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Critiques de Laure Catherine (12)
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Les enfants frapperont-ils encore ?

Je pense que je n’ai pas lu ce livre au bon moment. Mais, en même temps, je n’ai pas de certitude sur le fait que j’aurais davantage accroché à un autre moment.



En fait, j’ai l’impression que je ne suis pas assez rock pour cette histoire. Sur la quatrième de couverture, on apprend en effet que Laure Catherine est une journaliste qui, elle, est plutôt rock : elle a écrit une biographie de Pete Doherty, un essai sur le phénomène des groupies, un livre sur la scène rock des années 2000, un récit sur la vie d’Amy Winehouse.



On passe d’un personnage à un autre, sans forcément de lien évident – et le lien, à la fin, me semble un peu artificiel -. L’histoire n’avance pas vraiment, l’enquête non plus, on ne saura en réalité jamais vraiment pourquoi les cygnes ont été sacrifiés, ni ce que cela signifie réellement.



Ce qui rappelle le rock, c’est le côté adolescent, la rébellion contre l’ordre installé, la dimension contestataire. Mais j’ai trouvé que les personnages manquaient de profondeur : Emma, Anisha, Arthur, Paul, Boris, Baptiste, tous semblent nager dans un costume trop grand pour eux, et ils donnent l’impression de survoler l’histoire de loin.



Bref, sentiment de rester à la surface, de ne pas avoir de porte d’entrée dans cette révolte qui n’en est pas une. Et même lorsque, à la fin, les mensonges et les faux-semblants des adultes éclatent en partie, finalement, il ne se passe rien. Aucun choix, aucune décision, aucune progression. De mon côté, encéphalogramme plat…
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Les enfants frapperont-ils encore ?

Dès les premières pages j'ai eu le sentiment d'avoir déjà lu ce roman….. jeunesse désoeuvrée, sans repères, adolescents des cités ou des beaux quartiers mais tous mal dans leurs peaux, un été caniculaire, le calme avant la tempête. Oui c'est un sujet que l'on retrouve dans d'autres romans, dont certains ont été primés et pour ma part je pense à deux que j'ai lu : Leurs enfants après eux et Fief.



L'auteure y a mêlé une intrigue policière : les décapitations de cygnes, des tags « BOB » un peu partout dans la ville et le meurtre d'une serveuse. Avec ces événements, tous les personnages vont se trouver à un moment ou à un autre mêlés à cette enquête, en direct ou à travers leur famille, mais celle-ci n'est que le prétexte pour une radioscopie de la jeunesse et du rapport entre enfants et parents, du manque de communications entre eux, de l'ennui de la vie de province, où tout le monde se connaît ou croit se connaître,



J'ai trouvé les personnages assez caricaturaux : l'adolescente qui ne comprend plus ni sa mère, ni sa soeur, celle-ci ayant une imagination débordante, le fils de bonne famille qui veut comprendre pourquoi sa mère et son oncle ont vu leurs vies basculées après un accident, un jeune adulte souffrant de troubles mentaux depuis un douloureux événement et dont le frère aîné, étudiant, disparaît toutes les nuits, une mère célibataire, caissière qui essaie tant bien que mal de mener vies professionnelle, familiale et amoureuse et je ne vous parle pas des couples au bord de la rupture, du père handicapé épris de boisson à longueur de journée, de la copine issue de l'immigration, orpheline vivant avec sa grand-mère, du policier impuissant à aider sa fille droguée…..



Et pourtant à force de lire ce genre de récits on commence à se dire que ce n'est malheureusement que la photographie de notre société, frappée à tous les étages par un mal-être, une souffrance, par les mots qui ne sortent plus, par une certaine misère, un manque de visibilité de l'avenir, avec souvent la présence de l'alcool et la drogue, la présence des réseaux sociaux dans le quotidien, l'instantanéité des événements, sans recul, la diffusion des vidéos, des mauvaises interprétations de faits, le désoeuvrement. Pas très gai tout cela.



