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Critiques de Kouji Seo (159)
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Fûka, tome 17

Le groupe, pour avoir tenu tête à une « Nabab » du show-business japonais se voit refuser toutes les salles de concert malgré le succès commercial de leur dernier titre. L'essentiel, les jeunes musiciens ont sauvé leur maison de disque et les fiancés de Madame Amaya. Ils décident de vivre un mois sabbatique tout en cherchant chacun de leur côté apprendre, s'entraîner, trouver des coaches pour améliorer leur façon de composer, de jouer et de chanter. Fûka, la nouvelle, Aoi, reste avec Yû à Tokyo, dans l'appartement du groupe. Ils ont annoncé qu'ils sortaient ensemble. Fûka se fait des films de rester seule avec son amoureux. Sara est parti à Londres, retrouver le fondateur des Hedehogs pour améliorer son jeu de guitare. Makoto est parti retrouver son ancienne professeure pour le piano. Pendant ce temps, Yû travaille en espérant créer un chef-d'oeuvre en s'inspirant de quelques notes que l'un des membres des Hedehogs lui a donné.



Ce tome semble être un peu plus calme que les précédents. La tournée dans tout le Japon étant terminée, le groupe aspire à un peu de repos. Mais, plutôt que de dormir sur leurs lauriers, les jeunes musiciens veulent mettre à profit leur temps libre pour progresser. Chacun de leur côté vont cueillir çà et là de l'expérience. Ils travaillent, sont volontaires et redorent un peu l'image dee la jeunesse que la société à toujours tendance à critiquer. Ils rêvent d'atteindre leur inaccessible étoile. Ils savent que le parcours est jalonné d'embûche, d'ennemis potentiels, de jalousie. Il y a beaucoup de candidats dans ce milieu mais peu d'élus. Ce n'est pas en étant vire satisfait de sois-même qu'on avance. Ce tome pourrait nous faire croire que nous sommes en pause. Mais les sentiments des personnages se développent le doute s'installe mais ils surmontent leurs&prouvent qu'ils s'imposent. Ce manga est très émouvant. On peut voir les adolescents mûrir, progresser, évoluer. le graphisme est somptueux. Attention tout de même, le mangaka a tendance de plus en plis souvent à érotiser ses personnages féminins. Ca peut déranger certains lecteurs. Personnellement, je ne peux pas me vanter que ça me choque mais dans le contexte, il est vrai que ce n'est pas toujours utile au fil de l'intrigue. Bref, je suis toujours sous le charme de cette très belle série, avant tout pour son graphisme mais aussi pour son scénario qui ne faiblit pas, qui ne tire pas en longueur inutilement. Je suis réellement accro et c'est toujours avec beaucoup d'impatience que je vais attendre le tome suivant. Beaucoup de nouvelles pistes s'ouvrent vers de nouveaux possibles. Je suis curieux de voir quelle direction va prendre l'auteur. Lu en numérique au format KINDLE avec une superbe numérisation.



Fûka Akistuki : l'héroïne, décédée ;



Koyuki Hanashi : l'amie chanteuse ;



Makoto Mikasa : l'ami homosexuel ;



Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;



Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.



Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;



The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;



Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;



Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c'est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;



Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l'héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l'arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l'optimisme.



Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;



Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;



Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;



Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;



Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d'athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n'existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;



Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d'athlétisme (médaillé d'argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;



Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.



Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.



Kanalia : groupe amateur parce qu'ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.



Sakura Katsuragi : elle fait partie de l'équipe de bénévoles qui s'occupe d'un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d'eau à la première Fûka, l'héroïne décédée qui est à l'origine de cette série.



Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d'un grand pouvoir dans le milieu musical.
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Fûka, tome 13

Sous son nouveau nom, accompagné maintenant de Fûka Aoi comme chanteuse en plus de Yû, le groupe entame une tournée dans le Japon, affrontant des petites salles et à chaque soir un nouveau public. Les jeunes musiciens veulent engranger la somme de cinq million de yens pou sauver l’entreprise de production de Saori Amaya. Les jeunes apprennent la difficulté de vivre ensemble dans une promiscuité continue, avec tous les jours des changements de ville, de logements souvent précaires. Les filles du groupe se jalousent un peu, surtout Sara, la jolie guitariste et la nouvelle Fûka, Aoi. Mais dans les épreuves, le groupe ne semble pas vouloir se diviser, même si les disputes sont assez fréquentes. Par contre, Yû est toujours tracassé. Le succès n’est pas toujours au rendez-vous, il pense qu’il manque de charisme et cherche des solutions pour s’en sortir. De plus, il vient enfin de se rendre compte qu’il est tombé amoureux de la nouvelle Fûka mais n’ose pas encore lui avouer son amour. Le groupe tente tout de même d’atteindre ses objectifs mais comment devenir plus populaire et trouver l’étincelle qui les fera passer de « gentils » musiciens à musiciens de folie ?

Le mangaka arrive encore à nous surprendre et évite les pièges des épisodes à rallonge et à nous faire tomber dans la lassitude. L’émotion est toujours palpable et le scénario en joue merveilleusement bien. La voie du succès est un parcours de combattant et les adversaires, en commençant par la raison économique, sont nombreux. L’étincelle qui fera exploser le succès n’est-pas encore au bout de la mèche mais Yû et ses amis vont peut-être finir par trouver la solution. Avant, quand le groupe s’appelait encore « Thé Fallen Moon », les jeunes musiciens généraient sur scène des émotions à l’état brut mais manquaient cruellement de technique pour être vraiment bons. Maintenant, ils maîtrisent de mieux en mieux la musique mais ont tendance à ce que la technique tue l’émotion. Ils font un peu de la musique scolaire, si je puis m’exprimer ainsi. A la fin de ce treizième opus, ils ont peut-être trouvé la solution, c’est ainsi que se clôture cet épisode. Les dessins sont toujours magnifique et le mangaka commence de plus en plus à érotiser ses héroïnes qui sont toutes plus ravissantes les unes que les autres. Les paysages urbains sont extraordinaires bien que le plus souvent, les plans sur les personnages soient assez serrés, de manière à mettre en valeur leurs émotions par leurs attitudes corporelles et celles des visages. Les concerts sont dessinés avec beaucoup de dynamisme. On s’y croirait. Il ne manque que le son qui est facilement imaginable bien que j’ai peu de culture sur le rock japonais. Donc, voilà une série qui ne me lasse pas et que j’ai plaisir à poursuivre. Il est aussi heureux de voir avec quelle régularité sortent les tomes. Lu sur KINDLE avec une très belle numérisation.









Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

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A town where you live, tome 26

Haruto va s’entretient d’embauche en entretient d’embauche. Il commence à désespérer de trouver un emploi en CDI. Yuzuki de son côté termine ses cours à l’université en espérant de devenir professeur. Ces tensions malmènent quelque peu leur couple idyllique. Finalement, Haruto arrive à trouver un travail et sa fiancée réussit ses examens et trouve un emploi d’enseignante à Tokyo. Quand enfin tout semble aller pour le mieux, le couple va devoir affronter une nouvelle épreuve car Haruto va être muté dans le sud du Japon. Nos deux amoureux se promettent fidélité malgré la distance qui va les séparer, de s’appeler tous les jours et de se voir dès qu’ils en auront le loisir. Le couple va-t-il résister à cette relation à distance ?...

