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Critiques de Kousuke Satake (70)
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The Witch and the Beast, tome 7

Un tome sept de The Witch and the beast bien meilleur que le précédent, ce qui me rassure grandement. Les choses sérieuses se mettent en place et on entre dans le vif du sujet ce qui fait qu'il est beaucoup plus entraînant de suivre les mésaventures de nos deux héros. Parce que les pauvres ne sont décidément pas ménagés... mais comme c'est palpitant à souhait, on s'en accommode plutôt bien.



Nous n'avons pas encore tous les aboutissants, c'est certain. Il y a quelques petites zones d'ombre qui persistent, mais clairement plus de révélations, plus d'action et les manigances des vampires conduisent à certains événements que j'ai particulièrement appréciés. Déjà on perçoit un "rapprochement" entre Guido et Ashaf. Je mets des guillemets parce que leur relation était pour moi déjà à ce stade au début du manga, mais Kousuke Satake ne le laissait pas autant paraître. Outre une conversation assez drôle sur l'amour dont Guido ne capte absolument rien, on voit clairement la confiance qu'ils ont l'un envers l'autre. Ashaf pousse même la chose jusqu'à s'infliger un sortilège qui ne semble pas anodin. Et ces quelques petits détails font que ma curiosité est ultra titillée. J'ai envie d'en savoir plus car j'ai l'impression que l'on nous cache pas mal de choses... et si ce n'est pas le cas, je meurs d'envie que le mangaka développe cela. Je n'aurais rien contre une romance surtout entre ces deux-là !!



Pour les vampires, on voit les intentions de chacun se dessiner. Les intrigues politiques vont bon train, et entraîne de la violence, cela va de pair. Comme je le disais, je suis plus que hypée par cette suite. Elle est beaucoup plus dans la veine des autres tomes et l'action ainsi que les scènes de combat toujours aussi léchées sont réjouissantes. Je suis peut-être un peu moins fan de cette reine des vampires par contre. Elle a un côté un peu caricaturale dans le sens amoureuse transi qui ne répond que par la violence. J'ai du mal à voir en elle une ennemie avec un agenda si je puis dire, elle est plus une marionnette. Du moins de ce que j'en perçois. Cela renforce la puissance d'Angela, mais... je m'attendais à quelque chose de plus élaborée. La suite me contredira peut-être, on verra.



Un tome donc des plus efficaces où les pièces du puzzle sont enfin sur le plateau et donne une compréhension de l'ensemble beaucoup plus clair. Vu que l'on va atteindre trois tomes minimum pour cette intrigue, j'espère qu'elle nous en révèlera encore plus. Je sais qu'avoir de grandes attentes n'est pas toujours une bonne chose, mais je ne peux pas m'en empêcher.

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The Witch and the Beast, tome 8

Fin de l’arc concernant la reine de la nuit. Si je n’ai pas eu les révélations que j’attendais concernant nos héros, nous avons au moins eu de quoi nous contenter au sujet de Danword et de son passé. C’est déjà cela, et en plus, il se pourrait que cet arc de The Witch and the beast soit le point de départ de quelque chose de plus grand. Des promesses qui ont intérêt par contre d’être tenues.



Même si je n’ai pas obtenu ce que je voulais, il n’en reste pas moins que ce tome huit est tout aussi efficace que le précédent. Avec notamment des affrontements assez spectaculaires qui poussent chacun des personnages dans ses retranchements. Il y a tout de même un petit goût de « reviens-y » concernant Guido. Je ne me lasse pas de le voir combattre alors que pourtant, la violence est ultra présente, mais c’est comme toucher du doigt quelque chose qui nous échappe et cela titille ma curiosité.



En parlant de curiosité, nous avons enfin le fin mot de l’histoire concernant Danword et la reine de la nuit. Une histoire tragique pour le premier, qui nous montre une facette intrigante du vampire notamment. Quant à la seconde… je ne sais pas ce que le mangaka voulait nous faire ressentir, mais personnellement, je n’ai pas vu la reine comme une victime et je n’ai eu aucune pitié pour elle, même après avoir découvert son passé. Son orgueil l’a perdu et elle sait prise elle-même au piège de sa vanité…



J’ai adoré par contre le mélange entre les vampires et les loups-garous. J’ai trouvé cela tellement original de faire d’ennemis ancestraux dans la littérature des formes de puissance différentes pour un seul et même être. Cela détonne et en même temps pousse les limites de ce que l’on peut connaître. Un très bon choix.



Quant à la fin… je suis un petit peu mitigée dans le sens où j’ai trouvé que c’était un peu facile, et surtout je n’ai pas compris pourquoi la sorcière n’avait pas agi bien avant. Cela tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, ou alors j’ai manqué un détail crucial… Enfin, au moins nous pouvons passer à autre chose maintenant, et j’ai hâte de voir ce que The Witch and the beast nous réserve.

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The Witch and the Beast, tome 3

Je ne me lasse pas, et c'est plutôt chouette de se plaire autant dans un univers, même si j'ai l'impression que pour l'instant nous sommes plus dans une suite de mission que dans le réel suivi de la trame principale. Mais cela ne me dérange pas du tout car on apprend ainsi à bien connaître les personnages et plus les choses avancent, plus j'apprécie Guido et Ashaf. Ils forment un sacré duo, aux antipodes l'un de l'autre mais avec une affection que l'on s'en poindre à travers de tous petits éléments. J'aimerai les découvrir en dehors de leurs missions, cela pourrait être très intéressant.



Mais d'abord parlons de ce tome trois de The Witch and the beast. A la fin du tome précédent, on apprenait que nos deux héros allaient partir pour une mission dangereuse. Récupérer une sorcière alors que l'ordre des chevaliers sacrés était déjà sur place. Guido est totalement partante car c'est peut-être l'occasion de lever sa malédiction et de taper sur du chevalier, mais les choses ne tournent pas vraiment comme elle l'aurait espéré...



Franchement, c’est le tome que je préfère jusqu’à présent. Déjà pour l’action. Il y en a pas mal et les combats sont plutôt palpitants. Voir Guido en action est très plaisant et elle ne lâche rien. Helga, la sorcière qu’ils sont chargés d’appréhender, est aussi un personnage que j’ai beaucoup apprécié. Elle contraste avec ce que l’on a pu voir jusqu’à présent, et permet de nuancer ce que ce monde pense des sorcières. Je ne pensais pas que ce serait quelque chose que l’on verrait, même après avoir rencontré Fanola, et j’ai hâte de voir ce à quoi cela conduit. L’ordre de Guido et Ashaf me parait tout de suite bien plus intéressant !



