après ma fille, qui a beaucoup aimé aussi.



La mythologie japonaise est très présente dans l'univers de Kamisama, avec des petites déesses espiègles et des enfants qui deviennent leurs amis. Ce sont de petites histoires, un peu comme des nouvelles. Seule une histoire se retrouve à travers les 3 tomes, le récit d'une amitié entre une petite fille et un chat.



Bref, pour tous, petits et grands rêveurs, je conseille ce petit bijou et sa suite !

J’avais adoré Kamisama (série en trois tomes) et suis très contente de retrouver son auteur Keisuke Kotobuki. Toujours destiné à de jeunes lecteurs (on appelle ce genre Kodomo au Japon), il joue sur le décalage entre réalité quotidienne, imagination et magie. Ainsi plusieurs petites histoires se suivent et mettent en scène Karin, Yuzu mais aussi d’autres enfants de leur entourage. Espièglerie, humour et farce sont aux rendez-vous.



Les dessins peuvent sembler enfantin d’un premier abord, tout comme le découpage des planches très rectiligne. Cela permet pourtant une meilleure lisibilité de l’image comme du texte. Le manga se lit dans le sens européen et est en couleur. Notons ici l’effort de la maison d’édition de permettre une plus grande facilité de migration entre la bd francà-belge et le manga. Les tout jeunes lecteurs à qui il est destiné sauront y trouver leurs marques rapidement.



La cohérence de l’ensemble est splendide et la série séduira un public tout aussi féminin que masculin. Une belle série pour introduire le manga de qualité dans les maisons.
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Une succession de petites histoires charmantes, envoûtantes, drôles et mignonnes.

Un manga frais, décalé et plein de poésie.

Je poursuis ma lecture avec le tome 2 de ce manga.

Toujours autant de bonheur et de simplicité a suivre coco.

Les illustrations sont douces et gourmandes.

L'histoire se poursuit avec la découverte d'autres personnages.

L'identité de coco sur ces pouvoirs magiques sont toujours secret...

De temps en temps je lis les livres, bd et mangas de mes enfants.

Aujourd'hui j'avais envie de tester ce manga avec ces jolies dessins colorés.

J'ai aimé l'univers magique, léger et gourmand.

On passe un bon moment de lecture, je vais lire les 2 autres tomes avec plaisir.

Coco l'île magique est la nouvelle venue de la collection "Kids" de chez ki-oon qui, comme son nom le laisse deviner, est une collection destinée aux plus jeunes, avec un choix de titres sympathiques et mignons idéal pour les premières lectures mangas. Après Momo et le messager du soleil qui possédait un petit côté Osamu Tezuka, voici Coco, l'île magique , un titre posé sous le signe de la magie...



Au niveau du visuel, nous avons affaire à un petit manga fort agréable avec moins de paginations, une couverture simple et accueillante et .surtout à l'intérieur, une très chouette colorisation de la part du mangaka Keisuke Kotobuki. Une colorisation de qualité réalisée de manière manuel sans artifices numériques. Ce titre est un manga mais il possède aussi une belle touche d'album jeunesse dans son dessin, ceci sans compter que la lecture est ici adaptée à l'occidentale.



Sur la forme, nous avons donc un début de série qui convient parfaitement aux plus jeunes à partir de 6-7 ans. Forcément, suivant la tranche d'âge, l'intrigue sera plus ou moins intéressante mais ce premier volume de Coco, l'île magique ne se résume pas en un suite de strips tout mignons mais possède une véritable histoire. Dans un sens, ce titre, c'est de L'atelier des sorciers en version ultra-light de par ce caractère légèrement enchanteur que le mangaka donne sans problème à cette fantasy jeunesse.



Sans aller jusqu'à trop d'effusions, ce premier volume de Coco promet une jolie petite ballade plus ou moins trépidante dans laquelle nous suivons donc une fille, une apprenti magicienne qui possède un mal fou à contrôler ses pouvoirs. L'apprentie sorcière a tendance à faire exploser les divers artefacts du quotidien à cause de sa magie trop puissante. Mais, malgré ses accidents continuels, un être venu d'ailleurs va venir lui demander son aide...



