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3.15/5 (sur 13 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Laguna Beach, Californie , le 01/02/1986
Biographie :

Lauren Katherine Conrad est une actrice américaine. Elle est surtout connue pour son rôle Lauren dans la série télévisée Laguna Beach : The Hills.

Le 16 juin 2009 est sorti aux États-Unis le premier roman de Lauren Conrad : "L.A. Candy". Le livre parle de ce que c'est de grandir à Hollywood, tout en ayant été dans une émission de télé-réalité, écrit par une fille qui en à fait l'expérience.



Source : Wikipédia
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LAUREN CONRAD - DESIGNER & AUTHOR


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— Maman, je dois y aller ! Je t'aime, mais je suis très en retard ! Au revoir ! s'écria Jane en fermant son téléphone d'un coup sec.
Elle baissa les yeux sur l'horloge de son tableau de bord alors qu'elle pénétrait dans le parc de stationnement : 9 h 05. C'était son premier jour à son nouveau travail, et elle était déjà en retard de cinq minutes.
Elle capta son reflet dans le rétroviseur et se rendit compte que ses cheveux étaient... bon, décoiffés serait une bonne façon de dire les choses. Le matin était tellement ensoleillé et doux qu'elle avait baissé les vitres de sa Jetta et avait roulé à une vitesse légèrement supérieure à la limite pour compenser le fait que son réveil n'avait pas sonné. Et maintenant, ses cheveux étaient tout ébouriffés.
Jane fouilla dans son énorme sac en cuir orange et renversa son contenu sur le siège du passager : un portefeuille, deux tubes de rouge à lèvres, un stylo, un carnet à croquis, un agenda, une barre protéinée, une bouteille d'eau, un magazine roulé Women's Wear Daily (mieux connu sous l'appellation WWD), une pomme, un autre stylo, des pastilles à la menthe, un tube de détachant, un crayon pour les yeux, un autre stylo et deux talons de billets de cinéma.
Ah, ah, elle était là, sa pince à cheveux préférée, en écaille de tortue turquoise. Elle enroula prestement ses cheveux en chignon, les attacha avec la pince et regarda de nouveau son reflet. Parfait.
Après avoir tout remis dans son sac, Jane sortit rapidement de la voiture, faillit oublier de la verrouiller et se précipita dans l'immeuble. À l'intérieur du hall d'entrée moderne, elle s'identifia auprès du garde de sécurité et se dirigea vers le cinquième étage.
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— Maman, je dois y aller ! Je t'aime, mais je suis très en retard ! Au revoir ! s'écria Jane en fermant son téléphone d'un coup sec.
Elle baissa les yeux sur l'horloge de son tableau de bord alors qu'elle pénétrait dans le parc de stationnement : 9 h 05. C'était son premier jour à son nouveau travail, et elle était déjà en retard de cinq minutes.
Elle capta son reflet dans le rétroviseur et se rendit compte que ses cheveux étaient... bon, décoiffés serait une bonne façon de dire les choses. Le matin était tellement ensoleillé et doux qu'elle avait baissé les vitres de sa Jetta et avait roulé à une vitesse légèrement supérieure à la limite pour compenser le fait que son réveil n'avait pas sonné. Et maintenant, ses cheveux étaient tout ébouriffés.
Jane fouilla dans son énorme sac en cuir orange et renversa son contenu sur le siège du passager : un portefeuille, deux tubes de rouge à lèvres, un stylo, un carnet à croquis, un agenda, une barre protéinée, une bouteille d'eau, un magazine roulé Women's Wear Daily (mieux connu sous l'appellation WWD), une pomme, un autre stylo, des pastilles à la menthe, un tube de détachant, un crayon pour les yeux, un autre stylo et deux talons de billets de cinéma.
Ah, ah, elle était là, sa pince à cheveux préférée, en écaille de tortue turquoise. Elle enroula prestement ses cheveux en chignon, les attacha avec la pince et regarda de nouveau son reflet. Parfait.
Après avoir tout remis dans son sac, Jane sortit rapidement de la voiture, faillit oublier de la verrouiller et se précipita dans l'immeuble. À l'intérieur du hall d'entrée moderne, elle s'identifia auprès du garde de sécurité et se dirigea vers le cinquième étage.
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Mais elle n'était pas du genre à passer Noël à Aspen. C'étaient ses parents qui avaient eu l'idée d'y louer un appartement cossu et de passer le temps des fêtes sur les pistes. M. et Mme Harp — réellement docteur et docteure Harp (il était chirurgien plastique, et elle était psychiatre) — ne croyaient pas aux traditions sentimentales comme décorer un arbre ou suspendre des bas au manteau de la cheminée. Chaque année, ils passaient les fêtes de fin d'année dans différents lieux de villégiatures. L'année dernière, ils étaient allés aux Bahamas. L'année précédente, à Paris. Et avant cela, à Hawaï.
C'était déjà bien assez que Scarlett ait à faire ses bagages pour un voyage auquel elle n'avait pas envie de participer. Le pire était qu'elle n'était pas seule. Il y avait des gens dans sa chambre qui l'observaient. Beaucoup de personnes, en fait. Un metteur en scène, deux caméramans, un technicien du son et un producteur.
Et Gaby, sa partenaire ennuyeuse, qui avait été placée là pour jouer le rôle d'amie de substitution pour Scarlett et lui tenir compagnie pendant qu'elle faisait sa valise. Traduction : Jane et Madison avaient disparu, et le spectacle n'était pas propice au tournage, aussi Trevor et l'autre productrice, Dana, organisaient des scènes qui étaient totalement factices. Et il arrivait la même chose pour Les plaisirs d'Hollywood, qui devaient pourtant être une émission de téléréalité. Scarlett ne se tiendrait jamais avec Gaby, à moins d'y être obligée. Et c'est ce qu'elle était à ce moment-là.
Assise sur le lit, Gaby essayait d'alimenter la conversation et de faire des commentaires sur les vêtements de Scarlett — en majorité des jeans et des t-shirts.
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— Salut, êtes-vous déjà allées à l’intérieur ? Il y a plein de beaux garçons !