Je souhaite différencier dans mon avis le fait que c'est un sujet comme je l'ai dit plus haut qui a été traité récemment, de façon similaire dans plusieurs romans, du traitement et de l'écriture. Parler de notre société, de sa jeunesse, des parents, des poisons qui gangrènent toute une population, normal puisque cela fait partie de notre environnement, de notre société. Les romans sont là pour relater des époques, des faits, de ce que les auteurs voient, entendent et tentent de comprendre (sans pour cela donner une solution, ce n'est pas le but), oui mais là malheureusement j'ai eu l'impression de déjà lu.



L'écriture est agréable, fluide, ne tombant pas dans l'utilisation du langage des banlieues, verlan etc….., dans des scènes scabreuses, la construction en utilisant les principaux protagonistes comme narrateurs est habile et ne gêne pas la lecture. Je suis entrée dans l'histoire rapidement mais les rebondissements étaient assez prévisibles.



Voilà c'est cela ce qui manque à ce récit : de l'originalité dans son traitement….. Mais la vie, la vie de ces jeunes n'est pas originale, c'est d'une banalité à pleurer : des parents qui ne se préoccupent pas de leur progéniture, ou trop, ou mal, ils sont le plus souvent livrés à eux-mêmes sans perspective d'en sortir.



Laure Catherine a introduit comme support aux événements un livre le massacre de Pangbourne de James Graham Ballard, livre qui a réellement été publié en 1997, que les adolescents pensent être l'inspirateur des crimes, qui raconte le kidnapping d'enfants et le massacre de leurs parents dans un lieu privilégié, sous surveillance vidéo et pour lesquels la police ne possède aucun indice à part une vidéo….. Similitude entre le livre et les événements vécus ? L'assassin s'est-il inspiré de ce roman ? Un livre de science-fiction qui allie société future et cauchemar et qu'ils pensent être la solution aux mystères.



Ce roman est le premier de l'auteure qui a publié auparavant des essais sur le monde de la musique rock et ses idoles. J'ai pensé à plusieurs moments qu'il conviendrait à un public de jeunes adultes. Pour ma part j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, à leur devenir et à la résolution de l'énigme il me manquait un petit « je ne sais quoi » pour avoir un avis plus favorable. Peut-être si je n'avais pas lu plusieurs romans traitant du même sujet, de la même manière.
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Les enfants frapperont-ils encore ?

La jeune Emma s'ennuie dans sa petite ville de province ; des cygnes sont retrouvés morts dans l'étang avant que ce ne soit le corps d'une jeune femme qui agite les eaux calmes de ce même étang. Une bande d'ados, des problèmes d'ados, des familles qui s'évitent, des vieilles querelles...

La jeune Emma s'ennuie et le lecteur aussi avec ce roman qui s'étire, s'étire... Donc, on peut estimer que c'est une réussite si l'auteure voulait nous faire éprouver très exactement ce qu'est l'ennui. Sinon... l'intérêt pour ces ados s'émousse très vite, tout comme pour les histoires qui font trembloter cette petite communauté...

En tout cas, je suis allée au bout, sans souffrir mais sans non plus y trouver de plaisir. Malgré la superbe couverture, je crois que cet univers n'est pas pour moi.
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Les enfants frapperont-ils encore ?

Je vais avoir du mal à vous parler de ce roman. Je ne me suis pas sentie concerner. Aucun personnage ne m'a donné l'envie de le connaître un peu plus.

Je n'ai pas compris où voulait nous emmener l'auteure. Elle aborde des thèmes intéressants comme la jeunesse, la famille, la rébellion, mais ils ne sont pas aboutis.

Et pourtant, je suis allée jusqu'au mot FIN. Je voulais savoir comment ces jeunes allaient s'en sortir. J'ai eu peur de louper quelque chose !