Nous rencontrons aussi les chevaliers sacrés. Ils ne sont pas vraiment des ennemis, mais… disons qu’ils sont bien l’incarnation de l’église lors de l’inquisition avec cependant une certaine modération. Pas vraiment le genre de personnages que l’on va apprécier cela va sans dire même si le colonel que l’on rencontre a un sacré charisme. Voir cette nouvelle facette de l’univers de The Witch and the beast ancre encore plus cette ambiance bien particulière qui se dégage depuis le début. Je suis loin d’être une fan de la religion surtout dans son extrémisme mais si elle est bien traitée, cela peut être très intéressant. A voir donc s’ils seront plus présents à l’avenir ou pas.



La fin nous laisse sur notre… faim ! C’est le moins que l’on puisse dire. J’étais tellement concentrée sur ce qu’il se passait que je n’ai pas vu les pages tourner, et autant vous dire que j’ai très envie de poursuivre l’aventure avec le tome quatre. Heureusement, je l’ai sous la main !

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The Witch and the Beast, tome 2

Ayant beaucoup aimé le premier tome de The Witch and the beast, je n'ai pas résisté à enchaîner avec le second. L'univers me plait beaucoup et cela fait une bonne coupure par rapport à mes autres lectures en cours, donc c'est parfait. J'ai juste peur d'engloutir les dix volumes sortis et d'ensuite devoir attendre ! Mais je n'en suis pas encore là.



Le premier tiers est consacré à la fin de l'enquête qui avait débuté dans le premier tome. Nos héros sont toujours à la recherche de la sorcière qui sème la panique dans la ville d'Haiden mais Ashaf a un plan et il semble assez confiant. C'est d'ailleurs quelque chose que je trouve assez intéressant. Il ne paye pas forcément de mine au premier abord, se la joue flegmatique mais plus on apprend à le connaître, plus je me dis qu'il cache bien son jeu et que Guido n'est peut-être pas la plus menaçante. A voir comment les choses vont évoluer, mais je pense que le magicien nous réserve des surprises. Quant à l'enquête... je suis contente qu'elle se soit finie assez rapidement, et en même temps, je ne sais pas... j'ai trouvé qu'on allait trop vite. Surtout au niveau de la conclusion, où l'exécution du méchant m'a paru trop brutale et expéditive vis-à-vis de certains enjeux. Ça m'a semblé bizarre. Mais c'est aussi raccord avec l'univers du manga. Il n'y a pas la place pour les apitoiements, et il faut éliminer la menace.



Chose assez surprenante ensuite, Guido et Ashaf passe le flambeau à un nouveau duo pour une mission liée à la nécromancie. Pour un deuxième tome, c'est osé en un sens de mettre de côté les héros, et en même temps, j'ai trouvé très sympathique d'en apprendre plus sur les membres de l'organisation. Surtout que Fanola et Johann sont sympathiques et mènent leur enquête ave brio. Et que rencontrer des personnages aussi badass, ça fait toujours plaisir, sans compter qu'on touche à une thématique qui pousse à réfléchir : la résurrection. On découvre donc une autre branche de la magie, toujours aussi sombre et bien glauque, mais grâce à Fanola, il y a énormément de nuances que ce soit au niveau de ce qu'elle est mais aussi de ses pouvoirs (et j'adore les nuances). Le duo fonctionne hyper bien, je les ai tout de suite trouvés sympathiques, et j'espère vraiment qu'on les retrouvera bientôt. Une rencontre surprenante donc, mais au final très plaisante.



La fin nous refait basculer sur Guido et Ashaf avec une nouvelle mission à la clé qui s'annonce des plus dangereuse. Est-ce que j'ai hâte ? Oui carrément ! D'autant plus que certains détails concernant nos héros m'ont fait revoir leur relation et je suis plus qu'intriguée. Non vraiment, The Witch and the beast est une saga qui est extrêmement prometteuse et je suis bien contente de lui avoir donné sa chance.

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The witch and the beast, tome 1

J'avais envie de quelque chose d'un peu plus costaud après avoir fini Parfait Tic, et surtout de surnaturel. The Witch and the Beast me faisait de l'oeil depuis un petit moment, et c'était le moment parfait pour se lancer dans l'aventure. Et j'avoue que ce premier tome m'a vraiment conquise à tous les niveaux. Le graphisme, les personnages et l'histoire sont vraiment tout ce que je recherchais pour cette nouvelle aventure et j'ai hâte de voir comment les choses vont évoluer.



J'ai vraiment aimé l'entrée en matière. Comme je suis plutôt action que blabla le fait d'être lancé directement dans le vif du sujet était une excellente entrée en matière pour moi. Et on comprend assez rapidement les enjeux et l'univers. Ashaf et Guido sont là pour chasser des sorcières maléfiques et autres joyeusetés liées à la magie. Le premier est un magicien au flegme impressionnant, la seconde est une boule de rage qui cherche à trouver la sorcière qui l'a maudite. Franchement, on sent très rapidement que le duo a une dynamique qui va fonctionner, du moins pour moi. J'adore ce genre de duo où l'on sait que les piques vont aller bon train, et que malgré les apparences, il y a un certain attachement. Reste à voir comment cela évoluera au fil des tomes.



Pour la mise en bouche, on suit nos deux compères lors de deux enquêtes. La première nous explique bien le danger que sont les sorcières tout en nous montrant l'étendue des pouvoirs de Guido. Une introduction efficace à souhait qui permet ensuite de prendre un peu plus de temps pour apprendre à connaître les deux héros et l'univers. La deuxième enquête est donc plus lente, elle ne se finit d'ailleurs pas avec le tome 1 de The Witch and the Beast. On prend le temps avec une réelle investigation, et on creuse beaucoup plus le passif des personnages qui vont graviter autour de Ashaf et Guido. La psychologie est plus présente, et il y a un travail sur l'envie de vengeance. Le côté sombre de l'univers s'imprègne vraiment tout comme la violence. Nous ne sommes pas là pour rigoler, et tout le manga nous hurle qu'il va falloir s'accrocher. Et j'adore, c'est assumé jusqu'au bout.



Le design est aussi parfait avec l'univers. Il y a un côté rond qui adoucit parfois les personnages féminins accentuant ce semblant de bonté, de fragilité et à côté de cela, on retrouve aussi un trait acéré et pointu. Douceur et violence. C'est loin du style dont j'ai l'habitude et j'avoue que c'est aussi quelque chose qui me charme tout à fait. J'avais besoin de sortir un peu de mes sentiers battus et c'est carton plein.



Ce premier tome de The Witch and the Beast m'a donc laissé une très bonne première impression. J'espère franchement que la suite sera à la hauteur car j'ai le sentiment que je vais bien me plaire avec Ashaf et Guido.

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The Witch and the Beast, tome 10

Un tome palpitant du début à la fin, et si je ne me trompe pas, le prochain doit sortir en septembre prochain et l’attente va être longue, très longue. Mais je ne suis vraiment pas mécontente de m’être plongée dans The Witch and the beast car avec son ton bien particulier, comme son design, le manga a clairement su gagner mon cœur.



