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Citations de Lauren Elkin (17)


Je suis allée à Venise car je voulais vivre comme je l’entendais. J’y suis allée car Venise sombrait, comme moi, et que sombrer dans une ville comme New York, où tout le monde ne pense qu’à s’élever, m’était devenu insupportable.
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L'amour doit être assez grand pour laisser de la place à la liberté.
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Au début de notre liaison, j'ai pensé que la liberté était l'antithèse de la morale. C'était faux. La liberté est un moyen de navigation dans le système moral. Etre libre, c'est accepter le poids du jugement sur l'itinéraire que vous choisissez et la qualité du voyage que vous effectuez.
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On dit souvent que l'ennui avec les voyages, c'est que, quelle que soit la destination, on reste en compagnie de soi-même.
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Au cours des mois passés, mon chez-moi avait cessé d'être un lieu géographique.
C'était devenu quelqu'un.
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Personne ne peut être là pour vous en permanence.Est-ce pour cela qu'on a inventé Dieu ? Pour qu'il y ait toujours quelqu'un en qui croire ? Dieu ne peut pas vous laisser tomber car son soutien est imperceptible. SI vous supposez qu'il est là, il l'est. Si vous en doutez, ça ne change rien. Dieu ne peut pas vous abandonner.
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A Venise, la frontière entre terre et mer est perméable, l'une ne cesse de se perdre dans l'autre.
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Mais Venise n'est pas une ville qu'on peut approcher plan à la main, itinéraire en tête. C'est le meilleur moyen de se perdre et d'être en retard avant même de partir.
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Ne s invente pas écrivain, un(e) journaliste :
galimatias égocentrique mièvre, loin de toute perfidie mais ne relève d'aucun exercice de style; une errance journalistique qui se veut perfectionniste par son énumération stérile et une action énamourée perfectible et délétère. NON !
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La nuit, une lumière étrange nimbe les demeures en surplomb des canaux - un jaune inquiétant, comme si un soleil brillait dans le noir, tranchant avec l'obscurité fuligineuse qui règne sous les balcons et les arcades. Et partout le clapotis des canaux, le murmure de l'eau sous les ponts ou dans quelque gouttière.
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A mesure que je m’ouvrais aux questions relatives à la ville, j’étais également sensibilisée à tout ce qui touchait à la littérature, la politique, l’histoire des femmes, comme si l’apprentissage dans un domaine allait nécessairement de pair avec des découvertes dans l’autre. Je lisais tout, de Simone de Beauvoir à Susan Brownmiller. Prendre conscience de cette histoire parallèle m’a donné un horizon vers lequel aller. Et j’ai commencé à chercher les indices s’y rapportant, disséminés dans le monde entier.
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Je marche parce que, d'une certaine manière, marcher c'est comme lire. On est là, présent, mais sans y être vraiment.
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Parfois, il m'arrive de marcher parce que j'ai l'esprit occupé et que cela m'aide à y voir clair.
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Marcher m'aide à me sentir chez moi.
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« Quand ils contemplent leur cité, les Parisiens ecrivent plus volontiers sur ce qui a disparu que sur ce qui est encore visible. «  le vieux Paris n’est plus( la forme d’une ville change plus vite, hélas ! Que le cœur d’un mortel «  Écrit Baudelaire. «  hélas, le vieux Paris disparaît avec une effrayante rapidité » soupire Baudelaire »
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!
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Plaisant à lire... heureuse que le livre ne tourne pas qu'autour de la relation entre l'Américaine et l'Italien. Offre une jolie découverte de Venise.
Je n'ai mis que 3 étoiles parce que la fin m'a un peu déçue. Quand j'ai fermé le livre, j'ai pensé "c'est tout?"
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Ils ont écrit sur des écrivains....

Ronsard a écrit trois volumes de vers pour trois femmes différentes. La première et la dernière, Cassandre et Hélène, ne l’approchèrent point ; l’une parce qu’elle était trop belle et l’autre parce qu’elle était hideuse. C’est du moins ce qu’en disent ceux qui les ont connues ; mais Ronsard, ne voulait rien d’elles que leurs noms à mettre en sonnets, fit Cassandre plus belle encore que Cassandre, et daigna donner à Hélène tout ce que Dieu lui avait refusé. Aussi nous les voyons toutes deux incomparables.

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