— Salut, Gaby ! répondit Jane.

Elle aimait bien Gaby, qui, même si elle était un peu fofolle, était gentille et facile à côtoyer. Elle était jolie ce soir-là dans sa robe droite moka clair à paillettes.

Scarlett glissa son bras autour des épaules de Gaby. Elles étaient devenues amies au cours des derniers mois, ce qui étonnait plutôt Jane, car elles n’auraient pu être plus différentes.

— Salut, étrangère. Quoi de neuf ?

— Pas grand-chose. Ah, oui ! Je me suis fait faire des mèches ! s’écria-t-elle en tapotant son chignon et en regardant autour d’elle. Où est Madison ? Ne devrait-elle pas être sur la photo, elle aussi ?

« Madison. »

Jane fit semblant d’ajuster sa robe pour tenter de cacher sa réaction au commentaire de Gaby. Elle ne pouvait laisser les photographes — ou n’importe qui d’autre — la voir perdre son sang-froid. Si elle devait parler de Madison avec Scarlett et Gaby, il était préférable de le faire dans les coulisses, derrière une porte de toilettes fermée, pas sur le tapis rouge, où chaque mot et chaque expression faciale sont remarqués, enregistrés et disséqués.

La quatrième fille de l’émission, Madison Parker, était la dernière personne que Jane voulait voir ce soir-là — ou jamais (même si, bien sûr, elle était là, quelque part, et qu’une rencontre était inévitable). Trois mois plus tôt, juste avant Noël, Madison avait secrètement fait circuler des photos de Jane en compagnie de Braden, le meilleur ami de Jesse, son amoureux d’alors. Quand l’histoire avait été dévoilée dans le magazine Gossip, Jane avait failli faire une dépression nerveuse, et Madison avait fait semblant d’être une bonne amie. Elle s’était portée à son secours et lui avait tendu la main pour l’aider à traverser cette épreuve douloureuse et humiliante. Madison avait même laissé Jane emménager dans son appartement-terrasse, après que Jane et Scar avaient eu une grosse dispute.
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Mais elle n'était pas du genre à passer Noël à Aspen. C'étaient ses parents qui avaient eu l'idée d'y louer un appartement cossu et de passer le temps des fêtes sur les pistes. M. et Mme Harp — réellement docteur et docteure Harp (il était chirurgien plastique, et elle était psychiatre) — ne croyaient pas aux traditions sentimentales comme décorer un arbre ou suspendre des bas au manteau de la cheminée. Chaque année, ils passaient les fêtes de fin d'année dans différents lieux de villégiatures. L'année dernière, ils étaient allés aux Bahamas. L'année précédente, à Paris. Et avant cela, à Hawaï.

C'était déjà bien assez que Scarlett ait à faire ses bagages pour un voyage auquel elle n'avait pas envie de participer. Le pire était qu'elle n'était pas seule. Il y avait des gens dans sa chambre qui l'observaient. Beaucoup de personnes, en fait. Un metteur en scène, deux caméramans, un technicien du son et un producteur.