Après la fin du tome neuf, j’avoue que je ne m’attendais pas à tout ce qui arrive ici. Ça a des allures de fin de saga, et j’espère vraiment que ce n’est qu’un arc parce que, non, clairement je ne veux pas quitter nos héros. Commençons par le plus drôle. Enfin le seul élément à vrai dire : Guido en garde d’enfant ! Rien qu’en écrivant ça, je suis prise d’un fou rire. Mais qui irait confier un enfant (bon d’accord, c’est un artefact interdit mais ça reste un enfant) à Guido ? Qui ? Ashaf bien entendu. Et le pire, c’est que ça a l’air de fonctionner autant pour l’un que pour l’autre. Et ce petit bonhomme reste extrêmement mignon, surtout envers ses gardiennes. On n’arrive pas à oublier qu’il est dangereux, notamment avec son regard, mais en même temps, tous les passages concernant ce bout d’intrigue du manga, sont juste adorables.



Et à côté de cela, la traque de la clique d’Angela pour retrouver l’artefact continue. Si Ashaf est quelque peu absent pour le coup, par contre, nous avons droit aux retours de nombreux personnages. Et je vous avoue que c’était plus que jouissif, même si encore une fois, on a l’impression de voir une armée se former pour le grand combat. Il y a une tension bien palpable que ce soit durant les combats que certains doivent faire face, ou bien des informations que l’on apprend. Il y a un excellent rythme qui plus est avec l’alternance de passages plus ou moins dramatiques et anxiogène, et d’autres plus calmes et contemplatifs. C’est comme soit être dans l’œil du cyclone ou bien en pleine tempête. Si bien que les pages se tournent toute seule.



Je sais que l’on a encore beaucoup de choses à apprendre, notamment sur Guido, qui reste encore un mystère et c’est ce qui me fait espérer que la suite ne nous mènera pas trop rapidement vers la fin. Je serais déçue si avec la capture d’Angela, ce soit la fin de tout, mais encore faut-il l’attraper. Alors oui, je m’attends à ce que le tome onze de The Witch and the beast soit assez épique, ou du moins dans la même lignée que celui-ci, car on a vraiment l’impression d’avoir passé un cap, que les petites missions à répétition étaient bel et bien finies. Et j’ai hâte. J’espère juste que je ne place pas trop d’espoir dans cette suite.
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The Witch and the Beast, tome 6

Changement de cap pour nos deux héros avec une descente aux "enfers" si l'on puit dire, aka Horrencia Seth, univers parallèle peuplé de vampires. Même si l'on est toujours dans l'optique de la chasse aux vilaines sorcières et ici plus particulièrement Angela, le changement opéré avec l'apparition d'autres créatures surnaturelles est plutôt sympathique. Par contre, je ne goutte pas aux tomes de 140 pages, merci bien... Les deux histoire bonus à la fin du tome n'apportent absolument rien (même celle sur Fanola où on n’apprend rien de nouveau), alors que nous sommes en quête de réponses depuis maintenant plusieurs tomes... J'en conviens que finir sur l'image de la reine des vampires était parfait comme conclusion pour ce tome six de The Witch and the beast, mais franchement, cela entraîne plus de frustration et de mécontentement que de curiosité.



Un peu agacée donc après la fin de ma lecture d'où ma note un peu en deçà des autres tomes. Ce n'est pas une pratique que l'on voit très souvent, mais j'avoue qu'à chaque fois que c'est le cas, je lève les yeux au ciel. Car au final, tout ça pour garder un nombre de pages constant et faire payer au lecteur les 2/3 de ce qu'il a habituellement. J'espère franchement que cela ne se reproduira pas.



Nous voici donc dans un monde où les vampires règnent en maître mais avec de nombreuses règles ce qui induit une cohabitation plutôt réussie avec les humains. Horrencia Seth étant dépourvu de magie, ce sont donc les suceurs de sang, en quelque sorte, qui prennent la place des sorcières. S'ils sont civilisés, il n'en reste pas moins très violent, et plus on avance dans le tome plus cela est flagrant. Pour l'instant, nous sommes dans une phase de présentation et nous apprenons à comprendre les vampires tout comme Guido et Ashaf. La piste d'Angela est connue mais j'ai comme l'impression qu'elle ne sera pas atteinte avant un petit moment, surtout que l'un des accompagnateurs de nos héros les conduit à un incident diplomatique des plus fâcheux. Les vampires sont civilisés mais aussi très primitifs lorsqu'il s'agit de regagner son honneur... Pas sûr que l'on y gagne au change niveau créatures obscures.



Deux nouveaux personnages font donc leur apparition : Oskar une magicienne de l'Echo noir et Danword, un vampire. La première pourrait être intéressante mais elle est très effacée. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle a un rôle de potiche, mais pas loin. Du coup, j'ai du mal à comprendre son utilité et l'intérêt d'en faire un personnage. Si son seul rôle et de faire un lien entre l'organisation et le vampire... cela gâche grandement son potentiel. Je me trompe peut-être, et je l'espère franchement. Danword est plus intéressant mais dans le sens où il incarne la nouveauté et une créature jusque-là inconnue dans ce monde. Je ne suis pas très fan de sa personnalité et pour l'instant à part le fait qu'il va pouvoir potentiellement conduire nos héros à Angela, il me laisse de glace. Je ne vois qu'une brute épaisse orgueilleuse et rien d'autre. Les deux nouveaux protagonistes sont donc juste des pions qui servent l'intrigue sans sortir du lot.



Bien que le sang frais (oui je sais, vampire, sang... c'était facile) apporte un peu de peps à l'univers, je ne suis pour l'instant pas trop convaincu par l'ensemble. Trop introductif, on assiste à des scènes de combat somme toute intéressantes, et une structure politique qui l'est tout autant, mais cela ne suffit pas vraiment. Peut-être que le prochain tome sera plus captivant car plus dans le vif du sujet, je l'espère fortement.

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The Witch and the Beast, tome 4

Suite et fin de cette mission épique et elle est tout aussi réussie que la première partie. C’est vraiment plaisant de se plaire autant dans un univers qui joue avec les nuances et dont la part sombre est tout à fait assumer. J’avoue que par contre, j’aimerai un peu de développement autour de nos héros maintenant. Histoire de donner encore plus de profondeur à The Witch and the beast.



