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Critiques de Laure Allard-d`Adesky (152)
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Qui dit coeur brisé dit mojitos à volonté

Ce roman pourrait s'appeler " Rendez-vous dans un an", ou "Chroniques de trois amies à Paris ", etc... Parce que c'est ce que c'est .

Trois amies (et collègues ) qui n'en peuvent plus de se faire lourder et qui décident de changer deux ou trois petits trucs dans leurs vies. Elle signent un pacte "anti cons" !

Et de soirées en boulot, en rendez-vous copines, tout changera pour elles trois.



C'est sympathique, très réaliste. Il y a juste un truc qui m'a génée, c'est certains goûts musicaux de l'héroine principale, dont le frère est musicien et qui fait un trajet avec un des membres du groupe. Mettre autant la musique dans un roman et chanter des trucs pareils , c'est pas possible ! Du coup, au lieu d'en faire une comédie romantique un peu branchée qui se passe à Paris (et un peu à Londres et au Japon ), j'ai trouvé ça un peu ringard et franchouillard. L'auteure n'exploitant pas assez ces villes...ni la jeunesse de ces héroines.



Comédie romantique sans humour, cette histoire tire son épingle du jeu par son réalisme, son dynamisme et son rythme.



Une lecture très agréable malgré les chansons d'Héléne Segara, and co
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Qui dit coeur brisé dit mojitos à volonté

Voici le mois de novembre et ses journées qui raccourcissent, rien de tel pour oublier l'hiver qui arrive à grands pas que de lire ce roman qui fait du bien au moral. Trois copines, fatiguées de rencontrer des loosers ou des goujats ou les deux, décident de revoir leurs critères de sélection. Terminés les mecs canons, vivent les rencontres nés du hasard, on ne sait jamais, derrière des traits lisses, peut se cacher l'amour d'une vie.



Nous voilà alors embarqués dans une suite de saynètes drôles ou émouvantes mettant en scène Louise et ses copines. Entre Emma au caractère fantasque, Clémence timide et Louise échaudée par une énième rupture, on se demande laquelle des trois parviendra à se caser. Chacune veille sur les deux autres, chacune raconte aux autres ses rendez-vous, ses ratés et ses succès. Mais et l'amour dans tout ça? Il est parfois là, juste à côté de nous, finissent pas se rendre compte les trois amies.



C'est un roman sympathique à lire, léger, rythmé qui fait du bien au moral. A lire tout en buvant un mojito! Je remercie encore les Editions Harlequin et Netgalley de m'avoir fait découvrir cette auteure.




Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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Croisière pour célibataires

Juliette est la dernière célibataire de son groupe d'ami et çà lui va très bien comme çà. Mes ses amies décident de lui offrir une croisière pour célibataires afin qu'elle trouve l'âme sœur. Elle craque alors pour Tristan, second sur le bateau.

J'ai vraiment apprécié ce roman, avec une jeune femme un peu hermétique à la romance et qui ne rêve pas du prince charmant. D'ailleurs, au-delà de la romance, le roman est aussi une ode à l'amitié, et l'on croise finalement plus Rose, nouvelle amie croisée sur le bateau, que Tristan.

Si l'intrigue romantique est assez linéaire, les intrigues secondaires réservent quelques surprises, sortant des sentiers battus habituels. Et les personnages secondaires, sans être forcément très fouillés apporte un vrai relief à l'intrigue.

Bref, une jolie escapade romantique, parfaite à lire à la plage.
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Ma belle-mère me déteste (mais je le lui rends ..

« L’homme parfait n'existe pas, ou alors il a quelque chose à cacher » … ou quelqu’un ! Et ici, vous l’aurez compris, c’est sa mère ! La narratrice de l’histoire, Anaëlle, nous raconte ses déboires avec sa terrible belle-mère, Diane. Les coups bas, les mots assassins, les intimidations, c’est une panoplie complète de la mégère que décrit l’auteure avec un humour imparable. Quelle cruauté ! Mais que c’est bon !



Au départ, Anaëlle voit pourtant la vie en rose quand son amitié pour Axel se transforme en amour réciproque. Très vite, c’est une histoire d’amour qui devient sérieuse et officielle. La première rencontre avec la belle-famille va déstabiliser un peu la jeune femme, mais elle préfère ne pas trop se tracasser pour profiter pleinement de son bonheur tout neuf. Et puis, Axel, en bon fils, dédramatise les situations gênantes : « Tu as dû mal interpréter : maman peut se montrer maladroite, voire revêche, et je suis le premier à en faire les frais, mais elle ne peut pas avoir dit ça, c'est trop mesquin. » Mais les paroles de la belle-mère se font de plus en plus blessantes, et lorsque les projets de mariage, de déménagement et d’enfants vont commencer à être évoqués, les coups de becs et d’ongles vont devenir omniprésents. Anaëlle va devoir agir de manière stratégique pour ne pas mettre sa vie de couple en péril.



