Je me coulai de nouveau jusqu'à la grosse fourmilière, dans la forêt, et observai les bestioles aussi longtemps que je pus voir clair. Plus tard, je m'assis, écoutant tomber les pommes de pin et les grappes de sorbier. Je chantonnais, murmurais et pensais ; de temps à autre, il me fallait me lever et marcher un peu à cause du froid.