La mission pour mettre en sécurité Helga et l’épée maudite ne se passe pas tout à fait comme prévu… et c’est un peu un euphémisme… Même si nos héros se trouvent un allié dans le colonel Cooger, le bourreau dévoile son jeu et décide de passer aux choses sérieuses sans plus de cérémonie. C’est violent, comme à l’accoutumé, mais on a aussi droit à pas mal de moments qui sont autant émouvants qu’intriguant. Le mélange est plutôt réussi mêlant l’action avec l’avatar de Guido plutôt en colère, le passé d’Helga et la preuve encore une fois que toutes les sorcières ne sont pas des monstres, et les révélations concernant les bourreaux et leurs agissements. Encore une fois, les méchants ne sont pas toujours ceux que l’on pourrait croire.



Graphiquement aussi, ce tome quatre est impressionnant. Kousuke Satake a un style bien particulier, gothique à souhait, parfait pour les grands moments de tension. Mais par contre, j’aimerai maintenant un peu plus que cela. Comme c’est le début de la saga, il est normal de ne pas entrer forcément dans le vif du sujet, mais il serait temps que Guido nous livre quelques secrets. Notamment face à son avatar et sa malédiction. Ashaf a l’air d’en savoir plus qu’il n’y parait et je n’arrive pas encore à savoir si c’est pour protéger sa partenaire ou bien pour les intérêts de leur organisation. Il pourrait jouer sur les deux tableaux, mais là encore, ce n’est pas assez développé pour qu’on se fasse une idée. Et le tout est de plus en plus intriguant ! Et je ne suis pas trop du genre patiente… donc j’espère que l’on aura rapidement de quoi se mettre quelque chose sous la dent.



Quant à la fin de ce quatrième tome de The Witch and the Beast, nous sommes encore face à un cliffhanger, qui cette fois-ci concerne Guido. De quoi donner sacrément envie de poursuivre l’aventure ! Ce que je vais faire de ce pas.

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The Witch and The Beast, tome 9

C’est toujours quand je me dis qu’on va enfin avoir un tome centré sur Guido et Ashaf qu’un événement pas possible se produit et nos deux héros passent à la trappe… C’est ultra frustrant, même si le tome était très bien, parce que justement j’ai cette impression qu’on se « débarrasse » souvent d’eux pour mettre en avant d’autres personnages. En neuf tomes nous n’avons eu que quelques petites miettes les concernant et moi j’en veux plus, beaucoup plus.



Après franchement, je ne vais pas me plaindre, on retrouve pas mal de personnages que j’ai beaucoup aimé avec Fanola, Matt et Helga notamment. Voir tout ce petit monde joindre leurs forces pour pallier à une attaque d’envergure cela laisse entrevoir des choses plutôt intéressantes pour la suite. Bien que dans des camps différents, ils sont capables de faire front une nouvelle fois et cette coopération m’enchante au plus haut point.



Je trouve par contre l’utilisation de la trahison au sein des différentes organisations un peu trop redondante à mon goût. C’est facile et en plus cela fait passer, notamment l’ordre des chevaliers sacrés, pour des incompétents. Pour un groupe qui se veut irréprochable, ça laisse sacrément à désirer. Surtout que l’influence des sorcières ou des artéfacts n’est plus à prouver. Un petit peu de renouveau serait plaisant.



Ce tome neuf de The Witch and the beast, même s’il nous offre pas mal d’action, reste somme toute introductif. On retrouve Angela qui visiblement prépare un sal coup, avec d’autres sorcières qui plus est, mais nous ne savons pas grand-chose de plus. L’arrivée aussi d’un magicien ultra puissant ne me dit rien qui vaille même s’il est du côté des « gentils ». En clair, on nous pose gentiment les pions sur le plateau pour nous préparer à la suite.



Je n’ose pas trop de réjouir de la fin de ce tome, même s’il est jouissif au possible, tellement la demande d’Ashaf est hilarante et absurde mais… j’ose espérer. En tout cas, cela est prometteur.



Un tome neuf de The Witch and the beast plutôt sympathique. J’ai notamment beaucoup aimé revoir Fanola et Helga, et surtout voir leur relation qui a quelque chose de très tendre même si leurs présences sont restées brèves. L’attaque de ce groupe de sorcières semble les prémices d’une grande catastrophe de quoi garder occuper nos héros.
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The Witch and the Beast, tome 5

Malgré la fin plus qu'intrigante du tome quatre, j'ai patienté un petit peu avant de me plonger dans le volume cinq de The Witch and the beast. A l'allure où je vais, je vais finir la saga et l'attente pour le onzième va être extrêmement longue mais ça devient une drogue... et il est difficile de résister. Surtout qu'avec l'apparition d'Angela, on se doutait que la suite des événements allait être des plus intéressante. Je m'attendais cependant à bien plus de révélations au final, mais au moins certains points concernant Guido ont été levés.



Depuis le début de The Witch and the beast, je n'arrive pas à savoir si Guido est un homme ou une femme. Son enveloppe corporelle est celle d'une femme, mais comme son alter ego est un homme... C'est confusant. Et ici Ashaf utilise le pronom "il" pour parler de Guido... mais je ne crois pas qu'il l'ait déjà fait par le passé, ou bien je n'y avais pas fait attention. Quand Angela apparaît, on se rend compte qu'elle a la même apparence... Un jeu de la sorcière qui reste encore obscur. Qui a l'apparence de qui ? Et c'est là que je m'attendais à plus de révélations. Au final, l'appât qu'est Angela n'est fait que pour nous dévoiler la rencontre entre Guido et Ashaf. Attention, c'était très sympathique, car on voit notamment l'évolution de Guido sur ces trois ans, mais j'en voulais plus. Surtout quand Ashaf nous parle des sentiments qu'il a envers Guido. C'est un peu comme nous donner plein d'informations qui ont l'air hyper intéressantes mais dont on ne sait pas quoi faire. C'est frustrant, même si je me doute que l'on en saura plus, plus tard.



Néanmoins, j'ai apprécié de voir comment la rencontre avec nos deux héros s'était déroulée. Il est un peu plus facile d'appréhender pourquoi Guido a intégré l'organisation Echo noir d'une part, et aussi de façon détourner de voir qu'Ashaf a toujours été quelqu'un de profondément gentil qui ne se fit pas aux apparences et qui donne sa chance à tout le monde. Sauf bien entendu, si vous faites partie des méchants, et là, son intelligence affûtée sera la pire des menaces. On ne connait toujours pas les raisons qui ont conduit le magicien, par contre, à faire ce qu'il fait aujourd'hui. Je vous l'ai dit ce tome c'est un peu comme gagner un gros pot de friandises mais de ne pas pouvoir l'ouvrir ! Tant de questions et de mystère... Il va falloir se montrer patiente et ce n'est clairement pas mon fort !