Le titre donne une approche simpliste et légère du roman ; pourtant c’est un récit vraiment intelligent, en plus d’être très bien écrit. Il cerne un sujet existant depuis la nuit des temps : les difficiles relations avec les belles- familles. A quelques rares exceptions près, personne n’y échappe. Il est toujours difficile d’entretenir des relations cordiales avec des personnes nous reprochant de leur avoir « volé » leur enfant ou qui n’apprécient pas la façon dont nous avons été éduqué parce qu’ils pensent être des experts en la matière. Laure Allard D’Adesky donne ici de nombreux exemples illustrant ces mésententes autour du couple d’Anaëlle et Axel, mais aussi de ceux de Camille et Gabriel et de Noémie et Sarah. Une façon de montrer que quelque soit le couple, la famille de l’autre s’impose avec plus ou moins de facilité, d’ouverture d’esprit.

On s’y retrouve, on réfléchit, et bien sûr, on rit.



En tout cas, cela a été un très bon moment de lecture qui me pousse à aller voir ce que l’auteure a écrit par ailleurs.
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Ibiza, cocktails, plage... et si possible u..

Lola est une jeune femme avenante, qui ne lésine pas lorsqu’il faut venir en aide à ses proches. C’est ainsi qu’elle s’est retrouvée coincée à faire du baby-sitting lors des ses vacances précédentes, pour des couples qui eux, lézardaient au soleil. Mais cette année, Lola décide de partir seule, à Ibiza. Pourtant, suite à l’annulation de son vol, et la demande de sa grand-mère pour venir garder ses animaux de compagnie pendant qu’elle sera en croisière, Lola doit revoir ses projets.



C’est un excellent moment de lecture que j’ai passé en compagnie de Lola et de ses aventures et mésaventures amoureuses. Le roman est très court, et je n’aurais pas été contre d’en lire davantage.



D’emblée, Laure fait rentrer le lecteur dans le vif du sujet et le personnage de Lola m’a tout de suite semblé attachante. J’ai beaucoup aimé son caractère. Finalement, elle est dévouée aux autres et j’ai trouvé cela touchant.



Mais c’est surtout les péripéties entre elle et sa grand-mère qui sont sans aucun doute le point fort du roman. J’ai beaucoup ri avec son idée de laisser une liste de célibataires qui pourraient potentiellement plaire à sa petite-fille. Les situations cocasses se multiplient et je n’ai ressenti aucun ennui pendant cette lecture.



La plume de l’auteure est fluide et j’ai fortement apprécié l’alternance des points de vue entre Lola et sa grand-mère, pour ainsi avoir une histoire sous deux perspectives. Laure manie bien l’humour, n’en faisant jamais trop et dosant les effets comiques dans ses scènes.



Une excellente lecture emplie de fraîcheur et de bonne humeur, servie par des personnages attachants. À découvrir.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Ibiza, cocktails, plage... et si possible u..

Je me suis vraiment régalée en lisant ce livre et j'ai passé un excellent moment en compagnie de Lola et sa grand-mère.

Si l’intrigue ne brille pas par une originalité folle en entrainant son héroïne dans des vacances qu'elle n'avait pas choisies, la force du roman tient dans sa légèreté de ton, sa capacité à ne pas se prendre au sérieux et surtout au personnage de la grand-mère, dont on suit les aventures de croisiériste en parallèle de Lola. Un personnage culotté et qui n'a pas la langue dans sa poche, et qui a dressé une liste de prétendant pour sa petite fille, tout en en cherchant un pour elle. Tout un programme !

Bref, un roman teinté de romance, pétillant, gai et plein de surprise. Je remercie les éditions Harlequin et Netgalley pour cette lecture haute en couleur.
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Ma belle-mère me déteste (mais je le lui rends ..

C’est un livre qui se veut léger, or, je l’ai lu au premier degré tant les situations me parlent. Je l’ai lu en numérique, et j’ai surligné un nombre considérable de passages. L’auteure précise, dans ses remerciements, que la belle-mère d’Anaëlle, Diane, est « un condensé de toutes les pires vacheries qui lui ont été racontées. » Cette histoire, qui se veut une caricature des relations avec les belles-mères, est très crédible. (J’en sais quelque chose).





Anaëlle n’est pas une belle-fille difficile à vivre. En fait, sa belle-mère ne supporte aucune « pièce rapportée ». Camille, l’autre belle-fille, le sait, elle subit, elle aussi, les piques de Diane. « À côté de cette femme, Tatie Danielle est la sœur jumelle de Mère Teresa. » (p64)





Diane est une femme perfide. Elle assène ses remarques assassines, mais s’arrange pour que ce soit la personne visée qui passe pour la méchante. Axel soutient sa femme, à certains moments, mais il a aussi des périodes pendant lesquelles il redevient le petit garçon à sa maman qui ne veut pas s’opposer à elle.





La suite sur mon blog





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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

Un roman très court mais feel-good comme j'aime

C'est drôle, c'est frais

On s'attache très vite à Anaïs, malgré son côté chat noir, car elle voit toujours la vie du bon côté et avec une bonne dose de dérision

On y parle d'amitié, d'amour, de catastrophes

J'ai souvent ri et je n'ai pas pu le lacher avec de connaitre le dénouement certes prévisible mais très agréable

J'ai passé un bon moment de lecture



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Pourquoi il ne faut pas tuer (tout de suite..

