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Citations de Kresley Cole (268)


-Pourquoi moi ?
-Tu appartiens à la caste des sorcières enchanteresses, et tu es séduisante. Dans cette dimension, les mâles n’ont sans doute jamais vu de femelle comme toi.
-Dans cette dimension ? Ma chérie, essaie ‘univers’, plutôt.
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Ce qui l’ennuyait, c’était qu’un des mâles torse nu avait attiré son attention. Elle avait beau faire, Lucia remarquait toujours les hommes séduisants, et tandis que les deux équipes s’écharpaient, elle ne put s’empêcher d’admirer son impressionnante carrure, sa rapidité, son agilité. Même avec sa poitrine maculée de boue et ses joues mal rasées, elle le trouvait beau. Un peu brut de décoffrage, mais beau. Il avait les yeux d’un brun doré et des pattes-d’oie au coin des yeux, qui laisser deviner qu’il avait ri un jour, qu’il avait été heureux. Ce n’était de toute évidence plus le cas. La tension émanait de tout son corps. Il projetait de la colère partout autour de lui.
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Elle n'était pas seulement un fantôme - créature avec laquelle il n'avait pas d'expérience -, elle était aussi une femme sensuelle - créature avec laquelle il n'avait pas non plus d'expérience.
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Quel âge pouvait-elle avoir ? Il était possible qu’elle ne soit immortelle que depuis peu. Elle n’avait peut-être même pas cent ans. Quel que soit son âge, elle était de toute évidence trop jeune et trop fofolle pour savoir qu’il ne fallait pas tirer les moustaches d’un lycae de douze cents balais.
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-Alors, on a fini de se rincer l'oeil ? demanda-t-il sèchement. Oui, il était sexy en diable, mais il détestait les sorcières, malheureusement. Ca aussi, tout le monde le savait.
-J'en ai fini avec toi, oui, répondit-elle. C'était la vérité. Elle n'avait pas le temps de soupirer après des guerriers loups-garous brutaux si elle voulait devenir la première de son espèce à gagner la Quête.
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- C'est à moi de verser le sang de l'Impératrice. Gérez votre jeu en conséquence.