En parlant d'Echo noir d'ailleurs, on se rend compte aussi qu'ils recrutent énormément de sorcières mine de rien. Et qu'on nous montre aussi que la plupart sont loin d'être les monstres terrifiants que l'on nous décrit. Et je me demande quelles sont les intentions de Kousuke Satake. Le fil conducteur est la malédiction de Guido, mais Echo noir reste très mystérieux en fin de compte et j'espère que ce n'est pas qu'un outil de l'intrigue mais que l'organisation prendra plus de place à un moment donné. Et que cela sera positif. Je ne suis pas certaine que j’adhère à un revirement de situation de genre les gentils sont en fait des méchants. A voir, à voir.



Un tome sympathique donc mais qui n'est pas à la hauteur de mes espérances. Comme je l'ai déjà dit, je voudrais qu'on en apprenne vraiment plus sur nos héros pour que l'on gagne en profondeur et que le manga ne se cantonne pas à une suite de missions.

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The witch and the beast, tome 1

Ashaf et Guido sont sorciers. Ils font partie de l’Ordre de l’Echo Noir, ils sont mandatés par cette organisation occulte qui agit « par la sorcellerie pour la sorcellerie » afin de débusquer les sorcières (et sorciers) qui utilisent leurs pouvoirs à de mauvaises fins. Ashaf est un sorcier, mince, cynique, pragmatique, posé et doté d’un humour à froid. Guido est une sorcière, sanguine, radicale, dotée d’une forte personnalité, préférant l’action à la réflexion. On apprendra que Guido est victime d’une malédiction et n’a intégré l’Ordre de l’Echo Noir que pour pouvoir retrouver son enveloppe corporelle. En attendant, elle a l’apparence d’une blonde inoffensive sauf quand elle s’énerve.



Ils débarquent dans la Ville Ecarlate où la petite-fille d’une ancienne sorcière très puissante est occupée à préparer un sortilège puissant d’invocation à l’échelle de la ville. Cela donne lieu à quelques passes d'armes quand il s'avère que les intentions de la petite-fille ne sont pas spécialement pacifiques...



Le tome est composé de 4 chapitres, deux se passent dans la Ville Ecarlate, 1 met en scène une créature monstrueuse à combattre et le dernier chapitre met Ashaf et Guido aux prises avec des meurtres en série.



L’univers (un peu steampunk, un peu fantastique, et ressemblant quand même à notre XXiè siècle) est riche de possibilités. Les personnages sont assez complexes et laissent entrevoir pas mal de directions pour de futures aventures. Le dessin est plutôt de bonne qualité. Le trait est fin, précis. Les décors sont fouillés, les scènes d’action sont animées et bien rendues. Globalement, c’est intéressant. On n’a pas (trop) les habituels débordements propres aux mangas connotés ados. Il y a une belle atmosphère qui s’installe au fur et à mesure du récit. Le bémol, c’est que l’ensemble est assez classique, convenu, et on voit venir les grosses ficelles et leurs gros sabots… Cela dit, je me laisserai bien tenté par un deuxième tome, histoire de voir si la bonne impression globale se confirme.

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The witch and the beast, tome 1

Le début du printemps s'ouvre avec la chasse aux sorcières cette année chez Pika.



Oubliez les nombreuses injustices et châtiments commis sur des innocentes durant le Moyen-Age. Dans ce premier manga de Kousuke Satake, les sorcières sont bien cruelles, rusées et sadiques jusqu'à la moelle. C'est pour cette raison qu'il existe l'Ordre de l'Echo Noir, un ordre qui s'occupe de calmer les dérives autour de la magie, incluant surtout la sorcellerie et les exactions de quelques sorcières un poil flippantes.



Nous suivons le travail de deux agents de cet ordre : Ashaf et Guido. L'un est un magicien de premier ordre au caractère posé et tranquille, ne dévoilant jamais ses émotions et doté d'un certain sens de l'observation. Guido, quand à elle (?) , est tout simplement une bête enragée qui ne pense qu'à becter de la sorcière. Dans le duo, elle incarne la force de frappe.



Sorcière cruelle ou pas, The Witch and the Beast m'a jeté un charme, tout simplement. C'est un titre qui démarre très fort avec ce premier volume qui mêle action, enquête, horreur le tout dans un cadre d'urban fantasy assez réussi où la menace de la sorcellerie se dissimule cette fois dans les recoins d'un monde moderne teinté de charme steampunk.



Coup de cœur pour des dialogues savoureux, le duo Ashaf et Guido fonctionne à plein régime et ce par le biais de dialogues savoureux entre le calme Ashaf et la tempétueuse et crue Guido. Un duo qui règne sur une certaine forme d'instabilité et dont les échanges sont plutôt savoureux. Il faut saluer encore une fois le remarquable travail de traduction accompli par Anais Koechlin qui a bien retranscrit la personnalité de nos personnages.



Coup de cœur aussi pour le dessin de Kousuke Satake, un nouveau mangaka qui, a priori, signe ici sa première série. Novice ou pas, ce mangaka impose aisément son style, un style délicat imposé par un chara-design très soigné qui ne tombe pas dans le piège du fan-service ! The Witch and the Beast est construit autour d'un style à la fois raffiné et explosif. Les personnages sont élégants, l'univers est très détaillé et possède de véritables qualités immersives même si le cadre de l'intrigue reste encore à définir. Nous sommes dans un monde où la magie et la sorcellerie peuvent se montrer particulièrement instables. De gigantesques créatures peuvent faire subitement leurs apparitions. Le mangaka montre qu'il est parfaitement à l'aise dans le domaine du spectaculaire comme le montre un premier combat face à une sorcière des plus retors. Une véritable avalanche de sorts qui engloutissent les cases. Dans l'ensemble, c'est un dessin d'orfèvre affiné notamment par un style un brin gothique qui peut soudainement éclater en rage et en puissance.



Ne nous y trompons pas, The Witch and the Beast demeure un seinen assez sombre qui distille une certaine dose de cruauté de la part des sorcières. La seconde partie de ce premier tome nous emmène dans les ruelles sombres d'une ville hantée par des meurtres en séries. La sorcière devient une serial-killer. Et avant de nous mener à la confrontation proprement dite, Kousuke Satake prend aussi le temps d'exposer son enquête. Nous sommes loin d'un titre bête et méchant axé uniquement sur la baston et la chasse bourrine aux sorcières. Ce titre se démarque aussi par son côté investigation assez prononcée. Dans les derniers chapitres, le ton horrifique est davantage souligné accentuant encore plus la menace représentée par les sorcières. The Witch and the Beast ajoute ainsi une petite ambiance frissonnante et cruelle.



Ce premier volume de The Witch and The Beast annonce une série de genre prometteuse avec un premier tome qui impose aisément une atmosphère et un style raffinés et brutales, le tout servi par un duo de héros très efficace.
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The witch and the beast, tome 1

Malheureusement quand on me parle de sorcières et de vampires dans l'univers mangas, j'ai souvent en tête des titres plutôt bas de gamme où ces créatures sont maltraitées, j'ai donc mis du temps à aller vers The Witch and the Beast malgré les beaux dessins de son auteur et le côté classieux de ses couvertures. Le résultat est un peu classique à mon goût mais la série semble offrir de jolies enquêtes très Urban Fantasy qui devraient plaire à un certain public.