Une lecture unique dans son genre où je me suis littéralement régalée ! Laure Allard-d'Adesky et Fanny Bernard ont su faire preuve d'originalité en nous offrant une romance aux allures épistolaires. Mais en réalité c'est bien plus que cela. C'est une comédie romantique de seconde chance bien singulière qui vous fera passer par une palette d'émotions. Une très belle leçon de la vie qui vous donnera à réflexion et qui est bien évidemment à découvrir ! C'est mon premier roman de duo d'auteurs et cela ne sera pas mon dernier...
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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

Anaïs Cerf a trente ans. Qui conque la rencontre, partagera automatiquement, et où que vous soyez, ses péripéties désastreuses ; Comme par exemple un lampadaire éteint lui a valu de fausses dents. Prenez le train avec elle, il y aura automatiquement 45 minutes de retard, sans compter que votre bagage sera volé ou oublié sur le quai. Prenez l’ascenseur avec Anaïs et sous serez bloqué.

Et oui, Anaïs est distraite en plus d’être malchanceuse. C’est un chat noir maladroit qui porte la poisse à tout le monde.

La veille de la Saint Valentin, Anaïs fit un loto en achetant ses magasines. Le lendemain, elle la fêta avec ses amies, Agathe, Paloma et Mélodie chez elle. Comme chaque année, ce sont ses amies qui apportaient le repas, au cas ou ???

La soirée se passa sans encombre, lorsque l’une d’elle découvrit le ticket de loto. Bien après l’heure du loto, elles décidèrent d’aller voir les résultats sur internet. Ce fut, soudain, une explosion de joie. Anaïs avait gagné 10 000 euros. Elle resta indifférente, n’y croyant absolument pas.

Les filles décidèrent de fêter cela dans un bar à vin. Soudain, Anaïs vit un premier amour de collège, Thomas. Elle vit que celui-ci évitait son regard, se rappelant, la plus maladroite de l’établissement. En fin de soirée, un serveur apporta à Anaïs un message. C’était le numéro de téléphone de Thomas.

Le lendemain, Anaïs eut envie d’appeler Thomas, mais elle décida d’inviter, d’abord, deux jeunes hommes sur son site de rencontres, histoire de voir si la chance était encore de son côté. Très surprise, son premier rendez-vous se passa sans aucun encombre. Idem pour le deuxième rendez-vous, avec un certain Alexandre. Ce dernier l’invita à dîner, puis à passer quelques jours à Francfort avec lui. Elle envoya un message à ses amies pour annuler le rendez-vous qu’elle leur avait fixées pour aller chercher le gain de son loto. Anaïs décida d’aller le chercher avant de partir à Francfort, mais le bureau des encaissements était fermé le lundi. Le premier jour avec Alexandre se passa merveilleusement bien, mais le deuxième, elle reçut un message d’urgence de l’une de ses amies. Les quatre amies étaient très soudées. Anaïs décida de rentrer. Le lendemain, en prenant le métro, elle loupa une marche. Elle dut aller aux urgences et ressortit avec une atèle. La poisse était revenue. Elle se rendit compte que son frigo faisait un bruit horrible. Elle minimisa le retour de la poisse en voyant son ticket de loto sur le frigo. Il lui restait encore 20 jours pour aller toucher son gain. Mais le lendemain, elle était désespérée, lorsqu’elle vit qu’elle avait une fuite d’eau. Désemparée, elle appela son amie, Agathe.

Un plombier vint réparer sa fuite. En entendant le bruit de son frigo, il lui proposa de le prendre, et de remonter celui qu’elle avait au sous-sol. Une fois le plombier parti, elle s’aperçut que les papiers qui étaient sur le frigo étaient sur la table. Il manquait le ticket de loto. Elle n’osa pas en parler à ses amies. Un soir, après une journée de galère, à cause de sa jambe, elle envoya un message à Thomas. Elle n’espérait aucune réponse. Ce fut la surprise, lorsque celui-ci l’invita à boire un verre, le soir-même. Au petit matin, Anaïs était dans les bras de Thomas. Il la recontacta après son départ pour prévoir des sorties. Même si Anaïs accumulait les galères, il en riait, et cela fit du bien à Anaïs, qui se sentait trop bien avec Thomas.

Elle commença à paniquer, pensant que son compte se vidait. Elle eut la surprise de voir que le montant de son loto était sur son compte ???



Un roman très sympa à lire, très drôle et bien écrit. A voir d’autres roman de cette auteure.

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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

En ce moment, j’ai envie de lectures légères et sans prises de tête. Ayant entendu beaucoup d’échos positifs sur ce roman, je me suis dit « pourquoi pas ? » Et au final, il était exactement ce dont j’avais besoin pour retrouver le sourire !