Nos deux héros arrivent enfin dans la vie active. Décidément, la vie d’adulte se montre encore plus compliquée à gérer que celle d’étudiant. Les dessins sont toujours somptueux, les personnages féminins sont plus beaux que jamais, les paysages sont toujours magnifiques et les attitudes des personnages traduisent bien leurs émotions. Certains flash-backs nous rappellent que nous approchons tout doucement de la fin de la série qui ne compte désormais que l’ultime épisode à paraître. Les personnages sont maintenant mûrs. Le pauvre Haruto, malgré lui, doit résister pour rester fidèle et ce n’est pas ses collègues féminines de travail qui lui simplifient la tâche. Même si les sentiments sont là, le couple est fragilisé par la distance que leur vie professionnelle leur impose. On pourrait s’attendre à ce stade à une demande en mariage mais les jeunes amoureux, s’ils parlent de désir d’enfant dans l’avenir n’ont pas encore abordé le sujet. C’est toujours aussi romantique et mon cœur d’artichaut n’est pas insensible à cette belle histoire d’amour. J’attends avec impatience la conclusion de cette série qui ne s’est pas toujours montrée égale d’un tome à l’autre mais qui se veut attachante et pleine d’émotion.

Personnage :

Le garçon : Haruto Kirishima

La fille : Yuzuki Eba

L'amour d'Haturo : Nanami Kanzaki

L'ami d'Haturo : Takashi Yura

Une amie d'Haturo : Akari Kaga

La grande sœur : Aoï

Nouvel ami tokyoïte :

Moto : Kyôsuke

Jeune fille garçonne : Asuka Mishima

Amie d'enfance de Kyôsuke et compagne de Takashi : Kiyomi Asakura

L'universitaire qui veut devenir mangaka : Shiori Amaya

La voisine maladroite qui part à Londres : Miyu

La nouvelle voisine de 16 ans amoureuse d’Haruto : Chisa

La jeune femme rencontrée au salon des entreprises : Misa

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Fûka, tome 20

Le groupe des jeunes musiciens, malgré tous les bâtons qu’on leur met dans les roues, sabotage, censure, interdit de scène, sont plus que jamais déterminés à réussir leur festival, dont ils sont eux-mêmes organisateurs. La toute puissante société musicale Zêta Music, qui n’a pas supporté que les Blues Wells leur résiste, tente de voler le public de ce dernier. Certaines célébrités ont fait le déplacement, quelques uns pour soutenir les jeunes musiciens, d’autres pour leur voler le public sous la pression de Zêta Music. Les jeunes se sont battus, ont travaillé durement pour atteindre un niveau de musique digne des meilleures groupes qui ont marqué l’histoire du show-business japonais. Vont-ils pouvoir résister à la pression, vont-ils posséder assez de maîtrise pour connaître enfin la gloire ? …

Voilà, une série passionnante, émouvante, au trait enchanteur qui se termine. C’est une vraie réussite, le graphisme est somptueux. Le scénario n’a jamais faibli, toujours en équilibre entre suspens et émotion. Ca oui, de l’émotion, c’est le fil conducteur de ce récit magnifique, parfois et même souvent bouleversant. Je ne vais pas en dire plus, juste un conseil, découvrez ce manga, vous n’aurez aucun regret si ce n’est de fermer le dernier tome. Lu en numérique, en format KINDLE, avec une magnifique numérisation.



Personnages :

Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.

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Fûka, tome 5

Bon, je me doute que je spolie carrément mais c'est annoncé, même sur le quatrième de couverture du tome 6 qui ne paraîtra qu'en janvier. Fûka est victime d'un accident, fauchée par un camion. Nous retrouvons le groupe, d'ordinaire joyeux, le jour de l'enterrement de la jeune fille. Yû refuse d'assister aux funérailles. Il se morfond seul, dans son coin. Il abandonne, face au chagrin, la musique, l'école et même son compte Twitter. Le groupe se disloque, chacun veut tenter de reprendre le cours normal de sa vie. Quand l'ancien propriétaire de la basse de Yû veut récupérer son instrument, Yû réagit violemment et a un sursaut. Il pense qu'il faut refonder le groupe, en l'honneur de Fûka et devenir professionnel pour un jour, avoir la chance de jouer sur une grande scène comme le rêvait son amie. Mais pour devenir pro, il ne faut pas se contenter de jouer des reprises mais composer et créer des textes. Yû tente désespérément de convaincre ses amis de reprendre les répétitions en leur jouant seul la chanson qu'il a écrite en l'honneur de Fûka. Ses amis trouvent que la chanson est mauvaise mais, en l'arrangeant tous ensemble, la sonorité et la mélodie s'améliore…

Le quatrième opus s'achevait sur un gros coup d'émotion et aussi avec beaucoup de crainte quant au devenir de notre jolie et sympathique héroïne Fûka. L'auteur est gonflé et prend un risque fou de tuer le personnage principal, de plus éponyme de la série à la fin du quatrième opus. Mais ça peut rendre le scénario intéressant de construire une histoire autour d'un défunt. Elle devient une nouvelle motivation, une source d'inspiration, de reconstruction. Son souvenir reste vivant dans le coeur des autres héros et le personnage principal n'est finalement pas celui qu'on croit mais plutôt Yû. J'espère que l'auteur ne lui réserve pas non plus un destin funeste. Je suis curieux de voir comment, un début si dramatique, pourra nous conduire vers une belle et heureuse histoire. Après le gros coup au coeur de la fin de l'épisode précédent et le début de celui-ci, l'histoire patine un peu, elle doit remettre presque tout en place. Les destins des personnages, leur vie bouleversée. Donc, je me mets à l'affût et attends le sixième opus pour voir où je vais et si je poursuis cette saga surprenante par l'orientation de son scénario. Côté dessin, le trait est formidable. Les paysages urbains sont magnifiques, la ligne est claire, les personnages sont beaux, parfois trop, peut-être. Les attitudes des corps mais aussi la dynamique des mouvements sont assez réalistes et les visages transmettent vraiment les émotions. Toujours lu en format numérique sur iPad Pro en format Kindle avec qui les éditions Pika offrent toujours de très bonne qualités de numérisation.

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Fûka, tome 14

Le groupe a une nouvelle chance de se produire en première du concert du duo Kanalia, un groupe amateur qui ne se produit que les week-end dans la ville de Nagoya. Ils décident de reprendre une chanson de leur ancien groupe, The Fallen Moon, avec la nouvelle Fûka. Le groupe épate le public et les Kanalia, qui avaient été cyniques avec eux, sont sous le charme des jeunes musiciens. Ces derniers décident de donner un coup de pouce aux adolescents en leur faisant enregistrer un deuxième compact-disc avec les chansons de Fallen Moon mais interprétées sous leur nouveau nom, les Blues Wells. Ils repartent donc en tournée, avec toujours l'objectif de vendre cinq mille CD pour sauver leur maison de production et sa directrice, Madame Saori Amaya. Les jeunes musiciens se rendent à Osaka, qui est par essence la ville japonaise du rock. Ils rencontrent une chanteuse de talent, un des meilleurs espoirs de la ville, Keade. La jeune femme fait aussi des études en médecine. Son père est propriétaire d'un restaurant où, paraît-il, on y mange les meilleurs brochettes du Japon. La jeune chanteuse se rend de suite compte que les membres des Blues Wells se nourrissent mal et les invite à dîner chez son père. Yû y fait un malaise…

Voilà un épisode plutôt positif. Le ciel deviendrait-Il clair pour nos héros ? Toujours est-il qu'ils avancent à petits pas vers le succès. le graphisme de la série est extraordinaire. le mangaka a de plus en plus tendance à érotiser les personnages féminins. Ils nous offre d'ailleurs un bonus plutôt chaud à la fin de cet ouvrage. Personnellement, ce n'est pas pour me déplaire mais je sais déjà que ça chagrinera certains lecteurs ou lectrices. Mais, en dehors de cela, ce quatorzième opus nous replonge dans l'émotion pure. Sans doute grâce à ce nouveau personnage qu'est la chanteuse de talent Keade. Yû n'est pas en reste, il a presque déclaré son amour à la nouvelle Fûka, Fûka Aoi, la désormais chanteuse de leur groupe rebaptisé les Blues Wells. Il rêve de nouveau d'écrire de nouvelles chansons en se laissant guider par ses sentiments. Leur problème principal est qu'ils ont une vie précaire, qu'ils dorment surtout dans la voiture et qu'ils font mal-bouffe par manque de moyen financier. La vente des CD peine encore à décoller. La société de production de Madame Amaya est toujours au bord de la faillite. Mais les musiciens sont motivés comme jamais, ils veulent vivrent leur rêve jusqu'au bout et nous montre beaucoup de détermination et de courage. J'ai le sentiment que cette série arrive à rebondir et mon intérêt pour elle ne faiblit pas. Lu en format KINDLE avec une superbe numérisation.