Pour qui aime les thrillers mâtinés d'enquêtes, The Witch and the Beast a de solides arguments. Avec une narration et une mise en scène classique pour le genre, le titre offre d'entrée de jeu dans ce tome deux enquêtes mettant en scène des sorcières à pourchasser. Qui mènent l'attaque ? Un sorcier et son acolyte qui renferme en elle une bête et une malédiction apposée par une sorcière qu'elle aimerait bien débusquer pour s'en venger. Rien de bien neuf sous le soleil, certains comme moi, trouveront des similitudes avec bien des histoires fantastiques déjà lues comme pour ne citer que le plus connus : D.Gray-Man, mais l'aventure est au rendez-vous.





Dans un décor d'Urban Fantasy très classieux, entre moderne et ambiance médiévale, Kousuke Satake nous embarque à un rythme soutenu dans un ensemble d'enquêtes très urbaines où des sorcières viennent toujours semer le chaos, la discorde et la mort dans les villes où elles passent / s'installent. C'est très manichéen. Ne cherchez pas vraiment de profondeur ou de complexité ici. On est dans du très basique pour le moment, comme Guido, l'héroïne qui fonce partout dès qu'elle entend le mot sorcière et n'est qu'une figure figurant "les gros bras" du duo qu'elle forme avec Ashaf, le penseur parmi les deux. Les décors urbains sont réussis. Les scènes de combats sont tranchantes, explosives et assez trépidantes grâce à une mise en scène fort dynamique remplie de ligne de vitesse et avec des pouvoirs assez spectaculaires ainsi qu'une héroïne à la ligne qui se transforme lorsqu'elle passe à l'attaque devenant telle une lame.



L'amateur d'action et d'enquêtes pour trouver qui se cache derrière le visage de chaque sorcière, ce qu'elles mijotent et comment les vaincre, sera à la fête. Les deux enquêtes présentées ici sont déjà très différentes l'une de l'autre. La première présente une sorcière qui a fait main basse sur une ville et manipule tout le monde en se faisant passer pour la sauveuse pour mieux préparer un grand sacrifice. La deuxième offre plutôt une sorcière en mode serial killer qui aime provoquer les autorités en annonçant ses crimes qu'elle mettra en scène de façon bien sordide à chaque fois. L'ensemble est dynamique, prenant, mais manque un peu de profondeur et d'humanité pour moi.



Les beaux dessins léchés, très propres et très seinen du mangaka ne peuvent pas cacher à mes yeux la superficialité de l'intrigue pour le moment. On a certes une héroïne à la recherche d'une sorcière, avec une malédiction à lever pour laquelle elle teste plusieurs méthodes, ce qui l'amène à courir après chaque sombre magicienne qu'elle croise, mais c'est à peu près tout. J'avoue que de mon côté, j'attends quelque chose de plus, autre chose qu'une histoire de vengeance, autre chose que des portraits de méchantes sorcières forts manichéens. La beauté des dessins ne me fait pas oublier cela.



J'ai pris plaisir à cette lecture car ce fut un bon divertissement, mais je ne suis pas plus emballée que cela. C'est très, trop calibré, à mon goût. Il manque le petit grain de folie, le petit twist qui transformerait l'oeuvre en quelque chose de plus profond et complexe. Si on cherche une aventure dans une ambiance d'Urban Fantasy avec des méchants très méchants poursuivis par des gentils trahis par eux, on peut y trouver son compte car c'est dynamique et bien dessiné. J'aurais voulu plus.
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The Witch and the Beast, tome 7

Dans ma chronique précédente, je vous disais que l’on partait sur une nouvelle intrigue, et c’est vrai ! Sauf qu’avec cette suite, on découvre qu’elle rejoint celle entourant le mystère qu’est Guido ! Car clairement on ne sait pas vraiment ce qu’elle/il est ! Enfin, on a de sérieux doutes, c’est vrai, mais rien n’a encore été dévoilé.



Dans ce septième tome, nous continuons notre traversée dans ce monde souterrain, fief de dangereux vampires dans lequel Ashaf et Guido sont en mission.



Franchement, plus on avance et plus je trouve que cette histoire devient palpitante et prenante à souhait ! De plus, j’aime beaucoup ce côté ultra sombre de l’univers, tout comme l’évolution de la relation Ashaf/Guido. Sont-ils amis, plus, et qu’est-ce qui les lie vraiment ? Dans ce volume, on se pose la question et pas que nous apparemment !



Si Guido reste un mystérieux personnage que j’ai encore bien du mal à cerner, on peut dire qu’il en va de même pour Ashaf ! En sept tomes, on ne sait pas grand-chose de ce duo atypique qui recherche la puissante sorcière qui a jeté un sort à Guido.



Dans cette suite trépidante, on entrevoit un peu plus ce qui a pu se passer, notamment grâce à une conversation avec la reine vampire qui ne semble pas être ce qu’elle est. Enfin, pas que !



En bref. J’ai adoré ce nouveau tome des aventures de The Witch and the Beast ! J’apprécie toujours autant les dessins et l’histoire se complexifie tandis que le mystère entourant Guido se resserre de plus en plus.



Vivement la suite !
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The witch and the beast, tome 1

Un titre qui attire, mais qui au final me semble assez trompeur... enfin pour le premier tome..



Les protagonistes sont charismatiques, et mystérieux..

Un monde avec des sorcières et des animaux fantastiques, un ordre de "régulations" de la magie, une mystérieuse malédictions... tous les éléments sont présent pour un bon seinen fantastique à l'ambiance qui pour moi est gothique sans forcé le trait... ce qui est très agréable dans le dessin et laisse une impression de poésie dans l'horreur..



Le tome commence très fort avec une première mission très rythmée, qui nous permet de bien accroché à l'histoire! Résultat: on veut en savoir plus!

Le milieu de tome marque vraiment une pose qui est là pour vraiment poser les bases, expliquer des choses... bon c'est super visible, ça saute aux yeux et c'est un peu dommage... un peu genre on se débarrasse de tout ça pour plus avoir à en parler après ... je pense que ça aurait pu être fait autrement, de manière plus subtile!

Car après on reprend dans l'action, les enquêtes et c'est vraiment bien!... cette rupture de rythme est un point faible je trouve..



Au niveau graphique, le trait est fin, et sans beaucoup de fioritures, plutôt agréable et facile à lire, sauf dans certaines scènes d'action où on a du mal à comprendre ce qu'il se passe, il faut revenir étudier le dessin pour comprendre.. c'est un peu dommage vu que le reste est de qualité !