Les chapitres sont assez longs et le récit a du mal à démarrer. On s'attarde sur les "BOB" pendant des pages. L'intrigue policière est très diluée.


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Les enfants frapperont-ils encore ?

La lecture de ce roman m’a laissée avec des sentiments assez ambivalents. J’ai été assez déconcertée par le premier chapitre de cinquante pages. Laure Catherine nous fait entrer en plein cœur de l’histoire avec un style assez particulier. J’ai été perdue et j’ai failli stopper tellement je n’arrivais pas à m’habituer. Une fois ce cap franchi, à mon grand soulagement, j’ai trouvé des chapitres plus courts, plus fluides où l’enquête policière et la psychologie des adolescents des Charmilles se déploient. À partir de ce moment, j’ai pu apprécier ma lecture et me laisser porter par l’histoire que Laure Catherine mène tambour battant. J’ai été assez impressionnée par sa capacité à savoir se mettre dans la peau, dans la tête de ces adolescents. En tant qu’ancienne prof, j’ai retrouvé des traits de caractères de certains de mes élèves. Soit Laure Catherine est une fine observatrice de notre jeunesse, soit elle n’a pas totalement perdue son âme d’ado rebelle pour parvenir à ce résultat assez saisissant. Les adolescents et leurs rapports avec les adultes sont des aspects les plus forts et finalement bien plus intéressants que l’intrigue elle-même qui vient les servir. L’écriture très brute, alerte convient parfaitement aux propos.



Outre le premier chapitre, l’épilogue m’a semblé un peu artificiel même si finalement la dernière phrase laisse une ouverture très intéressante.



Pour résumer, Les enfants frapperont-ils encore ? est un roman fort, au style affirmé dont la structure m’a parfois décontenancée. Je pense qu’il ne plaira pas à tout le monde mais il a de l’audace et on ne peut pas en dire autant de tous les romans.
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Les enfants frapperont-ils encore ?

J’adore lire les « premiers romans », j’aime découvrir une nouvelle ambiance, un nouveau monde et souvent un nouveau style. Pourtant je n’ai que moyennement aimé l’histoire que nous propose Laure Catherine, l’histoire d’une ado Emma qui s’ennuie ferme dans une petite ville typiquement provinciale. En plein mois d’Août, elle doit jouer les baby Sitter auprès de sa jeune sœur surdouée de 9 ans pour aider sa mère qui peine à s’en sortir. Une vie de famille somme toute banale mais qui va changer lorsque seront retrouvés des cygnes décapités puis le cadavre d’une jeune femme noyée. Qui est l’auteur de ces actes barbares ? L’enquête est confiée au Lieutenant Da Silva…

J’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire principalement parce que tout tourne autour du monde des adolescents et que j’ai passé l’âge. A force de nous parler de l’ennui, de la désespérance, de l’alcool de la drogue comme solution pour faire passer le temps, vu qu’il n’y a rien à faire et bien moi aussi je me suis ennuyée au fil des pages où rien ne se passe vraiment. Cela manque terriblement d’action. On oscille entre désœuvrement, addiction aux jeux vidéos et aux réseaux sociaux et satyre sociale. Cette période de l’adolescence n’est pas la plus agréable qu’il soit entre amour déçu, scolarité non investie et malheureusement le portrait des jeunes gens qui viennent de catégories sociaux professionnelles différentes ne suffit pas à ranimer l’intérêt.


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Les enfants frapperont-ils encore ?

J’ai gagné ce premier roman (rentrée littéraire 2018) de la journaliste écrivain Laure Catherine lors du pique-nique Babelio, et j’en remercie également les Editions de l’Observatoire.



Emma, 16 ans, mène une vie bien tranquille, mais surtout bien ennuyeuse dans « une ville paumée de l’Est d’où aucun grand homme n’était jamais sorti, et encore moins une grande femme » entre sa mère qui a du mal à joindre les deux bouts et sa petite sœur Amélie surdouée. Elles ne doivent pas avoir de contact avec leurs voisins du 14, un père et ses deux fils.

