Il y a toujours des intentions cachées dans les guerres. On se justifie toujours, mais en vérité, il n'y a que cupidité politique.
Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de "femmes de réconfort" ! Puisqu’il signifie quelque chose de chaleureux et de doux.
Nous n’étions pas des ‘femmes de réconfort’, mais des victimes de rapts et de viols commis par l’armée japonaise !
Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de "femme de réconfort"! Puisqu'il signifie quelque chose de chaleureux et de doux.
Nous n'étions pas des "femmes de réconfort" mais des victimes de rapts et de viols commis par l'armée japonaise!
Au bout du compte, dans leur guerre aussi, les femmes ne sont pour les hommes que des produits de consommation, sans distinction de nationalité!
Reconnaître et voir la réalité en face est un moyen d’apprendre davantage. Même si c’est un page sombre de l’histoire, les Japonais n’ont-ils pas le droit de savoir ce qui s’est réellement passé ?
On a beau cherché à oublier ou à nier la vérité, c’est impossible... moi, en tout cas, je n’y arrive pas.
Pourquoi l'armée japonaise était-elle si attachée aux "femmes de réconfort"?
Ah, je t'ai déjà expliqué. C'est pour prévenir les viols de civiles!
Les pulsions sexuelles chez l'homme, c'est incontrôlable!
Sans "femmes de réconfort" sur le champ de bataille, impossible de circonscrire les viols.
Comme le titre le révèle, cette bande dessinée est l'histoire des 'femmes de réconfort' de l'armée impériale japonaise. Celle-ci a kidnappé les femmes des pays qu'elle a occupés et en a fait des esclaves sexuelles. Elle a appelé 'femmes de réconfort' les proies de ce vaste plan de viol. La guerre est finie mais la vérité sur ces femmes a été bien cachée pendant cinquante ans. Le Japon voulait évidemment étouffer cette affaire et le climat de guerre froide dans la politique internationale a contribué à relativiser les crimes de guerre commis par le Japon.
Autour de vous, de nombreuses femmes vivent la blessure du viol de façon apparente ou non. Mais... les hommes accusent plutôt les victimes que les criminels.
Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de "femme de réconfort" !
Puisqu'l signifie quelque chose de chaleureux et de doux.
Nous n'étions pas des "femmes de réconfort"...
... mais des victimes de rapts et de viols commis par l'armée japonaise !
Après le premier viol, elles apprirent enfin le mot « maison de réconfort ». Subir le viol répétitif par 10 à 20 soldats par jour était le « travail » qu’on leur avait infligé