Ce premier volume est un peu avare en terme de magie. Le mangaka limite les effets pyrotechniques pour nous faire découvrir une atmosphère plus douce, soigné par le travail de couleurs et un découpage espacé privilégiant des plans larges. Pour autant, l'intrigue reste bien présente avec une apparition de personnages inquiétants et le lien qui commence à se former entre notre héroïne et la mascotte venue d'ailleurs.



Une combinaison bien équilibré, adapté pour un lectorat voulu, peut-être un peu trop car on peut regretter que le dessinateur n'ait pas pris un peu de plus de risques dans ses décors, dans cet environnement qu'est cet île magique. Ainsi, malgré son style délicat, ce premier volume est parfois un petit peu froid dans ses décors, une froideur qui n'est pas forcément relevée par ses personnages un peu simples et lisses mais ce ne sont que des détails pour un titre avant tout destiné au jeune lectorat...



Sans être totalement envoutant, ce premier volume de Coco, l'île magique jette un charme qui devrait toucher sans problèmes le cœur des plus jeunes lecteurs...

"Les contes de la colline" sont le deuxième volume de Kamisama. On y découvre des petites déesses espiègles et un chat très attachant.



Cette fois, chaque chapitre est lié aux autres histoires. On s'attache aux personnages, à leur fraîcheur, et on ne peut qu'admirer les illustrations de l'auteur dont les couleurs sont douces et apaisantes.

Le manga s'ouvre directement sur Yuzu découvrant avec émerveillement le pays des fées blanches. N'ayant pas lu le tome 2, je suppose qu'elle a atterri ici à la fin du chapitre précédent... Onirique à souhait, cet univers fascine la petite fille qui aimerait partager sa découverte avec ses amies. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Les voilà qui arrivent, escortées par d’intrigants lapins géants. Les trois amies questionnent alors les fées pour en savoir plus sur ce monde parallèle, si proche du leur et si différent. Mais les fées peinent à donner des réponses claires et les voilà déjà de retour chez elles... Comme dans le premier tome, on suivra alors des scénettes dans lesquelles les deux mondes se croisent et où la magie se mêle au quotidien des enfants.



Entre Alice au pays des merveilles et le monde de Miyazaki, un troisième tome mignon, que j'ai préféré au premier, et qui nous fait retomber en enfance.
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En couleurs et dans le sens de lecture occidental, Roji ! peut laisser les adultes de marbre mais s’en sort bien mieux lors d’un crash test auprès d’enfants. Bonne intro au manga, Roji ! s’enrichit au fil d’incartades sur le terrain du fantastique.
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Roji ! est un manga sympathique, parfait pour les plus jeunes et les réfractaires aux mangas : il est publié dans le sens de lecture occidental et il est en couleurs. Le graphisme montre des personnages aux formes adoucies et aux couleurs tendres, qui évoluent dans un strict univers urbain. Après les premiers chapitres, les quatre personnages principaux sont présentés au lecteur : deux soeurs très différentes, leur meilleur ami et ... leur chat. Je ne vous cache pas que c'est la présence de Zanzibar qui m'a donné envie de postuler pour ce manga !

Il comporte neuf chapitres, qui sont autant de courts récits pour nous montrer les aspects ordinaires et extraordinaires de ce quartier où les adultes sont curieusement absents et les enfants très débrouillards. Il faut dire qu'ils sont confrontés à des phénomènes étranges : métamorphoses, apparitions d'êtres merveilleux et phénomènes climatiques inexpliqués. Pour l'instant, ces manifestations ne sont pas trop effrayantes, du moins pour un public adulte car elless ne sont pas durables. Je me demande quelle orientation prendra le second volume, et s'il exploitera toutes les pistes de ce premier tome.

Roji ! est en tout cas un manga agréable à lire, qui devrait plaire aux enfants.
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Merci à masse critique et aux éditions Ki-oon pour l'envoi de ce manga.

C'est un manga qui plaira plus aux filles qu'aux garçons, puisque les héroïnes sont des filles et il n'y a pas beaucoup d'actions ni de bagarres. On lit avec plaisir le quotidien de deux sœurs au caractère opposé, à qui ils arrivent des tas de petites aventures assez farfelues avec une pointe de fantastique. J'ai bien envie de lire la suite. Je le recommande des 8 ou 9 ans.

Une merveille de douceur et d'humour. Un manga magique qui fait chaud au coeur.

Les personnages sont à croqués, attachants et loufoques!

Les dessins en couleurs sont tout en douceur.

A recommander à tous!