Nous faisons ici connaissance avec Anaïs qui travaille comme correctrice depuis son domicile. Le défaut d’Anaïs ? C’est un chat noir !! Dès qu’elle met un pied hors de chez elle, il faut toujours qu’une catastrophe surgisse !! Ses amies ont appris à faire avec, même si elles aimeraient parfois que toutes leurs sorties ne se terminent pas en fiasco…. Alors qu’elles fêtent la St Valentin entre copines, Anaïs découvre qu’elle a gagné au loto. Ce signe du destin serait-il la preuve que la roue tourne ? La poisse a-t-elle enfin quitté Anaïs ? Va-t-elle enfin oser « vivre » ?



Anaïs est une héroïne moderne, touchante et attachante. On sent très rapidement que même si elle en rit, elle souffre de ce côté malchanceux qu’elle traîne derrière elle. Malgré cela, elle s’amuse avec ses amies, sur qui elle peut toujours compter et qui sont, pour elle, une véritable famille. C’est une femme indépendante, avec une vie bien remplie et des rêves plein la tête. J’ai adoré la suivre pendant ces quelques jours qui vont changer sa vie et la changer elle aussi.



C’est un roman assez court donc je ne veux pas trop vous en dire pour ne rien spoiler. C’est la deuxième fois que je lis Laure Allard-d’Adesky et cette lecture me confirme qu’elle est faite pour écrire des feel-good tant elle procure du bonheur et de la bonne humeur à son lecteur. Sa plume est entraînante, piquante et vivifiante. Une fois lancé dans la lecture, difficile d’en sortir tant les personnages sont attachants et l’histoire rythmée. Émotionnellement, on rit, beaucoup, mais on a aussi parfois le ventre qui se serre quand on voit notre héroïne en galère. En bref, c’est un livre parfait pour oublier la morosité quotidienne et se donner une petite bulle de bonheur !



Pour conclure, « le bonheur retombe toujours sur ses pattes » est un roman que je recommande à tous les amateurs de feel-good. Humour, amour et maladresses sont au programme de cette jolie histoire qui vous insuffleront de l’optimisme et du bonheur le temps de sa lecture!
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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

Bon, je l’avoue tout de suite, j’ai ramassé ce roman dans la boîte à livres de mon village juste pour la perspective de m’amuser à faire une jolie photo avec mon loulou à moustaches ron-ron pour mon compte Instagram.... C’est pas joli-joli tout ça ! Donc sans surprise, le visuel de couverture est sympa, l’histoire ne prend pas la tête mais peut-être justement, pas suffisamment... ! Le rapport avec les chats ? Le titre, la photo de couv’ et le fait que notre héroïne, Anaïs, 30 ans, est un véritable chat noir qui attire à elle toutes les catastrophes. Sans amoureux, elle a pour la soutenir dans l’adversité une bande de joyeuses copines qui assument avec humour et philosophie les bêtises en série de leur amie. Un soir de bringue pour conjurer le spectre de la St Valentin, Anaïs retrouve dans un bar son amour de jeunesse et décroche un ticket gagnant au tirage du loto ! Bref, tout semble lui sourire mais, au final, cela ne sera simple pour personne et les catastrophes vont vite s’enchaîner. C’est comme un épisode de Sex and the City, l’humour caustique en moins. On passe un bon moment mais ce n’est pas le livre Feel good du siècle ! A titre anecdotique, je me suis quand même bien amusée avec Mr Cookie pour la photo !!
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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

Roman girly idéal pour passer quelques heures. C'est léger car l'héroïne est une gaffeuse de première, enfin poisseuse plutôt. Mais qui est bien entourée de sa bande de copines.

Ce roman m'a rappelé ceux d'Agnès Abecassis.

Pas de quoi se fêler une côte mais sympa pour passer le temps.

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Feu

Un forgeron doit redresser une clé tordue sertie de pierres précieuses... Alkinn, un jeune viking, doit passer l'épreuve du feu, un rituel initiatique nordique... Fréon part à la recherche de la flamme. Arrivé devant son sanctuaire, il retrouve Fréon, un ennemi qu'il a vaincu autrefois... Frei, 19 ans, fête son anniversaire en la seule compagnie de ses parents. Aucun de ses copains n'est venu... Englué dans un marécage, Athan en est sorti par l'intervention de Kymaeré, une très belle jeune femme... Altiya, la déesse du feu trouve que les hommes ne lui rendent plus le culte qui lui est dû. Elle décide de se venger d'eux... Prof, le grand-père de Lino, sorte de Geo Trouvetout diplômé, a inventé une machine à remonter le temps. Il propose à Lino de tester son invention... Dans le métro, une étudiante dérobe un briquet dans la poche d'un homme étrange...

