Ils avaient tué son mari, ses quatre fils, puis l'ont emmenée vers un gymnase où étaient parquées des centaines d'autres femmes, offertes en pâture à une bande de sauvages. "Des batteries de poules conduites à l'abattoir", avait dit Uwase. Sauf qu'ici, au Rwanda, il s'agissait d'un type nouveau de boucherie : le viol collectif pratiqué à la chaîne, chronomètre en main !