Personnages :



Fûka Akistuki : l'héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l'amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l'ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka Akistuki et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c'est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l'héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l'arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l'optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d'athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n'existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d'athlétisme (médaillé d'argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu'ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.



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Fûka, tome 12

Aoi, la nouvelle Fûka, quand elle a compris que l’accident fatal de Fûka, (la première, Fûka Akistuki) a été causé par son père qui était le conducteur du camion qui avait renversé la jeune chanteuse, est rentré chez elle car elle porte le pois de l’accident alors qu’elle n’est pas responsable. Elle devait rejoindre le groupe de Yû, les Fallen Moon. Yû a des remords de laisser Aoi abandonner la musique, le rêve de toute sa vie et décide, sans rien dire à personne, de retrouver son amie. Quand enfin il arrive à la décider de rejoindre leur groupe, les autres membres marquent leur désaccord et décident de dissoudre les Fallen Moon pour fonder un nouveau groupe dans lequel Fûka Aoi sera la chanteuse attitrée. Le nouveau groupe s’appelle : Les Blues Wells. Seulement, la dissolution des Fallen Moon qui commençaient à devenir populaire mais en grave danger financier la société de production de Saori Amaya…



Au moment où tout semble lissé, que la chance arrive enfin, que tout devrait se conclure, le mangaka, depuis le début de cette série, à le don de changer de direction et de faire rebondir son scénario. C’est assez génial car il évite de lasser le lecteur et peut entretenir un intérêt certain pour cette histoire de jeunes qui veulent vivre tout de leurs rêves. Le parcours de la gloire est jalonné d’obstacles, de routes barrées, d’adversaires, de difficultés imprévues. Le talent ne suffit pas, il faut aussi une grande part de chance pour réussir dans le milieu du show-business. Côté dessin, l’auteur est fidèle à lui-même. Il cadre serré, économisant les paysages urbains pour se contrer sur les personnages. Les filles sont jolies, l’auteur navigue à la frontière de l’érotisme sans vraiment en franchir la barrière. Les jeunes hommes ont plutôt l’air androgynes mais ne sont pas dénués de charme. Le scénario de ce douzième opus, malgré la gravité de certains sujets traités, se veut plus léger que les épisodes précédents et est plein de jeux de mots, de quiproquos, de situations cocasses et est vraiment drôle. Je pense que depuis le début de la série, c’est le tome le plus comique de tous. Par contre, l’intégration de la nouvelle Fûka dans le groupe risque de poser des problèmes. Il y a certainement des sentiments qui naissent entre Yû et Fûka mais il faut aussi compter sur la jalousie de Sara qui semble elle aussi amoureuse de Yû. Je reste attaché à cette série et je me dis, vivement le prochain tome. Lu comme à mon habitude en format numérique, en KINDLE sur ma tablette iPad Pro.







Fûka Akistuki : l’héroïne ;



Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;



Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;



Yû Haruna : le héros ;



Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.



Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;



The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;



Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;



Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.



Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;



Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;



Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;



Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;



Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;



Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;



Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.



Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».



Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

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Fûka, tome 11

Ca y est, le groupe de Yû, The Fallen Moon est au pied du mur. Les jeunes musiciens sont sur la première scène du festival organisé par les Hedehogs, le groupe japonais le plus en vogue dans le pays et qui s’est reformé pour l’évènement. Dans ce festival, il y a du lourd et de vrais pros. Nos jeunes font figure d’amateur mais ils se lancent sans complexe. Presque dix mille personnes assistent au concert mais un groupe plus célèbre commencé sont festival quand ils n’ont pas fini leur tour. Les jeunes voient leur public courir vers l’autre groupe, déjà célèbre et ne gardent que quelques fans. Malgré la désillusion, ils s’accrochent et sont félicités timidement par Saori Amaya, leur manager intraitable. Fûka Aoi monte a son tour sur scène et fait plus que de ce défendre mais elle aussi voit les auditeurs quitter le devant de sa scène quand les Rabbits commence à chanter. C’est alors que la directrice du festival donne une seconde chance au groupe de Yû de s’exprimer à la condition que les jeunes musiciens chantent avec Fûka Aoi. La recette prend et tous dépassent tout ce qu’ils ont réalisé jusque là et le succès est total. Ils touchent le public et le submerge d’émotion. Pour clôturer le festival, la chanteuse américaine, Shelly Hornet rencontre un franc succès et c’est autour des Hedehogs de s’exprimer. Ces derniers, à la fin de leur concert, annoncent que c’est leur dernière apparition et qu’ils ne feront plus de musique, au grand drame du public. Mais ils en profite pour désigner The Fallen Moon et Fûka comme leurs héritiers. Le groupe de
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A town where you live, tome 27

Haruto travaille toujours loin de Tokyo et est donc séparé de Yuzuki. Cette dernière prend le train rapide pour le rejoindre tous les week-end. Mais parfois, elle fait le voyage pour rien car le jeune homme doit rester accrocher à son travail, surtout qu’il prépare un nouveau produit. C’est le premier dossier qu’il dirige et n’a pas envie de se planter, c’est peut-être l’occasion d’obtenir une promotion. C’est alors que Yuzuki fait un malaise. La pauvre est épuisée de ses voyages et économise sur ce qu’elle mange pour pouvoir se payer le train. Une collègue d’Haruto lui explique qu’il devrait penser à se séparer de Yuzuki car l’attacher à son amour, c’est peut-être la rendre prisonnière de ses sentiments et lui boucher son avenir. Haruto doute maintenant de l’attitude qu’il doit avoir face à son amoureuse, la quitter et lui rendre sa liberté ou la garder attachée à lui en attendant qu’un jour, il pourront peut-être se retrouver plus sereinement et définitivement construire une vie de couple…

