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3.97/5 (sur 480 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Port Alberni, British Columbia , le 31/08/1967
Biographie :

Kenneth Oppel est un écrivain canadien contemporain.

Il commença dès son jeune âge à écrire des livres . Il a écrit une vingtaine de romans dont une majorité destinés aux enfants. Il est, on le remarque dans ses livres, passionné de Fantasy et de Science-fiction. Les chauves-souris, des animaux qui le fascinent, lui ont inspiré un monde nocturne envoûtant qu'il décrit dans une saga.
Les tomes de cette série sont intitulés Silverwing, Sunwing et Firewing.
Un nouveau tome, Darkwing, est sortit en 2007 mais il ne reprend pas l'histoire des trois autres.

Source : Wikipédia.fr
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Kenneth Oppel Is 'Boundless'


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Ombre survolait en rase-mottes les berges du ruisseau quand il entendit le bruit caractéristique d'un hanneton en train de se chauffer les ailes. Aussitôt, il agita furieusement les siennes et fonça sur ça proie, guidé par l'harmonieuse stridulation. Il était quasi invisible dans le ciel nocturne; seul les rayures argentées de son épaisse fourrure noire reflétaient parfois un rayons de lune.
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Kate s'arrêta pour contempler les gigantesques ballonnets dont les parois frémissaient à six mètres au dessus de nos têtes.
- Il sont magnifique ! s'exclama-t-elle, enchantée. De quoi sont-ils fait ?
- D'une matière appelée "soie des doreurs".
- Quel jolie nom !
- A vrai dire, c'est une peau fabriquée à partir d'intestins de vache, spécialement traitée pour devenir imperméable au gaz.
Cela ne paru pas la dégoûter le moins du monde.
- Il à dû falloir un bon nombre de bêtes, commenta-t-elle avec gravité.
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- Quand même, soupira-t-elle, je me demande quel genre de vie nous aurons ensemble: moi qui m'envolerai dans une direction, vous dans l'autre...
- Heureusement que la Terre est ronde, lui répondis-je en souriant.
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Cela viendrait plus tôt, dis mère, si l'éducation des filles n'avait pas pour but de faire d'elles des créatures faibles et simples d'esprit qui gaspillent leur véritable potentiel.
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—Quelle est la longueur exacte du train?
—Combien de passagers transporte-t-il?
—Terminera-t-il son voyage inaugural à l’heure ?
Debout sur le quai, à côté de la gigantesque locomotive, Will et son père font face au barrage de questions posées par les journalistes. Bien que la journée d’avril soit fraîche, Will sent la chaleur de la puissante chaudière. —Eh bien, messieurs, commence le père de Will en souriant avec aisance aux reporters, Le Prodigieux est tout bonnement le plus long train du monde. Lorsque nous aurons fini d’atteler les derniers wagons, la locomotive en tirera neuf cent quatre-vingt-sept.
—Est-elle assez forte ? lance un journaliste au corps anguleux.
Le père de Will prend un air ahuri.
—Assez forte ? Regardez-la, messieurs!
Will la contemple, lui aussi. La locomotive fume, son haleine brûlante, soufflée par les vastes cheminées de sa chaudière haute de trois étages, se recroquevillant dans le ciel. Sur le quai de la gare, il sent le tremblement de sa puissance contenue à grand-peine. Noire et massive, elle donne l’impression d’avoir été forgée par le tonnerre et la foudre. C’est un galion d’acier posé sur neuf essieux soutenant des roues imposantes. Derrière le foyer dépassent les échafaudages sur lesquels des hommes couverts de suie attendent de jeter du charbon dans la chaudière et de mettre Le Prodigieux en branle.
—C’est la plus puissante locomotive du monde, précise le père de Will à l’intention des reporters. Elle réussirait à tirer la lune de son orbite si seulement nous étions en mesure de l’y arrimer. Quant à sa force, sachez que, à supposer que vous décidiez de faire le trajet à pied, il y a plus de sept milles entre elle et le fourgon de queue. Selon notre manifeste, 6 495 passagers prendront place à bord. Et je crois bien ne plus avoir de chiffres à vous fournir, messieurs!
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La fièvre ne retrouva jamais sa virulence du début, mais elle refusait de disparaître. Après une embellie en matinée, elle était de retour en fin d’après-midi, telle une tempête infernale qui s’apaise un instant pour mieux renouveler sa fureur.
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Kenneth Oppel...quoi dire de plus; - qu'Excellent auteur! -, j'ai pratiquement tout ces livres, reste à voir..