« Feu » est un recueil de quinze nouvelles de quinze auteurs différents abordant toutes le thème du feu, de la flamme, de l'incendie. Ces textes, d'une grande variété d'inspiration et de registre, vont de la poésie au policier et à l'horreur en passant par l'érotique et la fantaisie. Ces deux derniers genres étant les plus représentés. Comme toujours dans ce genre d'ouvrage, le lecteur y trouvera le meilleur et le moins bon pour ne pas dire le médiocre et l'à peu près. Par indulgence, nous nous en tiendrons aux trois textes du sortent nettement du lot : « Assis dans le noir » d'Isabelle Leblond, « Fille du feu » d'Eric Lysoe et « Altiya, déesse du feu ». A eux seuls, ils méritent le détour. Originalité de l'intrigue, intérêt de la problématique, qualité de l'écriture. Trois pépites, trois belles découvertes, trois auteurs à suivre...
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Croisière pour célibataires

Pour le coup, j'étais plutôt enthousiaste à l'idée de me lancer dans ce roman : le résumé était sympa', la couverture est jolie et - en le téléchargeant - j'avais vu que ce serait une lecture rapide ! Bref, je l'ai mis sans tarder sur ma liste de livres à lire pendant ma pause déjeuner #mercilescollèguesquipréfèrentregarderdesvidéosdechatsquedeparleravecdeshumains



Quelle n'a donc pas été ma surprise quand j'ai compris que l'héroïne était angevine. Je l'ai donc suivi avec grand plaisir dans les rues bien connues de ma tendre enfance (ou plutôt de ma vie étudiante vu les lieux fréquentés !). J'ai trouvé ça d'autant plus drôle que Juliette a été dans l'établissement scolaire où j'aurais dû aller (si on n'avait pas déménagement sur Nantes). Bref, tout ça pour dire que je suis très vite rentrée dans cette histoire grâce à ces petits détails qui ont tout de suite rendu le roman spécial à mes yeux. 

​​​​​​​J'ai trouvé l'idée de la croisière pour célibataires très amusante même si ça m'a semblé relativement glauque avec les animations un peu miteuse. Les organisateurs font certes de leur mieux mais cela reste un peu cheap. En tout cas, j'ai été beaucoup amusée par l'image de Juliette y allant à reculons et les différentes approches, parfois improbables, des célibataires présents sur le bateau.

La rencontre entre Juliette et Tristan m'a bien plu. Celle-ci est assez étonnante et m'a bien amusée. Juliette m'a régalée à râler à chaque nouvelle rencontre tout en regardant le jeune homme d'un air appréciateur. J'ai aimé la manière dont leur histoire se construit, tout en douceur et en pudeur. J'ai aimé leur jalousie mal dissimulée mais ai été moins charmée par le triangle amoureux avec Marc et les fausses révélations choc associées.

Dans les jolies rencontres, j'ai également apprécié l'amitié forte qui se construit en quelques jours avec Rose. J'ai apprécié qu'avant de trouver l'amour, Juliette se rencontre et s'ouvre davantage aux gens qui l'entoure. L'intrigue secondaire autour de Rose et de sa maman m'a également plu. Elle détonne un peu dans de la romance mais elle est assez prenante même si elle reste relativement peu développée. 

La conclusion est plutôt mignonne bien qu'un peu bateau (c'est le cas de le dire !). J'ai aimé que l'on ai des nouvelles de chacun des personnages et, surtout, de voir Juliette épanouie dans sa nouvelle vie.



Juliette m'a bien plu. Je trouve qu'elle fait partie des personnages auxquels il est facile de s'identifier tant ses 'failles' sont plutôt banales. Je l'ai trouvée touchante dans ses questionnements et sa manière de s'ouvrir aux autres. C'est vrai que, quand on a l'habitude d'être bien entourée, on peut s'oublier pour s'adapter au groupe et le fait de faire cette croisière seule lui permet notamment de casser ce schéma. Dans tous les cas, j'ai apprécié sa bienveillance et son entrain dans tout ce qu'on lui propose sur le bateau.

Tristan m'a également beaucoup plu. Je ne suis pas une fana' des uniformes mais je dois reconnaitre que celui des marins est particulièrement craquant et que j'aurais sûrement eu un coup de cœur pour lui si j'avais également fait cette croisière. J'ai aimé l'attention qu'il a pour les personnes qui l'entoure et sa patience même s'il n'est pas toujours très aimable avec Juliette. Mais bon, il paraît que qui aime bien, châtie bien.

J'ai également apprécié découvrir Rose. La jeune femme n'est pas vraiment conventionnelle et j'ai aimé son fort tempérament et ses petites bizarreries. De même, bien qu'elles sont finalement relativement peu présentes, j'ai apprécié les copines angevines de Juliette et leur lien aussi fort que bon enfant.



 L'écriture de Laure ALLARD-D'ADESKY est très agréable. J'ai apprécié le rythme soutenu qui apporte fluidité et dynamisme à cette histoire. Le ton est espiègle, un peu séducteur et girly. Bref, si je n'avais pas noyé le haut-parleur de mon téléphone sous la douche en écoutant Mythos après mon entrainement de sauvetage à la piscine  - et que mon téléphone n'avait donc pas passé la nuit dans le bocal de riz  - il est clair que j'aurais fini ce roman avant d'aller dormir ;)

Une lecture divertissante.
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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

On découvre le personnage d'Anaïs, Miss catastrophe et sa vie... Mouvementée. Honnêtement dès les premières lignes je me reconnais en elle... Mes amis ont pour habitude de m'appeler le "chat noir" tant les catastrophes ont une fâcheuse tendance à s'inviter dans ma vie. J'ai bien eu chat noir pendant des années pour essayer de conjurer le sort mais ça n'a pas fonctionné.