De même parfois on ne sait pas très bien quel protagoniste parle... c'est un peu gênant... bon ce n'est pas tout le temps, donc ce n'est qu'à quelques moments que la compréhension est difficile.

Les décors bien créés, on ne peut pas vraiment situer une époque, mais c'est très agréable.



Un premier tome très prometteur, avec des missions diverses et une grande quête sous-jacente ! Un récit fantastique épique mais aussi plein d'intrigues en perspective...

Je le recommande sans problème, même si les quelques petites choses que j'ai cité ne me font pas lui mettre une note plus haute! Pour ma part je ne vais pas hésiter à lire le prochain tome!
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The Witch and the Beast, tome 6

C'était à prévoir : Peu de temps après sa sortie dans nos librairies, ce sixième tome a rejoint ses camarades dans ma mangathèque ☺ et je n'ai pas attendu bien longtemps avant de l'en sortir pour le découvrir ♥





Toujours à la poursuite de la sorcière, Guido et Ashaf sont maintenant dans les Abysses, cet univers parallèle qui regorge de créatures surnaturelles en tout genre. Plongés dans un décor victorien, c'est une magicienne (Oskar) et un vampire (Danworld) qui seront leurs aliés le temps d'une mission ... Somme toute explosive. Ils sont entraînés dans une guerre territoriale à plusieurs niveaux et toute l'histoire me fait penser que nous allons rester un petit moment à leur côté. En effet, les grandes lignes sont présentées, mais c'est à la fois rapide à se mettre en place, que cela cache forcément autre chose, une tournure qui ne sera pas au programme de nos protagonistes. C'est d'ailleurs stoppé en pleine action, pour passer sur tout autre chose ! Deux nouveaux personnages dont on ne situe pas encore l'ordre chronologique et qui semble être un autre manga. Heureusement, on reconnait bien les coups de crayons propres aux personnages de cette série et la toute fin confirme qu'ils auront ou ont un lien avec ce qu'on lit.





Un tome assez particulier ! D'autres contextes, d'autres personnages, toujours une même quête. On notera que Guido a pris énormément en maturité et que la réflexion passe avant d'agir, comme le notera Ashaf en discutant avec Oskar ☺ Nos duos de choc étant moins mis en avant - ou du moins un peu plus discret qu'à l'habitude -, j'ai hâte de poursuivre pour voir la raison exacte et surtout comment cela va changer ☺ Si Guido se laisse aller, cela peut devenir "croustillant" ...

A mes yeux, ce n'est pas le meilleur des tomes, mais la tournure est intéressante. Elle déroute un peu, mais met en avant l'univers très riche de cette saga. L'histoire n'est pas prête de s'arrêter et j'en suis ravie ♥
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The Witch and the Beast, tome 6

Il me tardait de me lancer dans ce tome, parce que les personnages changeaient de monde et allaient nous offrir de la nouveauté, et je n’ai franchement pas été déçue par cette lecture, malgré la petite histoire bonus, dont je vous parlerai plus tard !



Avec ce sixième tome de cette super saga, on retrouve nos protagonistes Ashaf et Guido qui nous promettaient de la découverte, et ce fut le cas ! Ils sont descendus dans le quatrième sous-sol, qui nous montre toute l’étendue de l’imagination et de la complexité de cet univers, j’adore !

Ce nouveau monde offre aussi de la différence, pas mal de différence, tout d’abord vestimentaire avec un style ou un code de couleurs par rapport à l’origine de la personne comme on le découvre rapidement. Mais aussi avec les êtres qui peuplent ce nouvel univers, qui sont différents de celui de Ashaf et Guido.

En effet, ce nouveau tome, et ce nouveau monde mettent en avant les humains et les sorcières comme dans le monde de Ashaf et Guido, mais le mangaka nous propose de rencontrer une nouvelle espèce : les vampires. Alors, ce n’est franchement pas très original et le mythe du vampire a été utilisé et carrément usé dans le monde de la littérature. Je dois avouer que l’idée de mettre en avant les vampires ne m’a pas forcément beaucoup plu.



En revanche, j’ai bien aimé le travail qu’a fait le mangaka pour jouer avec les sorcières et les vampires, pour leur en faire des mets de premier choix, contrairement aux idées véhiculées sur les humaines particulièrement.

Il ne s’en tient pas seulement à cela, et nous propose un vrai travail sur eux, et nous présente une hiérarchie intéressante mais réellement primitive pour retrouver sa gloire perdue, ou pour gagner la place de roi.

Tout cela nous allons pouvoir le découvrir grâce à un nouveau duo de personnages, Oskar une magicienne et Danword un vampire, eux deux vont avoir besoin de nos protagonistes, surtout Guido d’ailleurs pour atteindre leurs objectifs. Mais nos protagonistes ne s’en tiendront sûrement pas qu’à cela, et ils récupéreront leur dû. Pour ces deux nouveaux, je n’ai pas trouvé Oskar très marquante dans cette histoire, contrairement à Danword qui est beaucoup mis en avant, et vraiment très charismatique, il y a un certain déséquilibre entre les deux, et c’est un petit peu dommage…



Ce que j’apprécie aussi beaucoup avec ce titre et que je trouve original, c’est que le mangaka donne des prénoms masculins à des personnages féminins, ou aux airs féminins. C’est un jeu et une surprise que j’aime beaucoup, et on le voit bien avec Guido et Oskar, mais surtout Guido qui porte des tenues plus féminines. Dans ce tome, elle va devoir jouer le jeu de la débutante dans la société comme on peut appeler ces jeunes femmes d'une époque, je l'espère révolue.

Les personnages vont nous offrir un histoire dynamique et prenante, avec une pointe de violence pure avec Danword qui percute. Ce personnage détonne presque avec toute l’image qu’ont voulu mettre en avant la petite noblesse de ce monde.



Encore une fois, il me tarde d’avoir la suite, parce que cette histoire se termine avec une femme très intrigante, et très belle. Je me demande quel est son rôle dans cette histoire, parce qu’elle va pour moi, en avoir un à jouer.

Je salue le chapitre final de ce tome, qui a été très prenant, et très enrichissant pour cet univers.

On a droit aussi à une histoire bonus qui mange un petit quart du tome, et j’ai trouvé que c’était dommage, surtout que l’histoire est sympathique mais sans plus. Mais surtout elle est très légère à l’inverse de l’ambiance générale de la saga, ça se laisse lire et ça s’apprécie, mais ce n’est pas elle qui aura révolutionné ma lecture. Et pourtant, elle se présente comme le chapitre 0 de la saga, bien contente de la tournure de la saga !
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The Witch and the Beast, tome 5

Chaque couverture de cette saga est plus belle les unes que les autres, et à chaque fois, elles arrivent à dégager une certaine ambiance, à faire ressentir un certain sentiment. C’est toujours avec autant de plaisir que je me lance dans la lecture de ce nouveau tome à la couverture violette que j’adore.



