Peu importe que cette histoire soit vraie. Pouce manipule les images : il sait que l’essentiel n’est pas que les histoires soient véridiques. Il comprend, avec cette impression d’un courant d’air qui balaie une pièce, qu’en perdant ces histoires sur nous-mêmes, auxquelles nous croyons, c’est aussi nous-mêmes que nous perdons.