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Citations de Lauren Barnholdt (13)


- Dis quelque chose ! s’écrie-t-elle.
- Tu m’as fait promettre ! répliqué-je. Alors je me tais.
B.J. Cartwright. Beurk ! C’est… « Dérangeant » est le seul mot qui me vienne, mais je ne peux pas dire ça à Jocelyn. Parce que je lui ai promis de ne pas la juger. De plus, Jocelyn prend les attaques à l’encontre des gens qu’elle embrasse comme des attaques contre elle-même. Alors, si je lui disais : « Waouh, Jocelyn ! C’est dérangeant », elle comprendrait : « Waouh, Jocelyn, tu es dérangée ! » Il est possible que ce soit vrai, mais tout de même.
- En ne disant rien, tu exprimes beaucoup de choses.
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— Quoi ? demandé-je.
— Tu ne peux pas coucher avec Jordan.
— Pourquoi ? Si, je peux. Mon corps a cette capacité.
Du moins, je crois. Bien que je me rappelle avoir lu quelque part que, si on s’abstient pendant longtemps, la virginité repousse et ça peut être difficile à la première reprise. Ce n’est pas mon cas, vu que je n’ai jamais couché avec personne. Mais peut-être que, si on attend trop longtemps, c’est plus difficile de commencer ? N’importe quoi ! N’est-ce pas ? J’ai dix-sept ans, pas trente. 
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...je me suis dégotté une robe super sexy… Elle est bleu turquoise, magnifique, avec un décolleté plongeant qui donne l’impression que mes seins sont plus gros qu’ils ne le sont en réalité. Elle est moulante et courte, et ses bretelles sont extrêmement fines. Quand je la porte, on dirait que j’ai une taille de guêpe.

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Je déteste quand les filles pleurent. Je ne sais jamais comment réagir. On ne peut pas savoir si elles pleurent à cause d’un truc important ou si c’est seulement à cause de leur jean, qui ne leur va pas comme elles voudraient.
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— Pourquoi tu ne la jettes pas pour prendre un autre cachet ? demande-t-elle, exaspérée.
— Parce que j’ai acheté un paquet qui ne contient que deux cachets, réponds-je, les yeux toujours rivés dessus.
Peu importe. Je l’avale avec de grandes gorgées d’eau.
— Achètes-en un autre, conseille-t-elle. Je ne prendrais pas ce cachet, à ta place. Il y a sûrement du sperme dessus.
— Pourquoi il y aurait du sperme dessus ? m’exclamé-je, horrifié.
J’ouvre la bouche en regardant le miroir, mais c’est trop tard. J’ai déjà avalé le cachet.
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- Courtney! m'exclamé-je en me précipitant vers elle. Tout va bien?
Elle lève les yeux vers moi, tout rouges, puis se penche avec un nouveau haut-le-coeur. Je lui prends son téléphone, raccroche au nez de son interlocuteur, qui que ce soit, et fait remonter à Courtney la queue de femmes ( qui la regardent fixement - quoi, elles n'ont jamais vu quelqu'un vomir?) pour la faire entrer dans les toilettes.
- Jordan, dit-elle en s'appuyant contre mon épaule. Tu ne peux pas entrer dans les toilettes pour femmes.
Quatres femmes, debout devant le lavabo, me regardent avec de grands yeux.
- Tout va bien, leur di-je. Je viens simplement aider mon amie. Elle ne se sent pas très bien.
- Nous ne sommes pas amis, proteste Courtney avant de vomir de nouveau dans un évier près du mur.
Ce n'est pas très malin de dire du garçon qui vous aide qu'il n'est pas votre ami, mais je laisse glisser, étant donné qu'elle n'est clairement pas en forme. Je repousse ses cheveux en arrière.
- Tu as un élastique? demandé-je, ignorant les regards des femmes.
[...]
Courtney me donne son sac, et je fouille dedans, cherchant un élastique. Maquillage, miroir, carnet... pourquoi les filles emmènent-elles un bazar pareil? Je repousse les cheveux de Courtney de son front, et j'essaie de lui faire une queue-de cheval. Sa peau est si douce sous mes doigts.
- Laisse moi faire, dit-elle en me prenant l'élastique.
Sa main effleure la mienne, et mon coeur s'emballe. Je la désire tellement!
Elle s'attache les cheveux avant de se pencher sur l'évier pour un dernier haut-le-coeur, silencieux. Je lui frotte le dos jusqu'à ce qu'elle cesse de trembler.
- Touva bien? Demande-je.
- Oui, répond-elle.
Elle serre le bord de l'évier si fort que ses jointures blanchissent?
- Tout va bien. Mais je déteste vomir.
- Je peux te laisser laisser seule une seconde? Je vais aller te chercher une bouteille d'eau.
- D'accord, répond-elle, l'air peu convaincue.
Je regarde autour de moi. Le sol est sale, jonché de serviettes en papier et de papier toilette. Ca sent exactement comme dans n'importe quelles toilettes de station-service.
- En fait, reprends-je, et si tu venais avec moi? On va te prendre de l'eau, et tu pourras t'assoir à l'arrière de mon 4x4. Un peu d'air frais devrait te faire du bien.
- Très bien, asquiesce-t-elle.
Elle s'avance d'un pas mal assuré vers la porte des toilettes. Je fais mine de l'entourer de mon bras, comme avant, mais elle me repousse.
- Ca va, je te dis.
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Il m’a brisé le cœur, c’est vrai, mais cela ne justifie pas que je me comporte comme une salope. Je devrais m’élever au-dessus de tout cela, deux moins ne font pas forcément un plus, on attrape plus d’abeilles avec du miel et j’en passe.
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Pour être tout à fait honnête, je déteste les mariages. Tous ces gens qui se réjouissent pour un couple que beaucoup d’entre d’eux ne connaissent même pas et qui a de grandes chances de divorcer dans moins de dix ans… Quand on y pense, c’est plus déprimant qu’autre chose.
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Si elle savait ce qui s’est réellement passé, elle me haïrait probablement encore plus. En vérité, Courtney et moi avons rompu pour une raison bien plus compliquée qu’elle ignore
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Il arrive que les gens qu’on a peu fréquentés nous fassent plus souffrir que ceux qu’on connaît bien, parce qu’on s’est attaché à l’idée qu’on s’est faite d’eux et non à ce qu’ils sont en réalité. Comme on n’a pas eu le temps de les côtoyer, on ignore leurs défauts et on crée un genre de fantasme qu’on nourrit de nos espoirs et de nos rêves.
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C’est la première fois qu’une fille me brise le cœur et, franchement, c’est très désagréable. Je suis du genre à préférer plaquer. Enfin, pas vraiment ; personne n’aime faire souffrir les autres mais, parfois, on n’a pas le choix. Et si on me donne le choix entre avoir le cœur brisé et briser celui de quelqu’un, eh bien, traitez-moi d’égoïste si vous voulez, mais je préfère être le briseur.
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On dirait que le fait d’être beau l’autorise à se balader où il veut en racontant ce qui lui passe par la tête et en faisant ce qu’il désire. Comme si son mètre quatre-vingt-cinq, ses larges épaules et ses cheveux bruns, ses traits parfaits et ses magnifiques yeux bleus lui donnaient tous les droits.
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De nos jours, tout le monde répète que les femmes doivent être fortes, qu’elles ne doivent dépendre de personne, bla-bla-bla.
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