Dans les familles royales, on ne se contente jamais d’un seul fils, mieux vaut pouvoir se replier sur le numéro deux en cas de problème avec le numéro un. Pour les parents d’enfant unique, la question n’était pas d’avoir un autre héritier au trône, mais une solution de repli affectif. Quand on n’avait qu’un seul enfant, on risquait de tout perdre.