Ses paroles n'eurent aucun effet sur moi, étant donné qu'il me menaçait déjà depuis des mois. La Mort voulait me détruire ? Ah, on devait être mardi.
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— Parle-moi du vampire, ma belle. Ou ne me dis rien.
Mais ni toi ni moi n’avons envie d’être ici ce soir.
- Je vais te répondre, commença la Valkyrie en fixant ses cornes. Mais seulement si tu me laisses lécher tes cornes dures comme le roc…
— Nïx !
Regina avait toujours une oreille qui traînait.
Les yeux écarquillés, Nïx hurla :
— Mais qui a dit ça ? Je n’ai jamais dit une chose pareille ! Bon, bon, très bien… Le vampire s’appelle Conrad Wroth. Fais très attention. Il a supprimé Bothrops le Lich d’une seule main.
— C’était Wroth ?
.....
— Où est-il ?
— Pour le trouver, tu dois suivre celle qui le cherche dans le sommeil.
— Tu me parles en langage de devineresse, là. J’ai pas appris, moi.
Mais Nïx ne donna pas d’autre précision.
— C’est tout ce que tu as à me dire ?
— Tu veux en savoir plus ? Fallait me laisser lécher tes cornes
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- Je vais mettre une crème sur ta blessure, pour la soigner, dit Will à Chloé.
Et tandis que Loa psalmodiait, il étala la pâte sur la plaie. Des bulles se formèrent, comme avec de l’eau oxygénée, et Chloé grimaça. Des gouttes de sueur perlèrent à son front, mais elle serra les dents, encaissant la douleur sans émettre le moindre son. Petit être courageux.
- C’est bien, ma belle. C’est bien.
- Distrais-la, loup, murmura Loa.
- D’accord. Euh… tu joues au foot dans quelle équipe ?
- Tu as devant toi… la meneuse de jeu… des Seattle Reign, répondit Chloé d’une voix brisée par la douleur.
Mais son ton fier arracha malgré tout un sourire à Will. Sa femme était une footballeuse professionnelle. Qui aurait imaginé ça ?
Puis il fronça les sourcils. Elle avait dit être avant-centre, non ? C’était le poste le plus dangereux, assurément, et c’était sans doute l’explication de toutes ses cicatrices. Elle avait pris de sacrés coups, sur le terrain.
- Tu n’es pas un peu petite, pour jouer en championnat ?
Elle plissa les yeux, prit un air buté, menton en avant.
- Je fais partie de l’équipe olympique, connard. Je représente mon pays.
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Quelle femme n'a pas rêvé un jour d'un beau voyou masqué prêt à tout pour la protéger des méchants, voire d'un coureur de grand chemin ne demandant qu'à la délester de sa vertu et de ses bijoux ?
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— Arrête ! dit-elle en le frappant une nouvelle fois au menton.
Il posa sa lèvre ensanglantée de l’autre côté de son cou.
— Non, mais ça va pas ?
Un nouveau coup faillit lui démonter la mâchoire. Mais il effleura la pointe de son oreille de sa joue. Chaque fois qu’elle le frappait, il répondait par un baiser ou une caresse.
— C’est censé me faire mal, Valkyrie ? Tu frappes comme une petite fille.
— Une petite fille ? s’exclama Regin en le frappant plusieurs fois dans le bas du dos, le poussant à sortir du bassin.
Jamais il n’avait été aussi heureux d’être battu. Bien sûr, il ne se serait peut-être pas autant réjoui si elle avait été en pleine possession de sa puissance de Valkyrie, et s’il n’avait pas été au bord de la fureur sacrée.
Quand il remonta sur la berge à reculons et trébucha, elle sortit à son tour et sauta à califourchon sur lui pour mieux lui boxer le visage.
Plutôt que de la repousser, il posa ses mains sur ses seins parfaits, émit un grognement en sentant leur poids dans le creux de ses paumes. C’était moelleux et doux. Les pointes de ses seins étaient dures… Malgré lui, il donna un coup de reins sous elle.
Elle chassa ses mains, et il ne protesta pas.
— Tu me chatouilles, Valkyrie, et j’ai l’impression que tu aimerais que je te chatouille en retour.

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Declan s’approcha doucement.
D’une certaine manière, il s’agissait d’une opération militaire. Mais jamais un objectif n’avait eu autant d’importance pour lui. Et jamais un plan d’attaque n’avait éveillé en lui un tel dilemme.
Se déshabiller devant elle avait été un réel supplice. Attaquer un nid de cerunnos ? La routine. Prendre une forteresse démon ? Un jeu d’enfant.
S’offrir au regard scrutateur de Regin en sachant qu’elle allait sans doute le rejeter ? L’horreur absolue.

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— Non !
La Valkyrie leva une jambe au dernier moment et le repoussa, puis jeta son épée de l’autre côté de la clairière.
Elle ne l’avait pas plantée dans le torse de Declan, alors qu’il avait voulu la forcer à le faire.
— Pourquoi tu n’y arrives pas ? hurla-t-il.
— Je ne sais pas !
Elle semblait perdue, troublée.
— Tu veux vraiment que je le fasse ? Tu es si malheureux que ça ?
Face à son épée, quelques instants plus tôt, il avait accepté la mort. Mais il se rendait compte maintenant que mourir, c’était laisser Regin avec un protecteur de moins. Il devait d’abord lui faire quitter l’île.
— Tu ne mérites pas ma pitié, dit-elle.