Ultime épisode de cette série romantique qui fut parois en dent de scie. Tous les tomes n’ont pas été égaux, parfois ennuyeux, qu’à tel point que j’ai failli plusieurs fois abandonner cette saga. C’est surtout grâce à la qualité des dessins que je suis resté fidèle à la série. Vraiment, les personnages sont beaux, les paysages, urbains et champêtres aussi. C’est le scénario qui est plutôt inconstant. Certains épisodes sont ennuyeux, comme s’ils avaient été créés pour le remplissage et parfois, d’autres sont si intenses qu’il font rebondir l’histoire et relance l’intérêt de cette série. Que dire de ce dernier opus. Je le trouve mal équilibré, comme s’il voulait à lui tout seul incarner l’irrégularité de la série. Dès le début de l’épisode, on replonge dans le presque drame, on fait marche arrière et puis, juste un petit détail… et paf, on court vers tout le monde il est beau et il est gentil, happy end, ils se …. Et vécurent… et ont eu …. Mais cette série n’est pas aussi anodine qu’elle ne le paraît. Elle est riche en enseignement sur la vie des adolescents et des jeunes adultes au Japon. Il semble qu’il y a encore, par tradition, un réel pouvoir des familles, surtout quand Dieu milieux social-un différents se heurtent autour d’une histoire d’amour. Il y a aussi se sacrifice au travail, qui semble être l’objectif ultime des jeunes étudiants qui finissent leurs études. Il y a cette difficulté à vivre ensemble à cause des distances qui séparent les grandes villes. Les jeunes femmes aussi, ont du mal de panacher carrière professionnelle et mère au foyer. On ressent à travers cette série tout ce contraste et cette difficulté à vivre dans un pays qui mélange tradition et modernité. Ca donne aussi envie de se rendre un jour dans ce pays qui semble si lointain et si étrange, que nous, occidentaux, nous pourrions penser que le Japon est sur une autre planète. Lu en numérique en format KINDLE avec une excellente numérisation, comme toujours entre Amazon et Pika.

Personnage :

Le garçon : Haruto Kirishima

La fille : Yuzuki Eba

L'amour d'Haturo : Nanami Kanzaki

L'ami d'Haturo : Takashi Yura

Une amie d'Haturo : Akari Kaga

La grande sœur : Aoï

Nouvel ami tokyoïte :

Moto : Kyôsuke

Jeune fille garçonne : Asuka Mishima

Amie d'enfance de Kyôsuke et compagne de Takashi : Kiyomi Asakura

L'universitaire qui veut devenir mangaka : Shiori Amaya

La voisine maladroite qui part à Londres : Miyu

La nouvelle voisine de 16 ans amoureuse d’Haruto : Chisa

La jeune femme rencontrée au salon des entreprises : Misa







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Fûka, tome 16

Les jeunes musiciens sont restés à Fukuoka, après le dernier concert. Il leur reste deux mois détournée et ils doivent encore vendre deux mile compacts disques pour sauver leur patronne et sa maison de disque. Ils doivent se démotiver et y croire jusqu’au bout car la mission semble impossible. Yû s’inquiète de la réaction de Fûka Aoi, depuis qu’il lui a déclaré son amour par le biais d’une chanson composée pour l’occasion. Fûka ignore encore si cette chanson lui était réellement destinée et est aussi sur la réserve. Les autres membres du groupe pousse Yû à déclarer sa flamme sans prendre de cérémonie de traverse mais le jeune homme est coincé et timide. Il faut dire que les réactions de Fûka ne l’encourage guère à lui avouer ses sentiments. Leurs amis, agacés, provoquent les deux amoureux pour qu’enfin, les choses se clarifient entre eux deux. C’est maintenant officiel, Fûka et Yû sortent ensemble mais, inexpérimentés, ils ne se sont pas encore embrassé. Amaya, leur patronne, les appelle pour leur annoncer que grâce à la chanson que Yû par amour a composé pour la nouvelle Fûka et les vues sur YouTube, elle a mis les chansons du groupe sur iTunes et qu’elle en a vendu suffisamment pour sauver sa maison de production. Mais Yû et Fûka ont contrarié Tomoko Ikoma la directrice de Zêta Music, qui jouit d’un grand pouvoir dans le milieu. Elle s’arrange pour que toutes les salles de concert n’accepte pas les Blue Wells en concert. Pendant ce temps, la chanteuse de l’ancien groupe les Hedehogs s’est fait opérée et a subit l’ablation e ses cordes vocales. L’ancien groupe doit toujours au futur succès des Blue Wells et leur ancien bassiste fait un cadeau à Yû en lui confiant un morceau qu’il avait commencé à composer. Les jeunes décident de passer un mois sabbatique pour que chacun aille s’entraîner et mieux apprendre à jouer de la musique. Yû et Fûka se retrouvent alors seuls…

Nouveau tournant pour les jeunes musiciens des Blue Wells. Ils ont réussi à sauver leur maison e disque mais maintenant, ils doivent penser à l’avenir, leur avenir. Le succès et la célébrité sont un véritable parcours du combattant et rien n’est jamais gagner à l’avance. Le travail et encore le travail est seul gâche de réussite. Le talent ou les dons ne sont rien s’ils ne sont pas exercés au quotidien. Et encore, il faut aussi une part de chance. Si parfois elle semble sourire à nos jeunes musiciens, il y a toujours un obstacle nouveau qui se crée. J’aime bien se ôté réaliste qui tord le coup du canard de la télé-réalité, les Stars Académies, Nouvelles Star et autre The Voice. Le show-business reste un bocal de requins et s’il y a beaucoup d’appelés, il y a peu d’élus. Ce manga nous montre la réalité et non le rêve facile qui crée des stars souvent éphémères. Le graphisme est toujours superbe, les personnages sont tous plus beaux les uns que les autres. Le scénario, si cette fois semble changer de direction, reste profond et sensible. Il y a toujours beaucoup d’émotions dans cette série. On y entendrait presque la musique que joue le groupe, tant c’est magnifiquement dessiné et orchestré. Pas de temps mort inutile, pas de tirage d’élastique, rien n’est à jeter dans cette histoire. J’ignore combien il reste d’épisode dans ce manga mais e suis toujours accroché par cette magnifique saga. Je m’émeus rein qu’en la regardant alors, je ne vous dis même pas se que je ressens en la lisant Jusqu’à présent, les épisodes se suivent de façon assez précise, le tome dix-sept est déjà annoncé et en prévente. Je l’ai programmé pour ne pas rater la date de parution. Je me suis obligé à résister pour ne pas lire ce seizième opus avant ce soir et dès que j’ai terminé ma journée, je me suis jeté dessus et l’ai dévoré d’une traite avec un réel bonheur. Lu en format KINDLE avec une magnifique numérisation. Vivement le dix-septième.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.

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Fûka, tome 10

Yû et son groupe sont inscrits au festival organisé par les Hedehogs. Mais depuis leur concert ils ont des doutes. Yû manquerait de charisme et les chansons qu’ils produisent même si elles ont du charme, risque vite d’être oubliées. C’est pour cette raison que leur producteur et manager, Madame Saori Amaya n’était pas d’accord de leur participation à ce festival. Le festival attend également l’arrivée d’une invitée prestigieuse en la personne d’une chanteuse américaine : Shelly Hornet. Cette dernière avait parlé du groupe de Yû et admirait le talent et l’arrogance de leur chanteuse Fûka. La chanteuse américaine ignore que cette dernière est décédée. Capricieuse, elle reconnaît Yû et s’enfuit avec lui en se déguisant pour ne pas être reconnue. Elle a juste envie de découvrir un peu le Japon. Elle entra^ne notre héros dans des restaurants et dans des sources d’eau chaude où elle va se baigner nue avec lui. Là, elle lui révèle qu’elle est devenue l’artiste célèbre grâce à une rencontre dans son enfance, celle avec la chanteuse des Hedehogs : Mana. Mais la productrice du groupe de nos héros ne veut pas que ses protégés se plante au festival. Elle les entraînes chez une ingénieure du son de génie, qui compte parmi ses amies pour faire monter le niveau de qualité du groupe lors d’enregistrements. Le groupe enregistre alors cinq chansons avec beaucoup de travail et de difficultés face à l’intransigeance de Mamiya, l’ingénieur du son. Le groupe est maintenant prêt pour affronter le festival si Yû arrive à dominer ses craintes…