Et Gaby, sa partenaire ennuyeuse, qui avait été placée là pour jouer le rôle d'amie de substitution pour Scarlett et lui tenir compagnie pendant qu'elle faisait sa valise. Traduction : Jane et Madison avaient disparu, et le spectacle n'était pas propice au tournage, aussi Trevor et l'autre productrice, Dana, organisaient des scènes qui étaient totalement factices. Et il arrivait la même chose pour Les plaisirs d'Hollywood, qui devaient pourtant être une émission de téléréalité. Scarlett ne se tiendrait jamais avec Gaby, à moins d'y être obligée. Et c'est ce qu'elle était à ce moment-là.

Assise sur le lit, Gaby essayait d'alimenter la conversation et de faire des commentaires sur les vêtements de Scarlett — en majorité des jeans et des t-shirts.
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aucun petit ami

— Par ici !

— Nous voulons une photo de vous deux ensemble !

— Un sourire, les filles !

Jane Roberts sentit des mains se poser sur ses épaules — son agente de publicité ? des assistants de PopTV ? — et lui faire prendre la pose, tandis que plusieurs paparazzis les interpellaient, Scarlett Harp et elle. Non loin de là, des douzaines d’admirateurs agitaient sauvagement les mains, hurlaient le nom des filles et prenaient des photos avec leurs téléphones cellulaires.

Scarlett inclina la tête vers Jane.

— Que vais-je bien pouvoir inventer pour ne pas me présenter au tapis rouge à ma propre première ?

— Ha ! Ha ! lança Jane en souriant. Je crois que tu vas avoir bien du mal à t’en sortir, Scar.

— Je leur donne cinq minutes, puis je vais à l’intérieur boire un verre. Quelque chose me dit que je vais en avoir besoin, ce soir.

— Bonne chance. Je crois que nous sommes coincées ici jusqu’à, disons, 19 h 30. De plus, la télévision en direct et l’alcool ne font pas bon ménage. Et je suis presque sûre que les deux verres que tu as bus pendant le souper devraient t’aider.

Scarlett roula les yeux.

— Peu importe.

Des éclairs de flashs se mirent à crépiter autour d’elles. Jane prit une profonde inspiration, figea un sourire sur son visage et essaya de ne pas paraître trop dépassée. Évidemment, les assistants de PopTV s’étaient assurés que les médias étaient venus en force pour le tapis rouge de la première représentation de la deuxième saison des Plaisirs d’Hollywood. Leur petite émission était devenue la plus regardée de la chaîne, et tout reposait sur le lancement du premier épisode. La soirée serait retransmise en direct sur PopTV, immédiatement suivie du premier épisode.Jane jeta un coup d’œil par-dessus son épaule vers la pelouse de la magnifique villa de style espagnol située sur Hollywood Hills. Des centaines de personnes assistaient à cet

Jane jeta un coup d’œil par-dessus son épaule vers la pelouse de la magnifique villa de style espagnol située sur Hollywood Hills. Des centaines de personnes assistaient à cet événement : des photographes, des admirateurs et divers types de l’industrie du divertissement. Sur une scène improvisée près de la piscine à débordement, la vedette pop Aja s’apprêtait à chanter. Des caméras de télévision étaient postées partout.

