Elle se souvenait parfaitement de ce que lui avait dit Fenris la nuit précédente : « Ce côté sauvage n'est qu'une partie de nous-mêmes, et loin de lutter contre lui, il faut l'accepter, le contrôler, le canaliser. C'est alors que nous apprenons qu'il ne s'agit pas d'une erreur de la nature ; c'est un don, pourvu qu'on en fasse bon usage... »