Le tome commence par la rencontre de Yû et de la chanteuse américaine Shelly Hornet qui avait fait une brève apparition dans un tome précédent. La chanteuse qui se comporte avec Yû en diva capricieuse va pourtant se montrer généreuse avec notre héros. Le mangaka va aussi profité de se personnage pour nous offrir de jolies scènes de nu avec la sublime jeune femme. Malgré sa célébrité internationale, elle sait se montrer humaine avec le jeune homme. Encore une rencontre qui, si elle était révélée au grand public pourrait faire scandale comme ça a déjà été le cas par le passé avec sa célèbre amie Koyuki. Ensuite, l’histoire se déroule en nous montrant un travail intense de la part des jeunes musiciens pour atteindre le niveau souhaité par le festival. C’est une belle facette de cette série car on pourrait croire qu’il suffit de chanter pour atteindre gloire et succès. Mais non, face à l’exigeante ingénieure du son, Mamiya, c’est presque au bord de l’épuisement que nos héros arrivent à sortir leur disque. Et là, leur intraitable productrice, Saori Amaya révèle une face de son caractère plus fragile, plus sensible. Si elle est à se point dictatoriale, c’est juste qu’elle veut l’excellence pour les jeunes chanteurs et qu’ils deviennent les meilleurs, même supérieurs au célèbre groupe les Hedehogs. L’autre Fûka, Fûka Aoi également chanteuse est aussi mise au pied du mur et doit travailler sa voix si elle veut percer dans le milieu. C’est l’amie chanteuse Koyuki qui va l’entraîner pour atteindre la perfection. Fûka doit aussi participer au festival ainsi que Koyuki, mais elle, de façon anonyme car déguisée en lapin avec son nouveau et déjà célèbre groupe, les Rabbits. Ce dixième tome est plutôt un tome qui nous révèle de façon intelligente les coulisses du métier de chanteur, avec ses exigences, ses longues séances de travail et aussi sa cruauté. On se doute aussi que si les Hedehogs ont invités le jeune groupe, ce n’est pas forcément pour leur bien mais parce qu’ils ont envie de les écraser avec leur expérience et se mettre en valeur par rapport aux jeunes qui jusque là, se sont montrés timorés. La productrice de Yû et son groupe, elle, a l’ambition que ses jeunes moulins vont enfin se lâcher et écraser les Hedehogs à qui elle doit un vilain changement de carrière par le passé. Les dessins des personnages sont toujours aussi somptueux, surtout que cette fois, le mangaka n’a pas hésité à érotiser des personnages féminins qu’il croque de façon merveilleuse. Bref, vivement le numéro suivant car nos jeunes héros viennent de monter sur scène et doivent enfin nous montrer ce qu’ils ont réellement dans les tripes. Lu en numérique en format KINDLE sur iPad Pro avec une très belle numérisation.





Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

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Fûka, tome 7

En attendant, il y a une chose que vous devez comprendre… c’est que la musique n’est pas un loisir mais un métier.



Yû fait de la résistance contre le système. Avec son groupe, il décide de quitter la compétition du concours de « Electric Rebellion » mais sans baisser les armes. Alors, le groupe profite de la scène et joue son morceau. Ils allument la salle et le public en redemande, alors, ils s’offrent un rappel. Ensuite, comme ils ont prouvé au producteur qui truque les résultats qu’ils sont vraiment bons, celui-ci leur propose un contrat mais les jeunes musiciens refusent de se soumettre. Mais la vie d’adulte frappe à la porte de celle des adolescents. Si la plupart d’entre eux sont encore au lycée, Nachi, le plus âgé des membres du groupe, doit en principe entrer à l’université. Mais comme les jeunes ont tous décidé de se consacré à la musique, ils abandonnent tous leurs études. C’est alors que Saori Amaya, PDG d’une maison de production encore inconnue, la Twinkling Star, les convainc de signer un contrat. Ce contrat cache des closes qui seront pratiquement intenable, les jeunes ignorent tout de Saori qui n’est peut-être qu’un d’escroc qui tente de s’enrichir sur le dos des adolescents qui rêvent de devenir célèbres ? Yû croise régulièrement l’autre Fûka, Aoi, qui suit un parcours plus ou moins parallèle à celui du groupe de notre héros. Yû découvre aussi le trac avant de monter sur scène. Cette nouvelle sensation le bloque presque pour exprimer son talent et inquiète ses amis…

Dans cette suie, les jeunes s’engagent en prenant des risques. Ils abandonnent tous jusqu’au déraisonnable car ils croient en leur projet. Leur nouvelle productrice qui semble impitoyable leur a mis la barre si haut, ils doivent remplir une grande salle, le Q-EAST en six mois, ce qui est pratiquement impossible. Ils courent sans le savoir à la ruine. Surtout que maintenant, ils sont aussi obligés de se trouver un travail alimentaire qui leur prend à chacun beaucoup de temps. Les personnages sont toujours aussi charmants et plutôt bien dessinés. Nous avons aussi dormit à quelques jolis paysages urbains. Le scénario est assez complexe et continue de m’intriguer. Malgré la disparition définitive de l’héroïne principale depuis au moins deux épisodes, l’auteur réalise un tour de force de continuer à nous créer une histoire convaincante et passionnante. Les sentiments aussi émergent entre les jeunes. Ils risqueront peut-être aussi d’être nuisibles à la cohésion du groupe à moins qu’ils ne fassent l’effet inverse. A ce stade, c’est plutôt en construction, le danger pour les jeunes étant ailleurs alors qu’ils n’en n’ont même pas conscience. Les tomes sortent assez régulièrement, donc, j’attends le prochain en espérant qu’il ne tardera pas trop

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Fûka, tome 4

Le groupe s'apprête à donner son premier concert mais comme la célèbre chanteuse Koyuki a déclaré sur Twiter qu'elle est amoureuse de Yû, notre héros, un public plus nombreux que prévu rempli la salle. Seulement, beaucoup de garçons sont présents car ils sont jaloux de l'annonce et veulent s'en prendre à Yû. Le public est à deux doigts de devenir violent quand Koyuki monte sur scène pour montrer qu'elle est dans la salle. Le groupe peut alors commencer à jouer. Le public est sous le charme de la musique et surtout de la voix de Fûka. Après le concert, Koyuki s'isole avec Yû pour lui déclarer son amour mais Fûka ne l'entend pas de cette oreille et s'oppose au fait que la célèbre chanteuse déclare officiellement sa flamme. Yû n'a qu'une envie, dire à Fûka qu'il l'aime mais ne sait pas trop comment si prendre…

La série rebondit. Il se passe plein de choses, surtout côté sentiment ce qui fait que cet épisode est sans doute le plus émouvant depuis le début de la série. Côté dessin, rien à redire, le trait est magnifique, les personnages sont magnifiques et leurs attitudes traduisent leurs sentiments. Je ne veux pas spolier mais la fin vous mettra un grand coup d'émotion et il faudra patienter jusqu'à la parution du prochaine opus pour, je l'espère, gommer son inquiétude par rapport à notre belle héroïne. C'est peut-être un peu à l'eau de rose mais j'avoue que j'aime ça et que j'en redemande. Jusqu'où ira le succès du groupe, comment nos jeunes héros géreront leurs sentiments… ?

Toujours téléchargé en format Kindle avec une excellente numérisation. C'est impatient que j'attends la suite.