Ce premier tome d'un deux....seulement me suis-je dit avec déception à la fin du deuxième tome.
J'ai carrément dévoré ce roman, il était dans mes mains en voiture(en tant que passager..), en mangeant, au matin sitôt éveillé, avant de dormir, vécu de beaux moments, sauf peut-être ma femme qui a trouvée que deux tome, était assurément assez pour le bien de notre couple. hihi!

Il m'a agréablement surpris avec l'histoire de Frankenstein qui, sous sa plus, m'a vraiment séduit voir même, envouté.
Sortir du personnage que l'on connaissait tous, et en modeler un tout autre différente avec toute l'histoire familiale et les personnages très attachants, ne serait surement pas aisé pour la majorité, sauf pour Mr.Oppel.
Passant du triangle amoureux cliché..heu non détournez-vous, ce n'est habituellement mon genre ce cliché blasant des triangles amoureux, mais ici, il nous le sert différemment, des sciences occultes, secrets familiales obscurs oubliés, passages secrets dans le château des Frankenstein,, le drame et de belles intrigues qui se succèdes sans cesses.

Un magnifique roman d'aventure fantastique, sombre, au concentré des sciences alchimiques, mais..
précisons-le, pas tout à fait pour les moins de 13-14 ans, à mon avis, tout dépend de nos convictions et valeurs.

Depuis ce premier roman lu de Kenneth Oppel, Canadien tout comme moi, je n'ai cessé d'acheter et lire ces livre, et ce même s'ils étaient dédiés à un public plus jeune, je suis devenu un fan de Mr.Oppel.
Merci pour d'avoir un jour, mit ta plume sur le papier et partager tes univers.

Respectueusement,
veda

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Vous avez donc tant besoin de voler? Murmura Kate.
Si je ne vole pas, ça me rattrapera.
Les mots étaient sortis tout seuls.
Qu'est ce qui vous rattrapera?
Haletant, je relevais la tête:
Le chagrin.
Kate me fixait, patiente.
Quand mon père est mort, j'ai cru ne plus jamais pouvoir être heureux. Mais je l'ai été. Dès que j'ai commencé à travailler sur l'Aurore, j'ai adoré ça. C'est l'univers où je suis né. Ce sont toutes les histoires de mon père. Je rêve de lui, la haut ; jamais sur Terre.
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Elles sont bizarres, tout de même, ces conversations obliques. Le regard de Konrad ne peut pas croiser le mien. Je peux le détailler, tandis que lui doit se contenter de me deviner. Je suis conscient de cette inégalité, mais elle ne m’inspire aucune pitié. Pendant toutes nos années de vie commune, je n’ai jamais réussi à l’égaler. Lorsque je l’aurai ramené à la vie, cependant, les choses seront sans doute différentes. L’échiquier de nos vies sera transformé à jamais.
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— Zan, dis-je. Tu t’appelles Zan.
— Nous devons aussi lui apprendre nos noms à nous, dit papa.
Il fit le signe pour père : les doigts d’une main écartés, il toucha deux fois son front avec son pouce.
— Papa, répéta-t-il encore et encore en reprenant chaque fois le même geste.
Le voir affirmer qu’il était le père de Zan faisait un drôle d’effet.
Une partie de moi jugeait même que c’était une erreur. Le signe pour mère était presque identique. (...)
Lorsque maman s’exécuta, le geste ne me sembla pas si faux.
Peut-être parce qu’elle passait beaucoup de temps avec Zan et s’occupait de lui comme l’aurait fait sa vraie mère dans la
nature.
— Bon, à présent, montre-lui le signe pour frère, me dit mon père.
Soudain, je me sentis mal.
— Pas envie, lui dis-je.
— C’est un des aspects les plus importants du projet, me rappela papa.
Je secouai la tête.
— Peut-être, mais c’est un mensonge.

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