Lorsqu’elle dégrafe son jupon, suffisamment pour qu’apparaisse sa toison, il regarde à droite et à gauche, paniqué. S’ils se faisaient prendre sur le fait par des passants ou, pire, par des policiers ? S’ils se faisaient emprisonner pour attentat à la pudeur et outrage aux bonnes mœurs ? Il a suffisamment de connaissances, il lit assez les journaux pour savoir qu’en cette sombre période d’ordre moral et de bigoterie, on ne plaisante pas avec la libre expression des esprits et des corps.