Laurent Gounelle

- Tu es ce que tu manges. Or, que manges-tu ?
Elle désigna l'environnement d'un geste ample.
- Tout ce que tu absorbes vient de la nature. C'est pourquoi la nature est en toi, ce sont ses atomes qui te constituent. C'est pour ça que nous sommes liés, indissociables. C'est pour ça que l'esprit de la nature est en toi.
Elle soutint son regard.
- En t'éloignant de la nature, tu t'éloignes de ta nature...

... en politique, (...) sont élus ceux qui disent aux gens les conneries qu'ils ont envie d'entendre. Plus c'est stupide, plus ça marche.

Pour moi, une nouvelle vie commençait, et, dorénavant, ce serait MA vie, fruit de mes décisions, de mes choix, de ma volonté. Adieu les doutes, les hésitations, les peurs d'être jugé, de ne pas être capable, de ne pas être aimé. Je vivrai chaque instant en conscience, en accord avec moi-même et avec mes valeurs. Je resterai altruiste, mais en gardant à l'esprit que le premier cadeau a faire aux autres est mon équilibre. J'accepterais les difficultés comme des épreuves a passer, des cadeaux qui m'offre la vie pour apprendre ce que je dois apprendre afin d'évoluer. Je ne serais plus victime des événements mais acteur d'un jeu dont les règles se découvrent au fur et à mesure.

Personnellement, j'avais plus l'habitude de remarquer chaque jour tout ce qui n'allait pas dans ma vie, que de penser à ce que je voudrais vraiment qu'elle soit...

Le monde est la résultante de nos actes individuels. Se changer soi-même est la seule voie vers un monde meilleur. Un monde meilleur où il fait bon vivre.

"Les vraies victoires sont celles que l'on remporte sur soi."

Le chemin qui mène au bonheur demande parfois de renoncer à la facilité, pour suivre les exigences de sa volonté au plus profond de soi.

Les êtres humains sont très attachés à tout ce qu'ils croient. Ils ne cherchent pas la vérité, ils veulent seulement une certaine forme d'équilibre, et ils arrivent à se bâtir un monde à peu près cohérent sur la base de leur croyance.

Face à des reproches indus, il ne faut surtout pas se justifier, sinon vous entrez dans le jeu de celui qui vous critique.

Comme le disait Oscar Wilde , les folies sont les seules choses qu'on regrette jamais !

Ce qui n'est pas ordinaire, en revanche, c'est l'expérience que je viens de vivre, une expérience propre à interpeller tous ceux qui,comme moi jusque-là, croient avoir une existence banale voire insignifiante, et les amener à découvrir qu'en réalité, le monde cache des choses qu'on est loin de soupçonner, des choses qui peuvent émerger de notre quotidien comme autrefois une image apparaissait miraculeusement sur le papier que les photographes plongeaient dans leurs bains d'argent, des choses qui font alors voir la vie telle qu'elle est réellement : extraordinaire

"Vivre sans illusions, c'est vivre sans personnalité."

Nous sentons bien en nous la voix d'un autre monde, mais nous ignorons quel est ce monde, disait Ernest Renan. Alice était convaincue que l'expérimenter était le meilleur moyen de l'apprivoiser.

Les mauvaises nouvelles, les problèmes, les dangers accaparent toute notre attention car ils stimulent notre instinct de survie. C'est plus fort que nous, c'est quasi physiologique.

Le mot d'origine, utilisé par Jésus était khtahayn.
Il signifie plutôt "erreur" dans le sens où ce que l'on fait ne correspond pas à l'objectif.
De même, quand Jésus parlait de ce qui est mal, il utilisait le mot bisha, qui veut dire "inadéquat".
Bref, commettre des péchés n'est pas vraiment faire le mal, mais plutôt se tromper et s'éloigner de l'objectif.

En réalisant votre projet, puisqu'il vous tient à coeur, vous ne rejoindrez pas une catégorie de gens, vous serez juste vous-même, exprimant vos talents, en accord avec vos valeurs.

Tu es ce que tu manges … Or, que manges-tu ?

- Souviens-toi aussi de ton serment : ne jamais dire de mal de personne, critiquer, ni colporter de paroles négatives.

Il va falloir que tu acceptes de ne pas forcément correspondre à ce qu'attendent les gens, ne pas toujours te conformer à leurs critères, leurs valeurs, mais oser afficher ta différence, parfois même quand elle dérange.

Je passai près d’une heure à écrire, et c’est assez mélancolique que je regardai ensuite la nuit tomber sur la mer. J’avais, comme tout le monde, vécu des instants de bonheur, mais j’avais le sentiment que je n’étais pas fait pour vivre pleinement heureux. Le bonheur était peut-être réservé à certaines personnes, à quelques élus dont je n’étais pas.