PopTV savait vraiment organiser une soirée !

— Scarlett, tournez-vous vers la gauche, cria un photographe.— Rapprochez-vous l’une de l’autre, ajouta un autre photographe.

Jane obéit, sans cesser de sourire. Après tout, pour elle comme pour les trois autres filles de l’émission Les plaisirs d’Hollywood, cette soirée était du domaine du travail, et non du divertissement (même si elle devait donner l’impression de s’amuser).

Mais Scarlett n’était pas aussi compréhensive.— Heureusement qu’ils sont là pour me dire comment je dois poser pour une photo. J’aurais été perdue sans eux, marmonna-t-elle.

Elle jeta un regard furieux à l’assistante de PopTV, qui venait vers elle pour retoucher son maquillage, mais qui préféra battre en retraite.

— Scar ! murmura Jane.

— Ouais, ouais, je sais. Je fais de mon mieux.
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Au début, elle était excitée et flattée par sa soudaine célébrité. Depuis, elle était une des jeunes femmes belles et séduisantes. Elle fréquentait les meilleurs clubs, et on lui donnait toujours la meilleure table. Les créateurs de mode lui envoyaient des vêtements et lui demandaient de les porter, et tout cela sans les acheter. Elle était invitée à une fête différente presque tous les soirs à Hollywood, où elle côtoyait les célébrités de la liste A, qu’elle était habituée de voir dans les magazines ou à la télévision.

Mais toute cette attention la plongeait également dans une grande confusion. Qu’avait-elle fait pour mériter cela ? Les caméras de l’émission Les plaisirs d’Hollywood se contentaient de la filmer dans toutes les situations de sa vie : en train de cuisiner, de faire la lessive, de sortir avec ses amis, de tenir son rôle d’esclave adjointe chez Fiona.Les choses de tous les jours. Comment cela pouvait-il lui conférer le statut de célébrité ?

Plus important, pourquoi était-elle devenue la cible des tabloïds ? C’était la raison pour laquelle elle était ici, à essayer de se détendre sur cette plage avec Madison. Cinq jours plus tôt — était-ce bien seulement cinq jours plus tôt ? —, le magazine Gossip avait publié un article révélant que Jane sortait avec Braden, le meilleur ami et colocataire de son amoureux, Jesse. L’histoire ne disait pas que Jane et Jesse s’étaient disputés. Les lecteurs ne savaient pas qu’il s’était comporté comme un goujat au club Goa et n’avaient pas connaissance de la fille avec qui il avait passé la soirée. Ils ne savaient pas à quel point Jane était vulnérable, quand Braden, qui était son ami avant qu’elle rencontre Jesse, s’était présenté, et ils ne savaient décidément rien de son attirance secrète de longue date envers lui. Tout ce qu’ils savaient, c’est que des photos circulaient où l’on voyait Jane et Braden, vêtus uniquement de leurs sous-vêtements, dans la chambre de Jane. Un photographe avait pris ces photos à travers la fenêtre — pourquoi, pourquoi avait-elle laissé les rideaux ouverts ? Et quel genre de malade prend des photos dans la chambre d’une fille ? On peut parler d’une atteinte à la vie privée… et cela venant de quelqu’un qui participe à une émission de téléréalité. Les photos s’étaient retrouvées sur Internet, et tout le monde avait pu les voir, y compris les parents de Jane… ses petites sœurs, Lacie et Nora… Trevor… Fiona… et bien sûr, Jesse.
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on ne sait jamais s’il y a un photographe dans les parages

Jane Roberts se redressa sur sa chaise longue blanche et fixa l’horizon entre le vaste océan bleu et le vaste ciel bleu. Elle entendait les cris lointains des mouettes et le rugissement des vagues qui s’enroulaient alors que la marée haute approchait. La brise, sèche et chaude pour décembre, faisait voler ses longs cheveux blonds ondulés. Elle tendit la main pour prendre son verre de margarita à la figue de Barbarie, qui était posé sur une petite table peinte à la main près d’elle, et en but une longue gorgée.