La meilleure amie d’Emma, Anisha, fait du running pour se remettre d’une ancienne agression.

Arrhur et Paul veulent échapper à leur mère rescapée d’un accident de la route qui a peur de tout et à leur père magouilleur, grand ami du maire.



Des graffeurs, des squatteurs, tout un petit monde de jeunesse dans des quartiers très populaires dont la vie va être bouleversée quand des tags apparaissent le jour même où des cygnes sont décapités.



Les jeunes désœuvrés s’interrogent, jusqu’au moment où une jeune serveuse est retrouvée morte noyée dans le canal. Est-ce le même auteur des faits?



Le lieutenant DaSilva enquête et se demande si le livre de JG Ballard Le Massacre de Pangbourne dans lequel les enfants se retournent contre leurs parents et qui circule parmi les jeunes, joue un rôle dans les événements.



J’ai bien aimé la façon de raconter l’histoire, on rentre tout de suite dans le vif du sujet, carrément dans la tête d’Emma lors de son premier interrogatoire par DaSilva. Mais ce n’est pas que l’histoire d’Emma et d’Amélie et de leurs copains.



Sur un mois, on suit des très jeunes gens dont l’univers se résume à l’alcool et à la drogue car il n’y a rien d’autre à faire. De leurs cerveaux embrumés, on essaye d’extirper un peu d’action révolutionnaire - les jeunes « friqués » qui se retrouvent parmi les squatteurs, celui qui voulait devenir boxeur mais qui se dit non-violent -, mais on trouve surtout une étrange tristesse due au manque d’intérêt de leur vie adolescente.



Les préoccupations des adolescents, presque des adultes, l’amour, l’orientation scolaire ou professionnelle, la vision des parents, sont particulièrement bien décrites, avec des personnalités bien campées. Et puis les entrelacs d’histoire sont bien trouvés, jusqu’à la désignation du coupable.



Un premier roman très réussi.



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Les enfants frapperont-ils encore ?

L'été, au mois d'août, dans une petite ville de l'est de la France, la jeunesse s'ennuie ferme. Le graffiti "Bob" apparu durant une nuit sur la palissade d'un chantier met un peu d'animation et surtout génère moultes interrogations.

Lorsqu'après la décapitation d'un cygne, une jeune serveuse est retrouvée morte, les policiers mènent l'enquête dans la cité des Charmilles...

Emma et sa petite soeur Amélie font leurs propres recherches... Que comprennent les enfants du monde des adultes ?



Les sujets abordés dans ce roman semblaient intéressants mais la psychologie des personnages n'est que survolée et l'intrigue est ténue.

L'écriture est banale, l'histoire difficile à suivre, bien que la lecture en soit facile. Au fil des pages, le lecteur se demande où veut en venir l'auteure...

Un roman fade qui sera vite oublié... dommage.





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Les enfants frapperont-ils encore ?

Au mois d’août, dans une petite ville de l'est de la France, nous suivons des jeunes de la Cité des Charmilles. Emma, seize ans, s'ennuie à mourir, sa mère l'a obligée à rester chez eux pour garder sa petite sœur de neuf ans, Amélie.



Un jour, des graffitis fleurissent sur les murs de la ville alors que parallèlement on retrouve des cygnes décapités. Est-ce que le graffeur Bob est le coupable comme le pense Emma?



Quand le cadavre d'une jeune serveuse sans histoires est retrouvé dans le canal, les adultes, policiers en tête, commencent à s'intéresser aux étranges événements qui se sont produits dans le quartier ces derniers temps. Ils se tournent vers les jeunes de la ville parmi lesquels circule depuis plusieurs semaines un livre "Le massacre de Pangbourne" de J.G. Ballard qui illustre la peur des parents d'être dépassés par leurs enfants, de les voir se retourner contre eux. Des histoires de jeunes qui tuent des adultes... Emma et sa jeune sœur vont partir à la recherche de la vérité.