Anaïs, provoque malgré elle des catastrophes, jusqu'au jour où, pour se faire pardonner une énième étourderie, elle achète un billet de Loto... Gagnant ! C'est ainsi, lors d'une soirée de Saint-Valentin fêtée entre copines, qu'elle pense que la poisse l'a quitté. Mais est-ce pour de bon ? Faut-il se méfier ? Elle profite de l'instant présent en attendant l’événement qui mettra un terme à cette période de vie parfaite...



J'ai énormément apprécié partager la vie d'Anaïs et de son cercle d'amies. Ses joies, ses peines, ses amours... J'ai ri à plusieurs reprises et j'ai passé un superbe (mais trop court) moment de lecture !



Ce roman est un coup de cœur pour moi, ainsi que sa bien trop jolie couverture.



Je vous invite fortement à le découvrir, vous ne serez pas déçu. Voici encore un excellent Feel-Good des éditions Déliées.
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Le bonheur retombe toujours sur ses pattes !

Une petite romance drôle et féminine.

Ca se lit bien et le style est bon mais il ne faut pas s attendre a un grand scénario .
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Hiver : Recueil de nouvelles

Mon avis sur le recueil L’hiver :



99 voyages en barque - Franck Leduc : C’est pour moi une sorte de Roméo et Juliette, mais en bien (je n’ai jamais aimé Roméo et Juliette). Une bonne touche sombre et une fin surprenante pour une narration en première personne, un bon texte d’entrée en matière !



Le parc - Vincent Figari : On passe cette fois à de la SF fort sympathique. J’aime toujours quand ça fini mal donc forcément… L’idée était bien vue mais je n'en dis pas plus.



Le grand hiver - Wendyam Éric Lionel Ilboudo : J’ai moins été convaincu ici, n’étant pas fan de ce type de récits. Question de goût, j'en ai bien conscience. Ca n'enlève en rien les qualités objectives du récit.



Rendez-vous manqué - Eddie Verrier : Juste wow ! C’est peut-être mon préféré de ce recueil. Seule déception : ne pas avoir une piste plus claire sur la nature de ce personnage mystérieux. Une sorte de Destin incarné, de Faucheuse ou d’Hiver vivant, ou peut-être même juste une voyante devenue folle de toutes ces versions qui lui tournent dans la tête. Le mystère est prenant et magique, la tension monte avec efficacité, sans même qu’on le réalise. Je reste un peu déconcerté par la fin quand même. Ce revirement soudain, cette gentillesse sortie de nulle part, je n’ai pas bien compris d’où ça venait. Et j’aime les fins sombres, donc forcément… Mais ça a l’avantage de surprendre, en un sens, et de rajouter une couche dans le mystérieux.



Partout l’hiver, l’hiver partout – Dany Lecènes : Je retiens ici un poème super vers la fin du récit. Le reste ne m’a pas emballé, malgré un très bon style (n’étant pas fan de la littérature blanche, je suis particulièrement difficile à satisfaire en la matière). Mais rien que pour ce poème final, je garde un bon souvenir de ce texte.



Réveillon en famille – Laure Allard-d’Adesky : On retrouve bien l’ambiance foireuse des repas de famille, je ne peux qu’adhérer à ça. Les dialogues m’ont paru un peu caricaturaux par moments je dois avouer, mais peut-être que c’était justement le but. Dire que je suis fan est un bien grand mot, n’étant que rarement convaincu par la littérature blanche comme je disais, et ce texte replongeant finalement les lecteurs dans ce genre de fêtes qu’ils ne supportent déjà pas dans la vraie vie. Mais il faut avouer que ce texte est très bien écrit et fluide, et l'ambiance, plus que réussie, ne peut que convaincre.



Quelques degrés de coïncidences en moins – Jérôme Beauvisage : L’idée, sans être nouvelle, m’a beaucoup plue. C’est fluide et bien mené, on se prend au jeu sans problème. Et c’est totalement dans le genre de concept que j’aime lire, et aimerais lire plus souvent d’ailleurs. La fin est bien sympathique en plus de ça.



Neige rouge – Catherine Robert : Un texte bien dérangeant que j’avais déjà eu la chance de lire quand son autrice voulait le peaufiner pour le tenter à l’AT L’hiver. Il est toujours aussi percutant et dérangeant, peut-être même plus, que dans mes souvenirs. Catherine Robert (dont j’ai chroniquer le roman Greta récemment) excelle dans le gore et lève toujours des tabous sans la moindre gêne. En l’occurrence, un viol masculin aussi soudain qu’inexplicable. Quand on connait bien un auteur, on est toujours tenté de comparer sa lecture avec les textes qu’on lui connait. Ici, je dois avouer que d’autres textes, autant gore que dans la veine fantastique et plus « subtil », ont ma préférence. Mais Neige rouge, pour le tabou qu’il aborde, garde clairement une place de choix dans ma mémoire de lecteur.