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Fûka, tome 15

Le groupe Blue Wells est maintenant dans la ville de Fukuoka, pour un festival de musique municipal. Là, Yû fait une rencontre troublante. Une jeune femme passe devant lui et c’est le sosie parfait de Fûka Akistuki, son amie décédée. La ressemblance est si forte que û croirait presque avoir vu Fûka réincarnée. Le groupe doit loger dans une école. La jeune femme bénévole qui doit s’occupé du groupe est Sakura Katsuragi, le sosie de la première Fûka. Ut le groupe est troublé par la ressemblance étonnante. Sauf la Nouvelle Fûka, Fûka Aoi, qui voit dans le sosie une rivale alors que Yû lui a déclaré son amour. La ressemblance avec Fûka Akistuki n’est pas seulement physique. La jeune femme se comporte exactement comme la première chanteuse du groupe. Yû, tente de composter une nouvelle chanson en laissant s’exprimer ses sentiments. Il a promis à Aoi que les paroles lui seraient dédiées. Mais Aoi (la nouvelle Fûka, je sait, ce n’est pas simple) pense que les sentiments de Yû ont basculés vers le sosie. Un ancien ami à Aoi vient à sa rencontre. Il vient de devenir musicien professionnel et propose à Aoi de quitter les Blue Wells pour venir rejoindre son groupe en lui promettant la gloire. Fûka (la nouvelle), ne sait plus que prendre comme décision…

Ouf ce tome ! Il se passe plein de choses étonnantes et détonnantes. Ca bouge beaucoup. C’est effectivement troublant, surtout ce sosie qui correspond trait pour trait à la première Fûka, l’amoureuse de Yû décédée. Le graphisme est formidable. Les personnages sont beaux, expressifs. Leurs traits de caractère et leurs sentiments sont merveilleusement bien rendu par le dessin. Pour ce tome, le mangaka a été plus sage avec ses jolies héroïnes que pour le tome précédent. Le scénario est solide, le mangaka évite les pièges de l’ennui et l’histoire reste accrocheuse et passionnante. Encore une fois, lors d’un passage en concert, j’ai été de nouveau boulversé. C’est extraordinaire d’arriver à générer de l’émotion aussi forte avec un manga. Je suis mordu par cette série. Le tome seize est déjà en présente, tant en numérique qu’en version papier. On ignore toujours si le groupe va rencontrer le succès. Les anciens membres des Hedehogs les suivent de loin, ils espèrent que les Blue Wells deviendront leurs successeurs. Maintenant, le groupe entre enfin dans l’air de la nouvelle Fûka et Yû. Il reste une inconnue, qu’elle sera la réaction de la jolie guitariste, Sara Iwami, elle aussi amoureuse de Yû et qui vient d’apprendre que Yû a déclaré sa flamme à Fûka Aoi ?

Lu en numérique au format KINDLE avec une très belle numérisation.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

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Fûka, tome 19

Nous sommes toujours dans la guerre des festivals. Les Blues Wells tardent toujours à rassembler les fonds et les sponsors indispensables à l’organisation de leur festival. Zêta Music n’arrête pas de vouloir les empêcher de se produire en public. Les jeunes musiciens ne renoncent pas. Zêta Music utilise tous les coups bas que la prestigieuse maison de disque peut employer. Mais malgré tous les efforts pour couler l’organisation des Blues Wells, ces derniers arrivent en dernière minute à rassembler les fonds nécessaires, les restaurateurs, les groupes et chanteurs. Il leur reste à convaincre le public d’assister à leurs concerts en sachant que la grande maison de disque a organisé un festival sur la même plage qu’eux en ayant mis les petits plats dans les grands. Zêta Music va jusqu’à vouloir corrompre Saori Amaya, la productrice des Blues Wells. Cette dernière refuse l’offre en or et continue de soutenir ses poulains. Les festivals peuvent enfin commencer. Le public est mitigé, partagé à vivre le festival de la grande enseigne ou celui des jeunes musiciens inexpérimentés. Au premier concert, une surprise de taille, dont Amaya à le secret, surprend les festivaliers, même les Blues Wells qui n’était pas informés. Le public ne réfléchit plus, il déserte le festival organisé par Zêta Music pour celui des Blues Wells. Mais ce n’est pas tout, il faut tenir la distance et garder le public. Les groupes s’enchaînent, le public semble se fidéliser mais, rien n’est gagné d’avance. Les deux festivals redoublent d’astuces pour gagner la compétition entre eux et les Blues elles ne sont pas encore montés sur scène…

Encore une fois, le trait élégant de Kouji Seo fait mouche. Ses personnages sont toujours aussi beaux. En plus, il se permet de déshabiller son héroïne. Il ne le fait pas souvent mais il a le don de croquer les jolies filles et il est fidèle à sa réputation. Et aussi, il se permet d’utiliser la technique du crossower en invitant les héros de « Suzuka » (qui sont les parents de la première Fûka, celle qui disparaît dramatiquement au début de la série) et ceux de « A Town Where You Live ». Il maintient toujours le suspens et n’hésite pas à durcir les obstacles face à la progression de ses héros qui pourtant, multiplient les efforts pour réussir. Il nous brosse avec talent un milieu du show-business impitoyable, à l’heure des émissions de téléréalité qui tentent de nous faire croire qu’en tout le monde, une star sommeille. Le scénario continue de tenir la route et est sans faille L’auteur joue sur l’émotion et la transmet à ses lecteurs. C’est fort, c’est prenant. C’est une série dont je suis complétement accro. Je ne sais pas combien de tome sont encore à venir, surtout qu’une nouvelle série de l’auteur est déjà annoncée, les deux premiers tome d’Half & Half seront publiés le quinze avril. Pourvu que cette nouvelle série ne frein pas celle-ci qui sort avec une précision de métronome. Ô que je suis impatient de découvrir la suite. Lu en numérique, au format KINDLE, avec une excellente numérisation.



Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.



Manga, jeunesse, Japon, amour, amitié, musique

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Fûka, tome 9

Le groupe Fallen Moon, groupe de nos héros, vient enfin de faire son deuil de la perte de Fûka Akistuki, leur chanteuse fondatrice et vedette décédée dans un accident. Pour Yû, Fûka est et reste le grand amour et pense sincèrement qu’il ne tombera plus jamais amoureux de sa vie. Mais le groupe a toujours un objectif à atteindre, remplir le Q-East en à peine six mois pour se faire connaître. Sans doute parce que le groupe a fait la première partie du concert des Rabbits, dans la prestigieuse salle « Le Budôkan ». Saori Amaya, leur manager, est assez épatée. Elle n’aurait pas parié sur une telle réussite. Mais, suite au sondage qu’elle a fait en sortie de salle, le public, s’il était content de participé, ne manifeste que peu d’enthousiasme à suivre le groupe. D’autres professionnels du milieu émettent la même critique, si, en écoutant les Fallen Moon, il ne reste pas d’émotion après leur prestation. >Yû chante pet-être bien mais manque de charisme. Le groupe est invité à un festival de rock prestigieux par les Hedehogs, avec qui ils sont amis mais leur manager refuse qu’il y participe car elle pense qu’il n’est pas encore à la hauteur et qu’il risque de se ridiculiser. Le groupe insiste et prend le risque d’engager beaucoup de yens s’il se plante. Pendant se temps là, la chanteuse et amie de Yû, Koyuki Hanashi, déclare son amour à ce dernier. Mais celui-ci reste nostalgique de Fûka, son amour défunt et en même temps, est de plus en plus troublé par son autre amie chanteuse, Fûka Aoi…

