On raconte que dans les phases d'essor économique, le mythe de Frankenstein revient à la mode, alors qu'en période de crise, c'est plutôt celui de Dracula. J'ignore si c'est vrai, mais si on considère que la tristesse qui se dégage des vampires est un reflet de notre morosité, alors il y a dans cet adage une part de vérité.