Gare aux loups – Alexandra Gasiglia : On retrouve ici une très bonne narration, et un narrateur presque attachant ("presque", si on fait abstraction du récit qu'il relate). Un joli contraste se forme vite avec l’histoire d’horreur qu’il raconte sans même s'en rendre compte. J’ai bien aimé, autant le personnage que l’intrigue. Je vois un peu ce texte comme le pendant subtil de Neige rouge d’ailleurs, les deux ayant une force dérangeante certaine mais misant sur deux approches totalement opposées pour atteindre leur but.



Hartush, le dernier mâle – Olivier Boile : J’ai moins accroché ici. Je n’ai pas bien compris : si on est dans un monde où les hommes se font rares, quel pourquoi risquer la survie de l’espèce en les faisant s’entre-tuer ? J’ai sans doute loupé un détail en cours de lecture. Le style est bon mais je n’ai pas adhéré plus que ça.



Mam’zelle Cacao – Jean-Yves Barzic : Pas vraiment accroché ici non plus, je dois avouer. Je ne suis pas fan des tranches de vie. C’était un « risque » dont j’avais bien conscience en démarrant ma lecture du recueil. Comme il mélange genres de l’imaginaire et blanche, tous les textes ne collent forcément pas à tous les lecteurs potentiels. Ici donc, on retrouve un style excellent, il n'y a pas de doute, mais je n’en suis pas le public.



Le lilas de Noël – Antoine Bouvier : J’ai trouvé l’histoire un peu trop racontée, j’aurais aimé qu’on s’attarde plus longtemps sur les personnages, la situation. Mais l’idée est très bonne et le texte, entre policier et ambiance légère, me semble original par rapport aux autres du recueil qui ont globalement visé un ton plus sérieux. Une lecture que j’ai bien appréciée malgré les bémols soulignés.



Jardin d’hiver – Eva Dézulier : L’idée est sympathique ici aussi, bien menée et poétique. On se laisse entraîné sans problème par le style. J’ai un peu plus de mal avec l’aspect optimiste du personnage et la fin qui m’a laissé sur ma faim. Mais j’avoue qu’il aurait été difficile de terminer autrement.



L’étage nival – K. Sangil : La chute est sympathique et fait de ce texte celui qui est sans doute le plus dans le thème L’hiver. Mais je n’ai pas été convaincu par le traitement de l’histoire. Après un début très rythmé, j’ai trouvé la seconde moitié trop longue. La fin s’en trouve moins forte, la chute aurait gagné à être amenée plus tôt à mes yeux. Mais l’idée est particulièrement bonne et c’est ce que je retiens surtout de cette lecture.



Ragnarök – Martin Mutz : Une ambiance post-apocalyptique bien sympathique servie par un style accrocheur. Que demander de plus ?



Voyage au bout de l’hiver – Paul Clément : J’ai vite deviné où voulait mener ce texte (quoi que les dernières lignes tentent un nouveau revirement). Mais le style m’a paru si entrainant que je ne trouve pas l’aspect « prévisible » gênant. La narration est vraiment bluffante, très stressante, on s’y croit sans problème. Une pure réussite en termes d'ambiance.



Sous un ciel terne – Barnett Chevin : Enfin, on retrouve ici un fantastique subtil, qui rappelle l’ambiance de certains classiques en la matière. Je pense notamment à du Lovecraft pour la narration en première personne, mais Sous un ciel terne a sa propre ambiance, toute personnelle et très bien réalisée. L’idée n’est pas forcément la plus novatrice qui soit (j’ai justement récemment vu le film Krampus, mais là n’est pas le sujet). Mais tout comme Voyage au bout de l’hiver, je ne trouve pas ça gênant ici. L’histoire est bien menée et cela en fait un très bon moment de lecture.



La petite fille dans la neige – Murphy Myers : Celle-là est de moi, donc je ne pourrais pas trop m’auto-chroniquer. ^^





Ce que je retiens de ce recueil L'hiver :



Je suis très content de figurer en conclusion de ce recueil, auprès de ces 17 autres textes très réussis. J’en ai bien entendu préféré certains à d’autres. Mon coup de cœur va vraiment pour Rendez-vous manqué, suivi de près par Quelques degrés de coïncidences de moins, Gare aux loups et Neige rouge. Mais même ceux auxquels j’ai le moins accroché ont leurs qualités objectives que je n’ai pu que remarquer.





Murphy Myers
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Croisière pour célibataires

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Croisière pour célibataires – Laure Allard-D’Adesky



Une romance douce, captivante, sans prise de tête. Une croisière? On ne dit jamais non, n’est-ce pas? Celle-ci, vous y repenserez à deux fois… sauf si vous êtes prêt à trouver l’Amour avec un grand A.



Avec ces amies qui viennent de se marier, Juliette se retrouve désormais « seule sur le banc de touche des célibataires ». Avec un nom comme le sien, elle sait qu’elle est condamnée d’avance, mais elle ne peut s’empêcher d’espérer… espérer un homme qui l’aime comme elle est, malgré tous ses défauts.



