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3.88/5 (sur 989 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Détroit, Michigan , 1966
Biographie :

Kim Harrison est le pseudonyme de l'auteure de fantasy et de bit-lit Dawn Cook.

Après avoir obtenu son baccalauréat universitaire en sciences (BSc), elle a déménagé en Caroline du Sud où elle a vécu pendant dix ans.

Sous le nom de Dawn Cook, elle publie les séries Princess (2005-2006) et Vérité (Truth, 2002-2004).

Sous le nom de Kim Harrison, elle est surtout connue pour sa série de fantasy urbaine "Rachel Morgan" (The Hollows) dont le premier tome, Sorcière pour l'échafaud (Dead Witch Walking), a été publié en 2004.

Sa double identité a été révélée en mai 2009 dans la revue Locus.

Elle vit actuellement dans le Michigan avec son mari et ses deux enfants.

sites de l'auteure:
http://www.kimharrison.net/
http://www.dawncook.com/

page Facebook :
http://www.facebook.com/pages/Kim-Harrison/65772714939
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Source : amazon.fr
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Interview de Kim Harrison (en anglais)


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Son argent le rend aussi glissant que de la bave de crapaud sous une averse. L’argent ne peut pas acheter l’innocence, mais suffit pour le silence.
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Tu as le droit de la boucler (…) Si tu renonces à ton droit de garder la bouche fermée, je serai forcée de te la boucler moi-même. (...)
Tu as droit à un avocat. Si tu ne peux pas t’en payer un, t’es cuite.
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Cette nuit, mon renfort était vraiment très près, perché sur ma boucle d'oreille. Un grand machin qui se balançait. La boucle d'oreille, pas le pixie. Jenks était un petit péteux prétentieux, insupportable et doté d'une humeur de chien. Mais il savait de quel côté du jardin se trouvait son nectar.
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Les yeux de Barnabas s’étrécirent. L’espace d’un instant, ils prirent un reflet argenté ; il puisait dans le divin. Ça me fichait vraiment la frousse.
- Impossible à dire, répondit-il. Ils ont tous dix-sept ans à part la fille en maillot de bain rouge et le petit brun.
- Bon, alors, et le Faucheur ?
Personne ne portait d’amulette mais, comme leur pierre pouvait changer d’apparence, ça ne signifiait pas grand-chose. Encore un talent dont j’étais dépourvue.
Il haussa les épaules sans quitter les adolescents des yeux.
- Le Faucheur n’est peut-être même pas encore arrivé. Son aura sera celle d’un jeune de dix-sept ans, exactement comme les nôtres. Je ne connais pas tous les Faucheurs des ténèbres, et je ne pourrai être sûr de son identité que lorsqu’il ou elle aura sorti son épée.
Sortir son épée, la planter dans quelqu'un, et le fauchage est terminé. Sympa. Le temps de savoir de qui provenait la menace, il serait trop tard.
Je regardai les ailes noires tournoyer comme des mouettes au-dessus du quai. A côté de moi, Barnabas manifestait des signes d’impatience.
- Tu veux les suivre, affirmai-je.
- Oui.
Il était trop tard pour confier la mission à quelqu'un d’autre. Le souvenir de mon cœur se mit à battre plus fort, vague réminiscence d’une vitalité que mon esprit n’arrivait pas encore à oublier, et j’agrippai le bras de Barnabas.
- Allons-y.
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Kim Harrison
Je suis contente que cela soit révélé à tous, car il m'était difficile de maintenir ces deux identités distinctes, et rappeler à vos amis ou votre famille quand vous sortez, je suis Kim aujourd'hui, il ne faut pas m'appeler Dawn. La séparation a atteint son but. Je suis toujours Kim, mais maintenant, si quelqu'un m'appelle Dawn, je ne dirais plus : Ferme ta gueule !
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Elle se leva précipitamment et disparut dans un tourbillon de brume nacrée plus éclatantes que les flammes du foyer. Alissa savait que sa forme animale le mettait mal à l'aise, car elle lui rappelait le matin où elle était devenue une bête sauvage sans la moindre trace de conscience humaine et avait essayer de le tuer.
Inutile observa l'image mentale d'Alissa tandis qu'elle tourbillonnait pour reprendre forme.
- J'espère qu'elle n'oubliera pas ses vêtements, dit-il, arranchant un sourire à Strell.
Pour une belle vue, cela avait été une belle vue, mais personne ne savait qu'il en avait été le spectateur.
La brume nacrée qui était Alissa tourbillonnait toujours et le sourire de Strell s'effaça. Inutile tiqua également. C'était bien long pour une métamorphose, même pour Alissa. Horrifiés, ils virent la forme fantomatique s'estomper, puis rétrécir encore et encore, jusqu'à disparaître complètement, comme une bulle qui éclate.
Inutile cligna des yeux dans le silence pesant qui s'ensuivit et se leva du banc, les mains tendues pour palper le vide devant lui.
