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Critiques de Laure Watrin (33)
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Les 100 mots des bobos

Les 100 "mots "ou 100 "maux" tant on a tendance à accabler de toutes les pires infamies ces fameux " bobos", un terme qui est apparu au début des années 2000 et qui recouvre une masse bien peu définie d'urbains qui ont quelques habitudes toujours plus décriées



Les bobos forment une nébuleuse que les auteurs de ce dictionnaire tentent de cernier, en explorant leurs vocabulaires et tics de langage les plus révélations d'allaitement à zazous, en passan par AMAP, jardins partagés et participatifs.... le parti pris est plutôt original et surtout la charge est moins lourde que prévue, les auteurs semblant avoir une vraie tendresse pour ces bobos, dans lequel chacun d'entre pourra se retrouver plus ou moins....et ce dictionnaire cherche moins à le stigmatiser qu'à tenter de le comprendre, louable intention !!
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Une vie de Pintade à Paris

A la fois guide touristique et compilation d'anecdotes humoristiques, ce livre vous dévoile tous les codes pour être la parisienne parfaite. Malgré les bonnes adresses sur des domaines très divers : écoles, bistrots, shopping, transports, sex-shop ou librairies, (attention tout de même, à prendre avec précaution, car le bouquin date de 2009) et les quelques situations rocambolesques décrites qui déclenchent le sourire, les auteures n'ont pas évité les multiples clichés. Le mieux, c'est de le picorer plutôt que de le lire d'une traite car trois anglicismes par phrase, ça use. L'image qui ressort de la pintade en question reste quand même celle d'une fille futile et friquée, mais je m'en moque car... je ne suis pas parisienne.
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Les 100 mots des bobos

Merci à Babelio et aux éditions Que sais-je ? pour m'avoir permis de découvrir ce livre mais malheureusement, mon avis dessus semble aller à contre-courant de ce qu'en ont pensé les autres lecteurs.



"Les 100 mots des bobos" regroupe, comme le titre l'indique, 100 définitions qui décrivent, expliquent et résument une certaine catégorie de personnes. Une catégorie de personnes/un état d'esprit plutôt moqué et méprisé par la société : les bobos.



Je n'ai pas du tout été séduite par le ton employé par les auteurs que j'ai trouvé pompeux et hautain voire parfois insultant. Cette lecture m'a été désagréable mais ce qui l'a plus ou moins sauvée est son aspect informatif. J'ai appris des choses intéressantes notamment sur les AMAP et les définitions faisant appel à l'Histoire pour les comprendre, telle Mai 68.



"Les 100 mots des bobos" est une étude politico/sociologique intéressante sur certains points mais, j'y reviens encore, le ton me fait me questionner quant à sa crédibilité.
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Les Pintades à New York : Chronique de la vie..

Amusante façon de voir NY. Encore plus drôle quand on connaît la ville ce qui permet de faire le tri entre vérité et fantasmes

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Les Pintades à New York : Chronique de la vie..

Et voilà, je m'en doutais en lisant ce roman et j'avais raison : j'ai maintenant envie de réserver un billet d'avion vers New York ! Cette ville a une énergie folle et Layla Demay parvient parfaitement à rendre cette ambiance dans ce petit guide sympa et atypique.

Bon, je ne suis pas rassurée sur mon état mental : les New Yorkaises étant, selon le résumé du roman, "névrosées au stade terminal", je dois l'être moi-même étant donné que je me retrouve parfaitement bien dans plusieurs de leurs manies. Mais, en même temps, on n'y peut rien si l'on est un peu "control freak"...



En tout cas, si vous comptez passer quelques jours à New York, un conseil : en plus du guide touristique classique, emmenez également celui-ci. Vous ne le regretterez pas.
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Les Pintades à New York : Chronique de la vie..

Amusante façon de voir NY. Encore plus drôle quand on connaît la ville ce qui permet de faire le tri entre vérité et fantasmes
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Une vie de Pintade à Paris



Mouais. Lu pour remplir une catégorie de challenge lecture, et j'avais un peu honte de voir qu'il n'avait pas été lu depuis son édition en 2010. Amusant pour la sociologie, les portraits de femmes et les anecdotes de la vie parisienne, mais c'est daté et assez futile, même caché sous la couche d'humour.
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La république bobo

On entend beaucoup parler de "bobos" sans que le terme soit bien défini. Bourgeois-bohème, ok. Mais que signifie ce mot qui est en lui-même une contradiction ? Qu'est-ce donc un bobo, ce mot qu'on utilise pour qualifier une catégorie de personnes, généralement dans un sens négatif.



Eh bien, Laure Watrin et Thomas Legrand, un couple qui se disent eux-même bobos, nous l'expliquent dans cet essai d'un peu plus de 200 pages. Cela pourrait paraître long et ennuyeux, mais en vérité, non, pas du tout !