« Un comble, pour moi qui porte le doux nom de Juliette Amour. Pour être totalement honnête, je pense que mes parents m’ont mis une trop grosse pression en me baptisant ainsi. Je suis condamnée d’avance. Comment assumer le prénom d’une des plus grandes héroïnes romantiques au monde? »



Juliette, pendant une soirée avec ses amies, se voit donc offrir une croisière tout incluse pour célibataires. Pourquoi? Car elle a les meilleures amies du monde, qu’elles ne veulent que son bonheur et qu’elles la veulent en couple, comme elles. Alors, Juliette prend son courage à deux mains, fait ses valises et embarque sur ce navire « Amour Flottant ».



« C’est prouvé : il vaut mieux être seule que mal accompagnée. Je ne vais pas faire comme les autres, sauter sur le premier venu et supporter quelqu’un qui me tapera sur le système et ne m’acceptera pas telle que je suis. »



C’est au début de son voyage qu’elle rencontrera le charismatique Tristan Moreau… qui s’avère en plus être le second du capitaine de ce trépidant bateau. Elle est certes attirée par ce bel homme, mais elle décide de profiter de son voyage pour s’amuser tout simplement. Elle rencontrera également de nouvelles personnes, fera la connaissance d’hommes (disons) surprenants et spectaculaires et apprendra à se connaître davantage.



Laure Allard-D’Adesky a une plume douce, fluide et avec une touche d’humour qui m’a surprise. Cette histoire m’a étonnée par ses péripéties, mais surtout par son personnage féminin qui s’est « développée » tout au fil de notre lecture. Juliette est timide, avec peu de confiance en elle. Elle a de grandes demandes en l’Amour, au Roméo qu’elle veut dans sa vie, mais elle est également bien dans son célibat. Cependant, lorsqu’elle LE rencontrera, tout changera… Elle deviendra également plus forte, plus déterminée. Tristan, quant à lui, est… surprenant, différent. D’abord si distant, c’est la scène de danse qui m’a fait l’aimer. Son intensité, sa passion. J’ai su qu’il était là pour elle.



« -… Ma Juliette, tu es une femme formidable, tu te plies toujours en quatre pour faire plaisir aux autres, mais tu es d’une naïveté remarquable. »



Une touche de suspense, une dose d’attirance, d’intrigues et une immense quantité d’amour, Croisière pour célibataires est une romance douce, attendrissante. Vous passerez un délicieux moment. Partiriez-vous ainsi avec de parfaits inconnus pour une croisière sur la Méditerranée, afin de trouver l’Amour? 8/10



Date de sortie : 11 mai 2022 (France)



P.S. : Une couverture MAGNIFIQUE, superbe.



Merci pour cet envoi original!

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Résumé:

Qu’elle le veuille ou non, l’amour viendra à elle !



Juliette l’a toujours assuré : elle se fiche d’être célibataire. Choisir son programme télé ? Manger ce qu’elle veut, quand elle le veut ? Ne rendre de comptes à personne ? C’est ça, la vraie vie ! Si seulement ses amies – toutes en couple – pouvaient la croire… Au lieu de ça, elles l’ont forcée à participer à cette croisière sur la Méditerranée, persuadées qu’elle y trouvera enfin l’amour. Mais, depuis qu’elle est montée à bord, Juliette n’a qu’une hâte : débarquer à la première escale. D’ici là, rien ne lui interdit de profiter du paysage… et de Tristan, le second du navire. Il est sans doute l’homme le plus sexy qu’elle ait rencontré. Pour autant, pas question de craquer et de donner raison à ses copines. Si elle veut savoir ce qui se cache sous l’uniforme, elle devra user de son imagination…


Lien : https://www.facebook.com/LaP..
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Soleil, le poney enchanté

Ce fut une chouette lecture que j’ai découverte avec les enfants que j’accueille et on a passé un super moment.



Pour les vacances, Colin et Manon prennent des cours au centre équestre. En découvrant les stalles des poneys, la fillette s’attarde devant Soleil, un vieux poney maigrichon. Une cavalière un peu plus âgée lui conseille de choisir une autre monture, ce que fait Manon. Pourtant, Soleil l’intrigue et elle va s’y attacher, l’apprivoiser et, en compagnie de son frère, ils vont découvrir que c’est un poney extraordinaire, en regardant au-delà des apparences – et c’est bien la belle leçon de cette histoire.



C’est un album qui plaira autant aux enfants fans de chevaux qu’aux autres. Les loulous à qui je l’ai lu sont jeunes (2 ans) et ne sont pas plus que ça après les poneys, pourtant ils ont adoré et m’ont parlé de Soleil toute la matinée. C’est dire s’ils ont aimé cette histoire.

La plume de Laure est plaisante : des phrases courtes qui rythment le récit. Une plongée en douceur dans le monde équestre qui se transforme en une courte aventure féerique.



J’ai aimé les dessins, ils sont simples mais efficaces. J’ai pris plaisir à retrouver le style de Manon Paumard que j’avais déjà découvert dans Trois amis bien différents, des mêmes autrices. Le character design des personnages est épuré, mais l’illustratrice a le sens du détail que ce soit dans les habits (les motifs, les coutures) ou les décors (les striures dans le bois des stalles, etc).



J’ai adoré cette lecture, j’ai pris autant de plaisir que les enfants à découvrir ce récit qui invite à ne pas accepter les évidences et à se faire sa propre idée en suivant son instinct.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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