Nous rentrons dans ce tome un peu plus dans les détails magiques.

Mais il reste encore beaucoup de zones d'ombres.

Toujours haut en couleur, les illustrations sont mignonnes.

C'est un bon manga où on peut poser sont cerveau et faire un retour avec notre imaginaire.

Retrouver Coco, c'est s'offrir un moment douceur et magique. On est un peu comme enveloppé dans un cocon. Coco a une force magique surprenante mais elle n'arrive pas vraiment à la maitriser et manque de confiance en elle.

Comme tout le monde, elle aime dormir, manger, et encore plus manger avec des amis. Les planches sont très belles et toutes douces grâce à la qualité papier du manga, ce qui contribue à nous envelopper. le ciel et la nature ressortent si bien, ainsi que les couchers de soleil ...

C'est bon enfant, mais on a aussi besoin de ce genre de choses de temps en temps. J'aime voir la complicité qu'ont souvent les personnages entre eux.



Au début, nous reprenons là où nous nous étions arrêté avec cette sorte de gros chat. Coco et Terio vont devoir se défendre, tandis qu'ils sont observés.

Il y a une sorte de complicité qui naît entre Terio et Coco, c'est touchant et mignon.

Nous en apprenons un peu plus sur le système magique, Coco fait beaucoup d'entrainements mais trouvera-t-elle la bonne personne pour l'aider et l'aiguiller ?



Nous rencontrerons également un personnage assez intéressant qui se dit chercheuse, je vous laisse la découvrir.

Nous prenons plaisir à voir la magie des moments passés ensemble avec ses amis, mais également la magie se déployer, ça fait son petit effet :)



Il y a des petits moments amusants, des petits répliques savoureuses, notamment de la part de Terio.

C'est un titre jeunesse mignon et sympathique, de plus on aimerait bien en savoir plus et voir Coco évoluait.

Roji ! séduit d’emblée par ses dessins qui sont, fait rare pour un manga, colorisés ! Keiseku Kotobuki a un coup de crayon très fin et très enfantin qu’il renforce par l’utilisation de couleurs pastel et qui charme dès les premières pages. Le style du mangaka n’a rien de réaliste, mais transpire le merveilleux. Il y a une véritable harmonie des couleurs, une douceur dans les traits des personnages, mais également un côté très « gag » qui font de Roji !, un manga tout particulièrement adorable et agréable à lire. Bref, c’est juste mignon comme tout !



20130405092705_t2Pour construire son histoire, Keiseku Kotobuki a recours aux légendes urbaines dont les Japonais sont très friands. En effet, chaque ville, chaque quartier même, possède ses petites histoires mystérieuses et parfois terrifiantes et il n’est pas rare de les retrouver dans la littérature et dans le cinéma japonais. Dans le cas de Roji !, c’est le centre même de l’histoire et on suit ce petit groupe d’enfants qui part sans cesse à l’aventure avec pour objectif de percer les différents mystères qui entourent Kamishiro. Et puis, plus l’histoire avance, plus on se rend compte qu’il ne s’agit pas forcément de légendes et qu’on bascule peu à peu dans le fantastique et le merveilleux.
Lien : https://minimouthlit.com/201..

Dans ce premier volume de Kamisama, on découvre 3 petites scénettes, qui apparemment n'ont pas vraiment de lien.



Si les illustrations sont super mignonnes, les petites histoires un peu oniriques ne sont pas franchement des plus palpitantes. Pour autant, il y a de belles scènes dans chacun des chapitres et il y a une certaine poésie dans le style de l'auteur.

Les dessins sont très mignons et très enfantins, j'aime beaucoup cet univers coloré et naïf.



Pour l'histoire, c'est autres chose... Certains chapitres sont plutôt bons, d'autres m'ont laissé sur ma fin car partent trop dans le fantastique.



Une découverte mitigée mais comme j'ai pris le tome 2 aussi j'irais au moins jusque là!

Les enfants font la connaissance des fées et continuent à vivre dans un monde étrange qui devient à tout instant un terrain de jeu.



Le volume est divisé en différentes aventures. La série devient malheureusement un peu circulaire.

Les enfants continuent leur exploration. La canicule les amène à la recherche d'eau. Ils découvrent à cette occasion une étrange forêt, peuplée par des fées...



Un tome qui tend à incliner la série du merveilleux vers le fantastique.