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Citations de Kristine Kathryn Rusch (16)


Il avait oublié comme ils étaient grands .....
Ils avaient une forme de poire ,de petites têtes , de longs cous minces ,deux bras situés près du cou et Quatres autres au-dessus de leur base. Quand ils marchaient , les Quatres mains formaient des poings au dessus plat . Ils les utilisaient comme une araignée ses pattes ,se déplaçant si rapidement qu'on en était souvent surpris lorsqu'on ne les avait jamais vu faire.
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J'ai parfois l'impression que la hard science actuelle est atteinte de sinistrose, et que cela ferait le plus grand bien à bon nombre d'entre nous de nous asseoir un moment à la cave pour lire de vieux numéros d'Asimov's SF ou Galaxy et de nous souvenir combien la SF, même la plus sérieuse, était divertissante, à l'époque.

(Chris Moriarty)
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- Ce n'est pas parce que nous sommes assez riches pour nous permettre d'ignorer le reste du monde que les êtres humains ne sont pas en train de s'entre-tuer quelque part au nom d'une nation.
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Il leva le front vers le ciel en fermant les yeux. Il n'y eut aucune explosion cette fois. Aucune déflagration de lumière. Skywalker lui avait raconté la mort d'Alderaan. J'ai senti une grande distorsion dans la Force, avait dit un vieil homme. Du moins est-ce ce que Skywalker luit avait rapporté. La distorsion ne serait pas aussi forte, mais Skywalker la sentirait. De même que les jeunes Jedi. Et tous sauraient alors que l'équilibre du pouvoir avait changé.
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Ce que l'on éprouve lors d'un voyage dans le temps est impossible à décrire, étant donné l'absence de véritables sensations.
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Logan attendit. Le professeur semblait secoué par ce qu'il avait vu et senti. dans la tête de ce type. Ce qui n'avait rien d'étonnant, se dit Logan: aller traîner dans le crâne d'nu politicien, c'était comme s'enfermer dans une benne à ordures. (p.174)
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- Bon, intervint Cyclope. Il en reste encore deux.
- Pourquoi ai-je l'impression que ça va être plus dur avec ces deux-là? fit Logan.
- Parce que c'est vrai, répliqua Cyclope. (p.212)
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Derrière les ambulances de campagne, une petite tente semi-permanente avait été dressée pour servir d’infirmerie. Après la course, tous les coureurs devaient être déclarés aptes à retourner dans le dôme. Les gens qui travaillaient à l’extérieur possédaient leur propre installation, mais ils n’avaient pas voulu la louer à la course. Ils craignaient que les coureurs contaminent le site. De Ricci ne les blâmait pas ; elle connaissait le genre de dommage que pouvaient causer des volontaires.
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Un désastre. C'était un désastre. L'ennemi avait des pouvoirs magiques inconcevables. C'était une véritable guerre qu'il lui faudrait conduire, désormais.
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Les mauvais triomphent quand les bons ne font rient, répondit le professeur. C'est une citation célèbre qu’Éric m'a apprise un jour...
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La gorge nouée, Malicia regarde autour d'elle les murs de verre, les jardins d'hiver qui s'étalaient au-delà.
- Cet endroit est si beau. Et tout le monde est si gentil. Je...
Elle ne savait plus quoi dire.
Tornade hocha la tête.
- Ça fait combien de temps que tu es seule ?
Malicia la regarda dans les yeux.
- Huit mois. Je faisais du stop. Je voulais m'éloigner le plus possible de chez moi. De tous ceux qui savent ce que je suis...
- Oui, je comprends.
- Je ne savais pas qu'il existait un endroit pour nous. C'est merveilleux. Je me sentais assez seule, vous savez...
- Eh bien, tu n'es plus seule maintenant.
- Et le professeur ? ajouta Malicia, évitant cette fois le regard de Tornade. Il peut vraiment me soigner ?
Elle eut la surprise de voir le sourire disparaître du beau visage noir. Après quelques secondes, Tornade s'assit et lui fit signe d'en faire autant
Là, pendant plus d'une heure, Malicia apprit des choses qu'elle aurait voulu ne pas savoir. Et elle comprit que, peut-être, il ne lui serait plus jamais possible de toucher une autre personne.
Et que personne ne pourrait jamais la toucher, ou l'embrasser.
Alors elle se sentit plus seule encore que lorsqu'elle était sur la route.
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Adrian sourit à son tour. Pour la première fois depuis des années, retrouver sa liberté n'était plus un espoir illusoire.
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Ce refuge n'en était pas un et ils vivaient constamment dans l'angoisse.
Ils l'avaient bien mérité.
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Les envahisseurs n'étaient peut-être pas des démons mais des envoyés divins chargés de rendre sa pureté à leur foi.
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Puis il se tourna vers la porte en plastique transparent. Au-delà, il n'y avait que des murs de plastique, et pas une once de métal à moins d'un kilomètre ) ma ronde. C'était une prison très spéciale, conçue pour un unique occupant très spécial. (p.254)
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N'oublie jamais, dit-il au corps bleu inanimé. Les femmes n'ont jamais la même odeur. (p.211)
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