- Alissa ? haleta Strell. Alissa ! appela-t-il encore, comme l'effroi s'insinuait telle une lame glacée entre son âme et sa raison. (Même l'empreinte ténue de sa pensée, dont il n'avait jamais eu conscience tant qu'elle était lovée, paisible et chaleureuse, au fond de son esprit, avait disparu.) Alissa !
Au même instant, dans la cuisine, la silouhette élégante de Lodesh se leva lorsque les cris de Strell lui parvinrent du jardin. Ses yeux brillaient; son heure était enfin arrivée.
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-Attention, lança une voix étouffée quisemblait surgir du sol. La falaise est juste devant vous!
Strell s'arrêta net. il regarda le sol et écarquilla les yeux. un ravin s'ouvrait juste devant ses pieds.
- Par la Meute! souffla-t-il, j'ai bien failli basculer.
- Je n'en reviens pas que quelqu'un d'autre passe par ici, lança la voix qui ajouta, après une pause: Avez-vous une corde ?
Strell se remit de sa surprise, rangea sa flûte et scruta le fond du ravin. loin en bas, la lumière des étoiles se reflétait sur l'eau. Soudain tout devint clair dans son esprit.
- C'est votre campement, là-bas, n'est ce pas ? s'exclama-t-il.
- Oui. Je suis resté coincée là toute la journée, répliqua la voix avec une pointe d'exaspération. Avez-vous une corde ?
Son accent était étrange. Ni vraiment des plaines, ni vraiment des contreforts, mais plutôt un mélange des deux.
- Euh, elle ne vous supportera pas. J'arrive tout de suite.
Strell s'assit et se laissa glisser le long du ravin.
- Non, attendez ! cria la voix, paniquée.
Strell perdit totalement le contrrôle de ses mouvements. Il rebondit et roula jusqu'à la petite rivière, où sa courbe s'interrompit si brutalement que ses dents s'entrechoquèrent sous l'impact. Des rochers et de la poussières dégringolèrent à sa suite et il se couvrit la tête en attendant la fin de la petite avalanche. Lorsqu'elle cessa, il leva les yeux vers le visage baigné d'ombre d'une jeune-fille.
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Elle inspira pour parler. Ses yeux se rivèrent aux miens, et je ne pus détourner le regard.
- Mais tu es faite pour ce travail, dit-elle à voix basse.
Moi, faite pour ce travail ? Choquée, je la dévisageai. Une goutte de vernis tomba sur la couette.
- Comment ça ? (Je replongeai le pinceau dans le flacon et me dépêchai de prendre un mouchoir en papier.) Tu as clairement dit que, à ton avis, je faisais fausse route. Comment pourrais-je convaincre les séraphins si je ne réussis pas à te convaincre, toi ?
Super. Papa va être furieux pour la couette. Je la tamponnai nerveusement pour essayer de nettoyer le plus gros de la tache. Lorsque je relavai la tête, Nakita m’observait d’un air interloqué.
- Je ne sais pas, reprit-elle, mais tu crois en ce que tu fais. Si les Gardiens du Temps changent c’est pour une bonne raison. Tu aides les gens…avec passion, même si je ne comprends pas ce que tu essaies d’accomplir. Les erreurs n’ont aucune importance. Ce qui compte, ce sont les actions qu’on entreprend quand les choses ratent.
Nos regards perdus se croisèrent. Je comprenais ce qu’elle disait – enfin, en quelque sorte – mais je ne parvenais pas à lui expliquer mon point de vue.
- Par ailleurs, poursuivit-elle à mi-voix en retournant à son vernis, si tu pars, tu vas me manquer.
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Tous les enfants nés dans les contreforts avaient les yeux bleus, la peau pâle et les cheveux clairs. Alissa n'était à l'évidence pas un modèle de fille de fermier. Elle ressemblait trop à sa mère, originaire des plaines. Et si les yeux et les cheveux d'Alissa étaient aussi clairs que ceux de son père, elle avait la haute taille et la peau sombre de sa mère. Son physique tenait de ses deux parents, de sorte qu'elle n'était acceptée par personne, méprisée et détestée de tous.
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Elle lui rendit son sourire, mais celui-ci s'évanouit bien vite. Elle avait entraîné Strell sans relâche pour qu'il sache à quoi ressemblaient sa source et ses tracés et qu'il réponde correctement aux questions de Bailic, mais elle se faisait du souci quand elle n'était pas là-haut pour rattraper d'éventuelles erreurs.
- Tout ira bien.
Strell lui adressa un hochement de tête solennel, manifestement ravi de la voir adopter une douceur et une docilité si inhabituelles chez elle. Le léger cliquetis des assiettes sir le plateau tandis qu'il s'éloignait sembla assourdissant à la jeune-fille.
Alissa revint à ses petits pains. Elle n'en crut pas ses yeux : il en manquait un. Il l'avait volé sous son nez. C'était la deuxième fois cette semaine !
- Strell ! lui cria-t-elle. Sois réduit en cendres !
Pourtant, un sourire se dessina sur son visage quand le rire du jeune homme lui parvint. La prochaine fois, elle l'aurait.
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