Ce livre est captivant, que vous soyez bobo ou non ! Personnellement, je n'en suis pas (pas que je sache en tous cas) mais j'adhère avec certaines de leurs idées, de leurs convictions.



C'est truffé d'informations, mais pas seulement... ce livre est plein d'humour et d'auto-dérision ! J'ai sourit à de nombreux passages (dommage, je n'ai pas pensé à noter mes préférés quelque part...). C'est léger, c'est frais tout en s'appuyant sur des faits d'actualités et en parlant politique. Je ne suis pas quelqu'un qui s'intéresse à la politique et, même si le livre aborde pas mal le sujet, ça ne m'a gonflée à aucun moment. Au contraire !



Mais que dire de plus, à part qu'il faut se plonger immédiatement dans ce petit livre très chouette ? J'espère que la vidéo (un peu "coup de gueule" il faut l'avouer) de Solangeteparle (une Youtubeuse que j'aime énormément, j'adore ce qu'elle fait et je vous invite vraiment à découvrir sa chaîne plus en profondeur, c'est tout simplement génial !) saura vous convaincre. Parce que c'est Solangeteparle, ça devrait suffire, non ?
Lien : http://leslecturesdanais.blo..
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Une vie de Pintade à Paris

Sympathique mais un peu trop "pintade" pour moi qui me contrefiche la haute couture et miracle j'arrive à ne pas m'habiller comme un sac!

On se souvient de quelques grandes phases qu'on a adoré, mais tout est noyé pour faire très girly truffé de mots d'anglais... Mouais.

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Une vie de Pintade à Paris

Une pintade n'est ni une poule ni une dinde et certainement pas une bécasse, mais le symbole de la femme d'aujourd'hui, sérieuse et frivole à la fois! Layla Demay et Laure Watrin nous proposent un voyage passionnant dans le monde singulier de la pintade parisienne qu'elle soit du 16ème ou du 20ème.



Il s'agit ici de découvrir un mythe, celui de la parisienne, on la pense séductrice,râleuse, nos voisines d'outre manche pense qu'elle dépense la moitié de son salaire en lingerie et qu'elle ne se lave pas! Les auteurs/sociologues, ont enquêté pendant plus d'un an, ont infiltré l'univers des parisiennes; pour mieux réfuter ou au contraire confirmer les clichés existants. Comment les parisiennes vivent elles, qu'elles sont leurs adresses... A travers des chapitres thématiques (les titis parisiens, la pintade à hommes, pintades en cocottes, les pintades s'aèrent...) avec pour chacun des portraits touchants, des adresses, des anecdotes, les auteurs réussissent avec humour à nous faire comprendre ces phénomènes qu'elles soient bourgeoises, bobos, fraichement montées récemment de province.Le livre est chaleureux, touchant, et extrêmement drôle surtout lorsqu'on habite à Paris et qu'on à l'occasion de confirmer beaucoup de choses lues sur le terrain! Ainsi un guide pour la parisienne, mais aussi un guide quasiment anthropologique pour tout ceux qui s'intéressent aux comportements, aux habitudes et traditions de l'humain.



Une vie de pintade à paris est un livre délectable, intéressant, amusant de bout en bout! très agréable aussi grâce une mise en page du livre de poche aérée ponctuée d'illustrations.
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Les 100 mots des bobos

Où l’on apprend que le bien le plus précieux des bobos est leur capital culturel et que Montreuil est le 21eme arrondissement de Paris.

Je m’attendais à une once d’humour. Mais, lorsque j’ai choisi cette lecture, je n’ai pas remarqué que cela appartenait à la collection Que sais-je. Résultat : c’est de la sociologie, niveau débutant.

.

Je me souviens de paroles de Renaud :

« Ils lisent Houellebecq ou Philippe Djian,

Les Inrocks et Télérama,

Leur livre de chevet c'est Cioran

Près du catalogue Ikea.

Ils aiment les restos japonais et le cinéma coréen

Passent leurs vacances au cap Ferret

La Côte d'Azur, franchement ça craint

Ils regardent surtout arte [ ] »



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Une vie de Pintade à Paris

Ce livre est le plus décevant de toute la collection des pintades. Il est fait de rencontres et témoignages dans tous genres de divers milieux (mode, coiffure, beauté, personnes de tous âges et de divers catégories sociales). Il part un peu dans tous les sens du ne permet pas de se faire une idée de la vie quotidienne à Paris. Décevant.
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Les Pintades à New York : Chronique de la vie..