L'écriture est agréable et fluide. Laure Catherine excelle pour décrire ces jeunes adolescents désœuvrés, absorbés par leurs jeux vidéos et les réseaux sociaux, gros consommateurs de shit et friands de trafics en tous genres. Cependant pour moi, ce récit a manqué globalement d'action et je me suis vite lassée de l'histoire de ces jeunes. Voilà un roman qui manifestement n'était pas pour moi mais je suis certaine qu'il trouvera son public. Je retrouverai avec plaisir cette auteure à l'occasion de son second roman.
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Les enfants frapperont-ils encore ?

Emma et sa petite soeur Amélie, Arthur et son petit frère Paul, Baptiste et Gaspard … Anisha, la “pak-pak”, des adolescents un peu paumés, des parents dépassés par leurs problèmes ou tragédie, des tags sur les murs (”BOB”), des cygnes décapités, une jeune fille de vingt ans, Célia, retrouvée noyée, des policiers perdus et le fameux Boris … Tout ceci du côté du bois d’Arcy …



Autant d’ingrédients - à première vue - pour qu’un roman vous tienne en haleine, hélas point d’alchimie pour ma part … Ces jeunes n’ont pas su toucher mon coeur de mère pourtant sensible … L’écriture ? Le manque d’attrait de l’intrigue ? Je ne saurais dire … Pas d’immersion et encore moins de coup de coeur …
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Les enfants frapperont-ils encore ?

La jeunesse et son cloaque de désirs. C’est Emma qui dégoise son vocabulaire, ses mensonges. Un dialogue avec un flic. Des phrases qui se perdent, recommencent. Un lien complexe à entrapercevoir au début. Qui sont-ils ? De quoi parle t-elle ? Où sommes-nous ? Il faut plusieurs pages avant de poser le décor. Difficile d’entrer dans le roman, d’y faufiler une jambe. Surviennent ensuite d’autres personnages. Une foule. Pluralité qui déconcerte de premier abord. Anisha, la copine au dialogue perché. Gaspard, le frère qui musèle sa violence. Amélie, soeur d’Emma à l’imagination débordante. Des squatteurs. Des parents. Et Baptiste, peut-être le seul marmot qui a su m’intriguer, m’intéresser. Petiot égaré à ses souvenirs, n’ayant que Batman pour compagnie de ses rêveries.



Au milieu de la jeunesse, des tags, des animaux tués, et un meurtre. Il y a comme des allures de polar, comme une impression de s’immerger dans un vieux Chair de Poule, et la sensation se renforce lorsqu’un livre est évoqué, Le Massacre de Pangbourne, roman engageant les enfants à tuer les adultes. Malheureusement, l’intrigue ne suit pas. Le meurtre n’est qu’une excuse, un ballon qui se dégonfle. D’un univers que j’imaginais noir, bardé de menaces, on stagne aux bavardages des adolescents, à leurs conjectures qui n’amènent jamais autre chose que la passivité.



Plusieurs thèmes abordés, impression que rien ne s’achève. Des adultes qui gravitent avec leurs secrets. Des histoires au passé qui s’entremêlent, se révèlent, sans que cela offre un intérêt à la lecture. Dommage. Un roman qui ouvre plusieurs portes, arpente différents chemins mais ne sait finalement pas clôturer toutes les idées exposées.

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Les enfants frapperont-ils encore ?

La vie bien tranquille d’une petite ville de l’est de la France est perturbée par des graffitis étranges puis le massacre de cygnes et le meurtre d’une jeune serveuse.

A mi-chemin entre le roman social et le roman d’apprentissage avec les portraits de jeunes issus de milieux différents. Un roman qui tend à montrer que la vie n’épargne personne de ses drames.

Pas transcendant. Une écriture assez « jeune » avec un humour acide qui ne plaira peut-être pas à tous.

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