Tu es insignifiant, Harald. La grandeur que tu t’es octroyée n’est que celle que je te prête. Tu n’es rien. Chaque chose qui te paraît due aujourd’hui ne t’appartient que parce que je te l’ai offerte. Je ne le regrette pas : tu mérites bien une bonne armure, un sabre ouvragé et des repas princiers, mais ne te méprends pas. Tu vis à mes frais.