Quartier par quartier, les auteures décrivent la vie quotidienne des new-yorkaises : mode, beauté dont chirurgie esthétique, animaux de compagnie, sports, coachs en tout genre, vie professionnelle, vie amoureuse, parentalité. Les auteures multiplient les rencontres et expériences parfois farfelues et déroutantes.
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Les Pintades passent à la casserole

Livre dynamique qui nous parle du rapport à la nourriture dans deux grandes villes. Les deux auteures mettent l'accent sur certaines tendances. Il y a un travail journalistique avec deux points de vue. La parisienne et la new-yorkaise décriptent les différents façons de se nourrir dans deux sociétés urbaines et cosmopolites mais si différentes.
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
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Les Pintades à New York : Chronique de la vie..

Extrait de ma critique:



Je suis une pintade, c'est à dire une femme d'aujourd'hui, légère et sérieuse, féminine et féministe (ce dernier point reste à vérifier). Et en tant que future émigrante aux States, comme on dit, nous, les jeunes, il était nécessaire que j'achète ce guide!
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Une vie de Pintade à Paris

Une vie de pintade à Paris est une sorte de guide du routard version féminine. On part à la découverte de Paris, de ses habitants, de ses manies, de ses bons coins mais surtout de la pintade parisienne, qui n'est "ni une poule ni une dinde et certainement pas une bécasse, mais le symbole de la femme d'aujourd'hui, sérieuse et frivole à la fois !"



Pourquoi me suis-je intéressée à ce livre, qui ne fait pas partie de mon genre de prédilection ? Eh bien, voilà, je suis une expatriée belge (il parait que c'est comme ça qu'on dit, même si ça fait plus réfugié politique qu'autre chose) en balade à Paris, depuis près d'un an et demi. J'avais envie de savoir si ce que je pense de cette ville, comment je la vis au quotidien, comment je la découvre et la fait mienne se retrouvait dans ce petit bouquin au ton humoristique que j'avais aperçu sur les étals du Virgin des Champs Élysée (haut-lieu de la démesure et de l'abondance commerciale à découvrir).



La réponse en est oui et non.



Commençons par le non. D'abord, je ne suis pas une pintade jusqu'au bout des ongles. En tout cas, pas telle qu'elle est définie dans le livre. Je suis plutôt du genre pintade geekette. La mode, les ventes presse, dépenser 200euros dans une paire de chaussures, aller à la salle de sports, manger bio, passer mon après-midi chez le coiffeur ou chez l'esthéticienne, sortir en club, Paris ou pas Paris, ce n'est pas moi. Il y a donc tout un pan du livre qui m'a un peu échappé. De plus, il faut savoir que dans mon expatriation, je ne peux pas me donner une identité complète de belge/bruxelloise à Paris, puisque ... Aaaah scandale, je vis en banlieue (mais pas la banlieue 92 ou 94, pas celle des Parisiens qui ne peuvent pas se payer la ville même, la banlieue 91, far far away quelque part dans la zone 5 du RER). Par contre, pour ma défense, je travaille sur Paris. Mon regard sur la ville est donc différent.



Pour ce qui est du oui, il n'y a rien à faire quand on vit et travaille dans ou à proximité de la ville lumière, il est des détails qui ne peuvent échapper à l'œil : les bousculades dans les transports en commun et l'agrément des grèves de la RATP ; l'eau qui coule à grands flots dans les caniveaux sous l'œil perplexe des allochtones ; la difficulté de trouver une crèche ou une nounou pour son bout de chou, testé et pas approuvé par des amies ; l'aspect villages-dans-la-ville grâce aux différents quartiers, Paris est très humaine dans le fond, quoi qu'on en voit quand on est juste de passage ; les trottoirs qui servent de terrasses aux cafés et restaurants, passage périlleux assuré pour les piétons et nez définitivement dans le pot d'échappement pour les consommateurs ; les studios minuscules hors de prix, testé et pas approuvé du tout ; la folie des vélib', alors qu'à Bruxelles ça ne fonctionne pas du tout ; les publicités et les vendeurs de fruits dans les couloirs du métro, plein plein de choses ... Y a pas à dire c'est bien de Paris qu'on parle, pas d'une autre ville.



En résumé, Une vie de pintade à Paris est un portrait juste pour ce que je connais, donc j'en déduis qu'il l'est certainement aussi pour ce que je ne connais pas. Pleins d'adresse dont j'ai noté certaines (entr'autre pas mal d'adresses de librairies), des bons plans quoi que je regrette qu'ils ne soient pas davantage à portée de toute bourse, des portraits de parisiennes touchants (mention spéciale pour celui de Mick le cantinière qui m'a beaucoup émue), le tout arrosé d'un style et d'illustrations humoristiques qui rendent le livre fluide et facile à lire.