Outre le fait que j’adore cette saga et que j’ai envie de me jeter sur chaque tome à sa sortie, celui-ci me tardait tout particulièrement de le lire avec la fin du tome quatre. Eh oui, l’histoire aurait presque pu s’arrêter là, puisque Guido retrouvait enfin Angela, la fameuse sorcière qui lui avait jeté sa malédiction. Cette sorcière qu’il recherche depuis le début de cette aventure un peu sombre pour enfin lever complètement la malédiction qu’il subit au quotidien.

C’était un moment des plus important de la saga pour permettre une avancée notoire, et ça n’a pas vraiment été le cas. Cette rencontre ne nous aura finalement pas apporté grand-chose de plus si ce n’est d’avoir pu mettre un nom, un visage (et encore, elle peut changer de corps) sur cette personne qui est à l’origine aussi de notre histoire. Bien que Guido ne fut pas au meilleur de sa forme, je retiendrai quand même que c’est une sorcière très intelligente et vraiment puissante, elle nous fait comprendre à lui mais aussi à nous, qu’il sera difficile de la trouver, de la mettre hors d’état de nuire, mais surtout de lever cette malédiction. J’aurai peut-être apprécié un tout petit peu plus de détails pour mieux comprendre le contexte, et comprendre ce qui a poussé Angela a lancé cette malédiction, mais ce ne sera pas la seule fois que je m’interroge à ce sujet.



Cette rencontre si elle ne s’est pas bien passée, elle était tout de même une source d’espoir pour Guido pour s’en sortir, et tout s’est un peu effondré autour de lui. Quand on a le sang chaud comme lui, il faut faire passer sa colère et toute personne est bonne pour en assumer cette responsabilité, et ici c’est Ashaf qui va devoir en subir les conséquences.

Cet événement va nous plonger dans leurs souvenirs communs, nous allons pouvoir découvrir comment ils se sont rencontrés tous les deux, et comment ils en sont venus à faire équipe. Tout commence par une histoire des plus classique avec The witch and the beast, on va d’abord retrouver Ashaf déjà membre de son organisation, à la recherche d’une sorcière. L’entrée de Guido se fera légèrement plus tard, mais lui aussi était dans sa quête de sorcière lui aussi en solo. Si Ashaf est fidèle à lui-même pour Guido c’est un peu autre chose, on le connaît sang chaud, mais plus vraiment bestial comme il l’était, on sent qu’au contact d’Ashaf il s’est civilisé et adoucit, c’est intéressant de voir ces deux temporalités pour se rendre compte de l’évolution du personnage.

Tous les deux vont devoir faire équipe tant bien que mal pour résoudre cette ancienne histoire de sorcières, je l’ai trouvé assez moyenne dans son développement, intéressante pour développer les sorcières avec leur pouvoir et leur malédiction, mais sans rentrer dans le détail comme avec Guido, ce qui est dommage. Mais surtout, j’avais un peu compris tous les enjeux, ou les personnages qui se tramaient derrière, mais je suis restée surprise par certains éléments tout de même. J’ai presque l’impression que ça devait être le début de son histoire, mais que finalement ça n’a pas été retenu et il a fallu la caser quelque part, et le plus tôt c’est le mieux.



Ce qui me donne encore plus cette impression, c’est que ce passé fait la coupure entre le début et la fin du tome, puisque ces deux parties sont liées. Mais alors les dernières pages viennent remonter le niveau du tome avec panache ! Je trouvais déjà que le mangaka nous offrait un univers riche, sombre et immersif mais avec son dernier chapitre, il ne fait que l'étoffer encore plus. Avec Ashaf on a droit à une explication sur la formation terrestre de ce monde qui est bien différent de notre univers. Mais il en rajoute avec différents mondes sur plusieurs plans en mettant en place des sous-sols, c'est presque comme si on avait plusieurs dimensions. Au vu de cette position, le mangaka peut clairement proposer de nombreuses choses s'il veut travailler sur ces différents mondes et nous offrir un titre extrêmement étoffé ! Kousuke Satake ne cessera de me surprendre, et pour cela je ne cesserai de lire cette saga, sauf si elle vient à me décevoir grandement, ce qui n'a pas été le cas jusqu'à présent malgré que soit ce tome soit légèrement en-dessous du précédent.
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The witch and the beast, tome 1

Bonsoir les booksta !

Mon deuxième manga lu 😅 qui l'aurait cru ! "The witch and the beast" de chez pika edition



Mon avis : alors c'est sur qu'après les carnets de l'apothicaire on change vraiment de registre !

On est plutôt sur du thriller fantaisie avec une chasse aux sorcières .



On va suivre Ashaf et Guido membres de l'ordre de l'écho noir qui sont missionés pour éviter les débordements causés par la sorcellerie.

Ils sont tous les deux assez particuliers comme personnages.

Et le maître mot de ce manga est la VENGEANCE !



Au début j'ai été un peu confuse l'histoire pour moi à mit du temps à se mettre en place. Mais après ça va ma lecture s'est bien passée. J'attends de lire le tome 2 pour me faire vraiment un avis sur cette lecture.



Les dessins sont très beaux et le mange est plutôt pour adulte.



Et toi connais tu ce manga ? Qu'en penses tu ?

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The Witch and the Beast, tome 4

Eh bien… Là encore, quel tome ! Je ne l’ai pas lâché jusqu’à la toute fin et quelle fin ! Encore un cliffhanger qui va me faire compter les semaines jusqu’en février 2022 !



Dans cette suite haute en couleur, l’action est omniprésente ainsi que les rebondissements ! Et il y en a ! Le dessin sert merveilleusement bien l’histoire. Un récit sombre empreint de mystère. Guido est ici mise en avant et j’ai été ravie de revoir sa part des ténèbres. Mais je ne vous en dis pas plus.



Sachez juste que j’ai l’impression que nous arrivons à un certain tournant et que tout risque de bientôt s’accélérer pour nos héros bien décidés à retrouver la sorcière qui l’a maudite. D’ailleurs, je me demande, Guido est-elle vraiment une femme ? Vu son comportement brutal et sa façon de parler, j’ai des doutes, j’ai envie de dire « iel » parce qu’au final on ne sait pas vraiment.



Et c’est l’occasion de revenir aussi sur le personnage d’Ashaf, un héros bien secret. On ne sait quasiment rien de lui et je le trouve très énigmatique. J’espère que les prochains tomes nous éclaireront plus sur ce protagoniste.



Quoiqu’il en soit, j’ai aimé ce quatrième tome que j’ai trouvé excellent ! Avec plein de scènes de combats et de rebondissement ! C’était top !
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