Quand on mate ce genre d'horreur, on ne veut pas établir de contact visuel. On n'a pas envie que les collègues se rendent compte qu'on a peur, qu'on est bouleversé, ou pire : qu'un truc aussi affreux nous excite. Personne ne veut montrer ce genre d'émotion ni la lire chez un autre flic.