Après le bouleversant album précédent, je me doutais que le soufflé tomberait un peu, temps l’épisode précédent était intense et émouvant. Enfin, le groupe avance, même si le nirvâna semble encore loin. Jusque là, les jeunes musiciens ont eu de la chance. Mais, face à la critique récurrente de l’opinion du public et des professionnels du milieu, le succès risque d’être éphémère. Or, leur manager, dont on ne sait toujours pas les réelles intentions, ne veut pas s’engager pour un pétard mouillé. Elle met, malgré l’objectif atteint, la arrête de plus en plus haut, quitte à piéger les jeunes rockeurs. Côté sentimental, le récit se complique pour Yû, qui ne sait s’il doit rester sur les sentiments qu’il a encore pour Fûka disparue ou s’il doit se laisser aller vers Koyuki ou tomber amoureux de Fûka Aoi. D’autant plus que la jolie bassiste du groupe, Sara Iwami, n’est pas non plus insensible à notre héros, même si cette dernière ne lui a pas encore déclaré sa flamme. Les dessins sont toujours aussi charmants, les jeunes femmes sont pleines de charme et les garçons ont toujours un air androgyne. Les paysages urbains sont toujours assez épurés. Le scénario semble prendre une nouvelle direction car Fûka, l’héroïne décédée, ne devrait plus apparaître beaucoup et les premiers objectifs du groupe sont atteints. Comment Yû a travailler pour augmenter son charisme sur scène, est-ce que le groupe sera assez solide pour affronter les nouveaux challenges, comment les filles amoureuse de Yû vont se comporter ? Voilà beaucoup de questions en suspend qui donne envie de poursuivre la série, en espérant retrouver l’intensité du huitième épisode. Lu sur Kindle, avec le même grief que les trois derniers mangas que j’ai lu, une parution décalée par rapport à la version papier et ça m’énerve, ça m’énerve !!! Mais toujours une très belle numérisation comme c’est toujours le cas avec Pika sur Kindle.





Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

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Fûka, tome 8

Le groupe doit se faire connaître assez pour remplir la salle «Q-East». D’après le contrat qu’ils ont signés avec leur peu scrupuleux manager, la jolie Saori Amaya, les jeunes musiciens ont six mois pour atteindre leur objectif, sous peine d’être virés par Saori et de devoir lui rembourser toutes sortes de frais. La méthode de production de la belle Saori frise l’escroquerie. Les jeunes donnent un mini concert mais n’arrivent à peine à rassembler plus de 200 personnes. Yû a rencontré fortuitement son amis célèbre, Koyuki, mais une jeune fille les.a pris en photo. Yû est fâché et veut récupérer le clicher. Finalement, la demoiselle ne lui veut pas du mal mais veut promouvoir le groupe sur les réseaux sociaux, elle est leur première groupie et s’appelle Aoba Tandis que les amis sont dans le doue, à deux mois de l’échéance, ils reçoivent une invitation «miracle» d’un nouveau groupe célèbre, les «Rabbits» car cette formation musicale joue déguisée n lapin. Nos héros vont donc jouer la première partie du concert dans la mythique salle «Le Budôkan» et réaliser ainsi l’ultime rêve de Fûka, leur amie décédée et fondatrice de leur groupe. Une réelle surprise attend Yû quand il découvrira qui est la chanteuse des «Rabbits», qui n’est autre que… (hahaha ! je me garde bien de vous le révéler)

Dans ce huitième opus, il y a pas mal de rebondissement et de nouveaux personnages qui entrent en scène. Les dessins sont toujours amuïsse beaux, les personnages élégants, surtout les femmes et les jeunes filles. Les arçons étant plutôt androgynes. On retrouve même la maman de Fûka, qui eu son heure de gloire dans une série dont elle était l’héroïne et dont le titre est éponyme à son prénom : «Suzuka». Le temps file vite et le suspens quant à savoir si les jeunes musiciens arriveront à atteindre leurs objectifs et respecté le contrat qu’ils ont signé un peu vite est très intense. Mais ce qui est surtout très fort dans ce huitième épisode, c’est la force du scénario. Il est extrêmement émouvant, sans exagérer, je dirais même bouleversant. La rencontre au cimetière de Yû et de Suzuka, la maman éplorée de Fûka est très intense. Ensuite, quand le groupe se produit sur scène, il réserve un micro devant une place vide pour rendre hommage à leur amie disparue et s’imagine qu’elle chante avec lui. Je vous jure que j’en ai été chamboulé. Un bon tiers de l’album a fait vibrer ma corde sensible et mon cœur d’artichaut. Lu en numérique sur KINDLE avec, comme toujours avec les éditions Pika, une formidable numérisation.





Fûka Akistuki : l’héroïne ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a se propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

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A town where you live, tome 4

C'est les vacances d'été. Rin, la petite sœur de Yuzuki (qu'Haruto avait rencontré dans l'album précédent) débarque de Tokyo. Sous un faux air gentil, c'est une véritable petite peste qui intrigue contre le bonheur des autres. Elle va compliquer la relation naissante entre Haruto et Nanami...

Pour ce quatrième épisode, nous connaissons la famille de Yuzuki et peut-être une des raisons pour laquelle elle est venue s'installer chez Haruto. Le scénario en devient plus cohérent. Le pauvre Haruto à le cœur entre deux filles et ne sais pas vraiment comment si prendre. L'ambiance de la vie d'adolescent est assez réaliste et ce manga, même s'il est assez superficiel, a le mérite de nous replonger dans cette période de nos vies que nous avons parfois tendance à occulter. Donc je m'accroche et je pense que je vais poursuivre cette série aux agréables dessins même si je vais m'accorder une petite pose.

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Fûka, tome 18

Tous les membres du groupe Blue Wells mettent à profit ce qu’ils ont appris pendant leur mois sabbatique. Le manageur, Madame Amaya, n’en revient pas du résultat. Les jeunes musiciens dépassent ses espérances. Mais ils sont toujours sous la coupe de la colère de Tomoko Ikoma, directrice de Zêta Music, qui ne leur pardonne toujours pas d’avoir été contrariée par le groupe. Toutes les salles du Japon leur sont fermées et il est pour eux impossible de donner un concert. Les jeunes misent tout, c’est vraiment du quitte ou double, sur le festival qu’ils veulent organiser.

Ce manga ne faiblit pas. Il reste aussi passionnant depuis le premier épisode et rebondit sans cesse. A chaque étape du parcours qui conduit vers la gloire, il y a son lot d’obstacles. Cette fois, il semble insurmontable et le lecteur, qui inconsciemment devient fan du groupe Blue Wells, crie à l’injustice. Le scénario est solide, on s’y croit. C’est écrit de façon extraordinaire. Mais le graphisme n’est pas en reste. On y voit l’évolution des musiciens, on aperçoit leur volonté de mieux jouer, de mieux chanter, de mieux devenir charismatique. Les jeunes ne se laissent pas abattre. Ils ont une volonté à toute épreuve et n’hésitent pas à prendre tous les risques pour tenter de briser la censure car il faut bien l’appeler comme ça, la rancœur de la directrice de Zêta Music est tellement disproportionnée qu’elle en devient une sorte de censure et d’acharnement. C’est encore une fois le combat des petits face aux tout puissants, ceux qui ont les moyens de nous enfoncer en toute impunité la tête dans la vase, dans la mouise car ils ont tous les moyens d’interdire, de menace, de pression pour mépriser ceux qui tentent de réussir sans leur accord et qui ne sert pas leurs profits. Le manga semble prendre un tournant de lutte sociale. Il est vrai qu’on a vu parfois des artistes de talents pratiquement disparaître car ils voulaient rester libre dans leurs créations musicales alors que les producteurs les poussaient à ne faire que du commercial. « Crée et tu seras toujours persécuté, copie et tu vivras heureux comme un sot » (Honoré de Balzac). Pourquoi si ont veux réussir, il faut courber la tête et mettre un genoux à terre. Vive la rébellion, la résistance. Finalement, pour ne rien regretter, il vaut mieux choisir le clan des chiens perdus sans collier plutôt que les biens nourris marquer au coup et privés de liberté. Là, on espère que les sans sous ne se briseront pas contre les écueils dérasé par les nantis, qu’ils vaincront contre les lobbys tout puissants et que le peuple, ainsi que d’autres artistes, adhéreront à leur mouvement qu’on peut déjà qualifié de révolutionnaire. Vivement le prochain épisode, que je soupçonne déjà ne pas clôturer cette noble bataille en un seul tome, qui est annoncé pour le mois de mars. Encore un critère de qualité de ce manga, c’est la régularité de sortie de ses épisodes, le prochain est même déjà en prévente, tant en numérique qu’en version papier. Comme à mon accoutumée, lu en numérique en format KINDLE qui nous offre une numérisation sans défaut.