Là dessus, Bruxelles me manque, j'espère qu'un jour je pourrai voir sur les étals de la FNAC de City 2, lors d'un passage dans ma ville natale Une vie de pintade à Bruxelles.
Lien : http://ledragongalactique.bl..
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Une vie de Pintade à Paris

« Une vie de pintade à Paris » n’est pas un roman. Les héroïnes, ce sont les Parisiennes, les pintades de cette ville qui fascine autant qu’elle peut en révulser d’autres. En tant que lecteur, il n’est pas si facile de s’identifier à ces demoiselles plus ou moi âgées, mais qui ont toutes de nombreux points communs, à commencer par celui de vivre à Paris. Il est d’autant plus compliqué de s’identifier à elles si l’on ne connaît pas du tout notre belle capitale.

Pour ma part, sans dire que je connais Paris comme ma poche, on va dire que j’adore y jouer ma petite Parisienne d’adoption. Je sais que j’ai encore bien des progrès à faire et donc cet ouvrage tombe à point nommé.



Un livre qui s’adresse prioritairement aux femmes, mais qui n’exclue pas nos compagnons. La formule des auteurs est d’ailleurs à ce propos fort bien tourné et donne le ton immédiatement : « Ce que nous écrivons est d’ailleurs valable pour les Parisiens, mais comme notre propos, c’est les pintades, pardon messieurs, mais on vous taillera un costard un autre jour. »



La pintade parisienne a ses particularités. Les auteurs nous la définissent assez bien dès le début afin que l’on ne se méprenne pas et ne la confonde pas avec ses consoeurs venues d’autres basses-cours :

« À Paris, la pintade est beaucoup plus compliquée. Elle va râler, pester, fulminer, et puis aussi, elle va resquiller. Que ceux qui l’accusent de manquer de civisme aillent se faire voir chez les Grecs. C’est pour cela qu’elle vit à Paris et pas à Athènes. D’ailleurs, elle ne resquille pas. Rroghh, tout de suite les grands mots… »

« C’est que les pintades parisiennes considèrent qu’elles ont des droits, elles ont coupé la tête de leur roi et de leur reine, elles paient leurs impôts. Donc elles assument d’être râleuses. Elles râlent d’ailleurs pour (presque) tout et (quasi) n’importe quoi. »



La suite...


Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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Une vie de Pintade à Paris

“Une vie de pintade à Paris” de Layla Demay et Laure Watrin m’a été offert lors de la Pintade Pursuit à laquelle j’ai participé. Ayant dévoré le bouquin (au détriment de mes autres lectures du moment), je me devais de vous en parler !



Les deux auteures, qui avaient déjà décrypté les mœurs des pintades de New-York, se sont attaquées ce coup-ci à la pintade parisienne. N’y voyez rien de péjoratif dans l’utilisation du mot “pintade”, car , comme on nous l’explique sur la quatrième de couverture : “Sous leur plume, une pintade n’est ni une poule, ni une dinde, ni même une caille, et certainement pas une bécasse mais le symbole de la femme d’aujourd’hui, sérieuse et frivole à la fois”.
Lien : http://ainsi-bloggait-zarath..
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La république bobo

Un essai moins futile qu'il n'y paraît parce qu'il interroge sur les choix que nous posons dans la société actuelle. Et puis, immanquablement, on se pose la question de notre boboitude... A vous de voir si vous correspondez à la définition des auteurs: " Un bobo est une personne dont le capital culturel (élevé) à plus de poids que le capital économique (variable) pour déterminer son lieu de vie, et les "valeurs" qu'il considère comme positives ou négatives."
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La république bobo

Je ne suis pas un bobo (enfin, pas que je sache), j'ai néanmoins voulu voir ce que des bobos autoproclamés pouvaient écrire sur leur propre mode de vie.



Mal m'en a pris, ce petit livre est dégoulinant d'autosuffisance, bourré d'incohérences. je dois néanmoins lui reconnaître deux immenses qualités : premièrement, il est bien écrit et se lit facilement. Deuxièmement, il s'abstient de moraliser ou de donner des leçons.



Cela malheureusement n'enlève rien au caractère pénible de ce livre où les auteurs s'extasient sur leur mode de vie qui n'est, il faut bien l'avouer pas à la portée de tout le monde puisque tout le monde ne peut pas se payer un loft à Paris, ne sait pas faire du télétravail avec son pc portable dans un coffe-shop bio-équitable..



Vantant les mérites de la mixité sociale, les auteurs justifient néanmoins que leurs enfants aillent dans des lycées privés ( les étrangers c'est bien mais loin de chez moi semble-t-on lire entre les lignes).



Leur mode de vie même s'il n'est pas exprimé comme tel repose surtout sur de (très) sérieuses ressources financières.



Il ne faut pas oublier que dans bobo, le premier mot est bourgeois...
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