Quand un désir entre dans un objet qui a été touché par des mains humaines ou par le sang de l'homme, il devient un gobelin.
[La Prêtresse] : Vous allez tuer les enfants ?
[Goblin Slayer] : Bien sûr. En outre, ceux qui survivent deviennent plus futés, il n'y a aucune raison de les épargner.
[La Prêtresse] : Même s'il existait de bons gobelins ?
[Goblin Slayer] : De bons gobelins ? Il y en a peut-être... mais les seuls bons gobelins sont ceux qui ne sortent jamais de leurs trous !
Il faut savoir laisser le passé dans le passé.
[Haute-Elfe] : Non mais regardez-moi ça ! J'ai croisé des cafards plus impressionnants !
[Nain] : Ne dis pas de bêtises, longues-oreilles. M'est avis qu'il a choisi cette armure de cuir pour faciliter ses mouvements. La cotte de mailles, elle, peut arrêter une dague dans la pénombre. Le casque, lui, sert à offrir une bonne protection à la tête. Quant à la petite épée et au petit bouclier, ils sont pratiques dans les espaces restreints.
Le halo lumineux du savoir est faible comparé aux ténébres de l'ignorance.
La justice ne consiste pas à punir le mal, mais à permettre au peuple de prendre conscience de son existence. La loi est un instrument, et l'ordre une philosophie de vie.
- Qu... qui êtes-vous ?
- Goblin Slayer, le crève-gobelins.
S'il était venu seul... Il n'aurait sans doute pas rebroussé chemin... Quelle que soient ses blessures... Ou son niveau de fatigue... Il aurait continué seul...
La justice ne consiste pas à punir le mal, mais à permettre au peuple de prendre conscience de son existence.
Pourquoi avons-nous, fini comme ça ?