Fûka Akistuki : l’héroïne, décédée ;

Koyuki Hanashi : l’amie chanteuse ;

Makoto Mikasa : l’ami homosexuel ;

Yû Haruna : le héros, leader du groupe ;

Kazuya Nachi : le plus âgé du groupe et le batteur.

Sara Iwami : la nouvelle guitariste et la fille à problèmes ;

The Fallen Moon : le nom du groupe fondé par Fûka et Yû ;

Le Budôkan : salle de concert mythique dans laquelle rêvent tous les groupes de pouvoir jouer un jour ;

Les Rabbits : Nouveau groupe célèbre qui joue déguisé en lapin. Une seule femme est dans ce groupe, elle chante avec un masque de lapin et personne ne sait que c’est Koyuki qui a mit un terme à sa carrière solo ;

Fûka Aoi : une nouvelle Fûka. Elle ne ressemble à l’héroïne que par le prénom. Elle chante dans la rue, se sauve quand un policier veut l’arrêter et rêve aussi, avec son groupe, de devenir une star. Elle pousse Yû vers la réussite et l’optimisme.

Saori Amaya : la manager cupide et dictateur du groupe ;

Akiri Mogami : producteur et manager de groupes célèbres ;

Aoba Honikami : première groupie du groupe. Elle les suit, les filme et les met en ligne sur les réseaux sociaux ;

Les Hedehogs : groupe célèbre qui se relance et qui sont amis de nos héros ;

Susuka Akistuki : la maman de Fûka. Ancienne championne d’athlétisme, elle a sa propre série du même mangaka « Suzuka ». A ma connaissance, il n’existe pas encore de version numérique en français de cette série terminée en 18 tomes ;

Yamato Akistuki : mari de Suzuka et père de Fûka, ancien champion d’athlétisme (médaillé d’argent aux jeux olympiques) et co-héros de la série « Suzuka » ;

Shelly Hornet : chanteuse américaine qui vient participé au festival organisé par les Hedehogs. Petite fille, enfant des rues, elle avait rencontré Tama, la chanteuse des Hedehogs dans les rues de New-York. Elle est devenue chanteuse grâce à cette rencontre et est aussi devenue passionnée du Japon, de sa langue et de ses coutumes. Elle rencontre notre héros dans le dixième épisode.

Mamiya : jeune femme ingénieure du son de génie. Elle est une ancienne collaboratrice de Saori Amaya, la femme manager du groupe de nos amis, « The Fallen Moon ».

Keade : jeune chanteuse de grand talent et aussi étudiante en médecine.

Kanalia : groupe amateur parce qu’ils ont décidés de ne pas faire de la musique leur métier mais ils ont un public de fans et ne se produisent en concert que dans la ville de Nagoya. Les duettistes du groupe vont donner un coup de pouce à nos héros de Blue Wells.

Blue Wells : le nouveau groupe fondé par Yû et la nouvelle Fûka.

Sakura Katsuragi : elle fait partie de l’équipe de bénévoles qui s’occupe d’un festival musical municipal de Fukuoka. Elle ressemble comme deux gouttes d’eau à la première Fûka, l’héroïne décédée qui est à l’origine de cette série.

Tomoko Ikoma : directrice de Zêta Music, elle jouit d’un grand pouvoir dans le milieu musical.



Manga, jeunesse, Japon, amour, amitié, musique

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Fûka, tome 6

Yû et ses amis veulent devenir professionnels dans le milieu du show-business mais pour ce faire, ils doivent se créer une notoriété. Le groupe décide donc de participer à un concours qui met en avant des groupes débutants et qui s’avère être un bon tremplin pour une carrière pro dans la musique. C’est alors que Yû se rend compte en rencontrant d’autres groupes et de potentiels producteurs que la sincérité musicale et poétique n’est pas spécialement au rendez-vous du business. Il faut surtout être vendeur et commercial. C’est alors que Koyuki vient annoncer à Yû la fin de sa jeune carrière de chanteuse et lui fait croire qu’au final, ses chansons n’étaient que du baratin. Yû ne semble pas déstabilisé et tente que son groupe reste sur les rails de la sensibilité. Il doit tenter de composer et cherche le chemin de l’inspiration. C’est alors qu’il fait la connaissance d’une chanteuse d’un autre groupe de rock. La fille à l’air sympathique et se nomme… Fûka Aoi ! Ce qui trouble profondément le jeune homme de rencontrer une fille qui porte le même prénom que son amour défunt. Yû va retrouver la jeune chanteuse car leur groupe de rock va s’affronter au concours de « Electric Rebellion ». Là se trouve un célèbre producteur qui semble avoir déjà désigné le vainqueur alors que le concours n’a pas encore commencé mais Yû et ses amis n’ont pas l’intention d’abandonner la compétition et vont tenter de tout mettre en œuvre pour marquer le public et gagner de façon régulière…

Il semblerait que le groupe ait finalement fait le deuil de Fûka. Il tente de devenir célèbre mais la route vers le professionnalisme est longue et parsemée d’embûche. Dans ce milieu, beaucoup d’appelés et peu d’élus. Le monde de la musique serait-il superficiel. L’important semble être de savoir se vendre, pas forcément d’avoir un réel talent, de bons textes et être sincère. Ça nous renvoie un peu à l’image d‘Épinal que nous avons, nous, profane à ce monde particulier. Ça peut paraître cliché pour le lecteur mais en même temps, ça nourrit l’intrigue qui s’étoffe un peu. Pour l’avenir, ce volume nous prépare aussi à la suite. Est-ce que le groupe aura la capacité de percer, est-ce que le héros, Yû, gentil et naïf sera capable d’affronter le milieu impitoyable du show-business, est-ce qu’il ne va pas reporter son chagrin sur la nouvelle Fûka juste parce qu’elle porte le même prénom que feue son amie ? Nous sommes donc face à un suspens pour la suite qui s’annonce intéressante et qui donne l’envie de poursuivre cette série qui frise parfois le « un peu trop de bons sentiments ». L’auteur doit faire attention à ne pas tomber dans le mièvre et se doit de garder le bon équilibre entre le trop gentil au risque de friser l’écœurement. J’espère qu’il évitera ce piège car je trouve que ce manga, depuis le début, est très bon tant sur le plan du scénario que côté dessin ou l’auteur nous gratifie de beaux personnages, expressifs mais aussi de beaux paysages urbains. La suite en mars où nous retrouverons nos héros en plein concours. Encore une fois, lu sur Kindle avec une très belle numérisation.

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