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Le blues du troglodyte de Kenneth Cook
J'ai un double problème quand je m'endors : j'ai toujours peur de ne pas me réveiller et toujours conscience qu'il va probablement falloir que je finisse par me réveiller.
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Note moyenne 5 (sur 1291 notes)
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Le blues du troglodyte de Kenneth Cook
J'ai un double problème quand je m'endors : j'ai toujours peur de ne pas me réveiller et toujours conscience qu'il va probablement falloir que je finisse par me réveiller.
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A coups redoublés de Kenneth Cook
Il était d’une taille gigantesque et d’une énergie extraordinaire. […] Jenny était aussi grasse que lui, mais toute petite. […] D’ailleurs, vus de dos quand ils trottaient dans l’hôtel, côte à côte, ils ressemblaient à un éléphant et son éléphanteau. Mick Buchanan le gérant et sa femme Jenny. |
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Le blues du troglodyte de Kenneth Cook
Tony aime donner l'impression qu'il est un obsédé sexuel enragé, réfrénant ses pulsions grâce aux limites imposées par sa philosophie, contrairement au reste d'entre nous qui réfrénons nos pulsions grâce aux limites imposées par nos capacités.
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À toute berzingue de Kenneth Cook
L'homme a toujours eu ses démons. Plus ces démons lui ressemblent, plus ils sont terrifiants.
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La vengeance du wombat : Et autres histoires du bush de Kenneth Cook
Au clair de lune comme à l’aurore, l’endroit est serein, charmant, parfait pour le repos et la méditation. Ne vous en approchez jamais. Il est truffé de wombats redoutables. J’aimais beaucoup les wombats, avant. A première vue, ces aimables créatures ressemblent à des oursons, se baladent tranquillement la nuit et mastiquent innocemment des racines. La vérité est tout autre. |
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À toute berzingue de Kenneth Cook
À l’ouest, le lac plat du désert se fractura un océan de sable. De longues et hautes vagues, dont les crêtes scintillaient au clair de lune, s’étiraient à l’infini, en lignes parallèles. Toujours en mouvement mais ne se brisant jamais, elles progressaient imperceptiblement dans le lac des plaines.
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À toute berzingue de Kenneth Cook
Le désert se décline en mondes différents. Rocaille. Sable. Pierre. Puis les étranges lignes de broussailles à l’emplacement des anciens soaks. La seule constante, c’est l’isolement extrême. L’isolement et l’immuable soleil assassin. P.90 |
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Cinq matins de trop de Kenneth Cook
Il atteignit l'hôtel, traversa le plancher affaissé de la véranda et entra dans le bar. On y était à l'ombre, mais pas au frais. Il ne faisait jamais frais à Tiboonda, mis à part les nuits de plein hiver, quand le froid te pénétrait les os. En hiver, on désirait l'été; en été, on désirait l'hiver; et été comme hiver, c'était bien le diable si l'on ne souhaitait pas être à des milliers de kilomètres de Tiboonda.
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L'ivresse du kangourou et autres histoires du bush de Kenneth Cook
C'était un moment touchant : piégés et coupés du monde dans une cellule en pierre au beau milieu du blizzard, un homme et un rat communiaient d'une manière mystique et immémoriale. Puis la petite brute plongea ses dents de devant dans l'index de ma main droite (p. 121)
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Le koala tueur : Et autres histoires du Bush de Kenneth Cook
Mais il faut bien reconnaître que les amitiés de bistrot sont rarement durables.
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"ça colle ?" est une expression de ...