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- J'ai honte d'avoir envisagé de renoncer, de me terrer pour me mettre à l'abri d'hommes comme toi. Mais plus maintenant. On ne met pas de collier au cou de l' Impératrice, on ne la met pas en cage, on ne la torture pas. Vois comme elle attire avec malice, comme elle punit à la perfection... Comme je punis à la perfection.
La fureur d'Evie commence à décliner ; les tremblements de la maison se calment.
- Je ne vais pas me mettre en colère contre toi pour m'avoir empoisonnée. Je vais simplement t'en faire payer le prix.
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Mes lèvres s'entrouvrirent. Je compris de nouveau qu'il était la seule chose dans ma vie qui me donnait l'impression d'être saine d'esprit, qui me donnait envie de me battre pour avoir un avenir.
- Evangeline, j'ai besoin de te sentir à chacun de mes pas. (Il referma sa main tremblante sur ma nuque et serra.) Ou je deviens un peu fou.
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Il s'écarta pour me regarder, les yeux étincelants.
- Je vais tout te déballer. Ris-moi au visage, je m'en fiche. Mais je vais te dire ce que j'ai sur le coeur.
- Je ne vais pas rire. Je t'écoute.
- Evie, j'ai eu envie de toi dès la première fois que je t'ai vue. Même quand je te détestais, j'avais envie de toi. (Il passa ses doigts dans ses cheveux.) Je suis complètement mordu.
J'avais l'impression que mon coeur s'était arrêté - pour que je puisse mieux l'écouter, lui.
- Tout le temps où tu me regardais de haut, je mourais d'envie de toi, une envie comme j'en ai jamais connu.
- Je ne te regardais pas de haut ! J'étais trop occupée à te regarder tout court...
Il sembla stupéfait par ma déclaration.
- Pour de vrai ?
- Oui !
Le coin de ses lèvres se retroussa brièvement avant qu'il redevienne sérieux.
- Tu m'as demandé si j'avais pris ce téléphone avec tes dessins, si j'avais regardé dedans. Tu m'étonnes, que je l'ai fait ! Je t'ai vue jouer avec un chien sur la plage, faire un putain de plongeon de super-haut et grimacer devant l'objectif. J'en ai appris plus sur toi... ( sa voix devint rauque)... et j'en voulais davantage. Te voir tous les jours. (Avec un rire amer, il avoua :) Après le Flash, je cherchais constamment un moyen de charger un foutu téléphone - qui, de toute manière, n'aurait pas pu passer le moindre appel !
- Je ne savais pas... murmurai-je, je n'étais pas sûre.
- Je t'ai dans la peau, peekôn, et ça fait mal.
Mon visage s'affaissa. Une épine. Il avait peut-être des sentiments pour moi, mais ça ne voulait pas dire qu'il le voulait.Et il n'était même pas au courant de mon abominable alter ego.
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Tant de questions et tant de secrets tourbillonnaient entre nous... Je l'impliquais dans une sorte de bataille à laquelle je ne voulais pas prendre part, j'étais devenue une cible à cause de capacités que je n'avais jamais demandées et que je ne savais contrôler, et Jackson était la seule chose dans ma vie qui me donnait l'impression d'être saine d'esprit, et l'envie de me battre pour un avenir.
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En fermant les yeux et en écoutant ce vrombissement, je pouvais presque faire comme si je vivais toujours cette vie.
Presque. L'odeur amère des cendres et les voix discordantes dans ma tête m'empêchaient d'y croire vraiment.
Tu es en plein délire, Evie. Il n'y avait aucun bruit de moteur - pas plus qu'il n'y aurait plus jamais d'avions dans le ciel.
Oui, en plein délire. Hélas, c'était l'un des risques de la profession d'agricultrice de sang. Surtout avec des cultures aussi abondantes que les miennes.
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Il se pencha pour l’embrasser, s’imprégnant de son odeur apaisante.
- T’inquiéteras-tu pour moi, en mon absence ?
Elle fit non de la tête.
- Mais je plaindrai tous ceux qui te froisseront.
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Donc , en gros, l'avenir du monde est entre les mains d'un Lycae voleur et d'une Valkyrie cupide qui sont sur le point de pénétrer dans un tombeau où se trouve de l'or qu'il ne faut absolument pas déplacer. Je crois que je vais aller faire la fête, moi, ce soir...
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Il soutint un long moment son regard, avant de passer tranquillement en revue chacun de ses traits. Il la dévorait littéralement des yeux, la savourait, comme si elle était la plus belle créature sur terre et que la voir le rassasiait enfin.
Elle fronça les sourcils, interdite. Le poids de ce regard sur elle semblait exciter délicatement chacune de ses terminaisons nerveuses.
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