« Mais en écrivant ce livre, j’ai compris ...que le devoir de la littérature est de suggérer de nouvelles façons d’être au monde, de relier l’ici-bas à l’au-delà. À mes yeux le téléphone du vent est essentiellement cela, une métaphore rappelant qu’il est précieux de s’accrocher aussi bien au bonheur qu’ a la peine. Que même face aux pertes que la vie nous impose, nous pouvons nous ouvrir à tous les cadeaux qu’elle nous fait ».