C’était un jour parfait sur une plage parfaite de Cabo San Lucas, au Mexique. Mais pas pour Jane, qui se sentait totalement affreuse.— Une autre margarita, ma chérie ?

Jane jeta un regard par-dessus son épaule et aperçut son amie Madison Parker venir vers elle. Malgré son humeur morose, Jane fut obligée de sourire. Madison était vêtue d’un bikini de couleur bronze qui couvrait à peine ses formes correspondant à une taille zéro, avec des sandales à talons compensés de 15 centimètres. Elle était parfaitement maquillée, y compris le rouge à lèvres d’un beau corail brillant. Mais c’était Madison.

Elle n’allait jamais quelque part, pas même à la plage, sans passer une heure et demie à se préparer.

— Non ça va, merci. Où est ton sac Gucci ? Et tes bijoux en or ? la taquina Jane.

Madison se glissa sur la chaise longue installée à côté de celle de Jane.

— Hé, quoi, une fille doit toujours se montrer sous son meilleur jour, non ? On ne sait jamais s’il y a un photographe dans les parages. Ou un beau garçon.

Elle abaissa ses grosses lunettes de soleil Dolce & Gabbana pour observer un sauveteur aux abdominaux impressionnants qui se trouvait non loin d’elles.

— Pas mal. Hum, je le réserve !

— Je te le laisse, déclara Jane.

Après la tragédie qu’elle avait vécue dernièrement, à la suite de sa relation avec un garçon, elle n’était vraiment pas intéressée. Elle était au Mexique pour fuir sa vie amoureuse désastreuse et le cirque médiatique, pas pour lorgner les garçons.
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— Bon, nous allons lire une liste d’expressions, déclara Dana, une des productrices de l’émission pilote. Tu dis la première chose qui te passe par la tête.

— D’accord, répondit Jane en se raidissant légèrement.

— Aventures d’une nuit.

— Euh… plutôt nul, répliqua Jane en se frottant le nez.

— Chaussures.

— Amour.
— Los Angeles.

— Vaste.

— Amitié.

— Qui dure longtemps.

— Amour.

— Rare.

Dana nota quelque chose dans son carnet.

— Et pour finir… Pourquoi es-tu venue vivre à Los Angeles ?

Jane réfléchit pendant un instant.

— Pour sortir de ma routine.

Dana la regarda d’un air perplexe.

— Depuis que je suis née, je mène une vie sécuritaire, monotone… confortable, expliqua Jane. Je suis venue à Los Angeles pour sortir de ma zone de confort.

Dana acquiesça d’un signe de tête presque imperceptible.
— Très bien. Nous avons terminé. Nous resterons en contact, d’accord ?

— C’est fini ? lança Jane, surprise.

— Tu peux partir. Tu t’en es bien sortie.
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ON-DIT

(UNE RUMEUR QUE VOUS DÉTESTEZ AIMER)

Les choses sont de plus en plus compliquées sur le plateau de l’émission Les plaisirs d’Hollywood : notre mademoiselle-tout-le-monde, Jane Roberts, a survécu à un scandale créé par un tabloïd et a réussi à revenir plus adorable que jamais. Mais la belle vie est terminée pour son ex-meilleure amie Madison, dont les complots manipulateurs ont été démasqués. Pendant ce temps, Scarlett, cette beauté à la langue bien affûtée, alimente le moulin à rumeurs concernant l’existence d’un amoureux secret…

Qui sait quels drames nous concocteront ces deux délicieuses vedettes au cours de la deuxième saison, bientôt en ondes !
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