Tu m’as redonné l’espérance, ma chère sœur Isabel. Non pas l’Espérance en Dieu, qui jamais ne me quitte. Mais l’espérance en l’homme, au cœur de l’homme si prompt à s’obscurcir, au chemin de l’homme si facile à gauchir, à la passion de l’homme si aisément détournée de l’amour.