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Critiques de Laurent Ruquier (47)
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Je ne vais pas me gêner

Le livre reprend les meilleurs jeux de mots, propos et aphorismes de la rubrique et émission radio tenue par l'animateur de Janvier 1999 à Janvier2000. C'est ainsi l'occasion de se replonger dans l'actualité de ces années-là avec entre autres : le scandale de l'ESB (vache folle), le Pacs et la loi sur la parité, les déboires judiciaires des époux Tibéri, l'affaire Elf, la guerre de succession ouverte au RPR.

Vraiment de la bonne matière première pour Laurent Ruquier qui se donne à coeur joie de commenter cette actualité avec son savoir-faire.
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Radiographie

Laurent Ruquier raconte en deux parties son enfance et son parcours professionnel. Né dans une famille modeste et peu aimante, il n'était pas socialement doté pour réaliser une carrière médiatique.

Comme le dit "laurabazin", la première partie, présentant son enfance, est touchante alors que la deuxième partie, correspondant à son périple écriture, radio, télé, théâtre, est un peu moins universelle.



Bien écrit et truffé de bons mots, son autobiographie dévoile un homme plus réservé qu'on ne le croit. Un style alerte rend la lecture agréable.

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On préfère encore en rire

Il a la dent dure Ruquier en usant de l'humour vache à l'égard de ses contemporains de 2012.



Il nous rappelle des histoires pas si anciennes que ça quand Hollande était Président, on n'avait pas de problème de sécheresse alors ! A son propos, le jour de son premier anniversaire à l’Elysée, la pluie s'est invitée et Ruquier de dire : " Il a plu, il plaît beaucoup moins, mais il pleut encore".



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Gueules d'euro

le franc est mort, vive l, euro depuis plus

d'un siècle, nous avions sur nos billets

les visages de Debussy, saint Exupéry,

Cézanne, Eiffel, marie curie, monument

du génie français. sur nos nouveaux billets made in Bruxelles, il n'y a que des

ponts, alors Laurent Ruquier chromiqueur et Gérard eleouet dessinateur ont imaginés des billets avec

avec des chanteurs, des animateurs,

croqués avec humour, et ont ceux demande si on aurait aimé avoir des billets de

cent euro estampillés Johnny Hallyday ou

Coluche. sur qu, on les aurais garder dans nos portefeuilles et bas de laine.

👍
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Vu à la radio

Ce livre a rejoint les autres recueils de chroniques du petit coin : Bedos, Carlier...



Ce Ruquier de début de carrière peut intéresser celui qui veut mesurer la réussite actuelle de son humour. Les sujets des blagounettes sont obsolètes. On se plait à voir les avis de l'époque sur les personnalités (2000).



Tous les traits d'humour sont écrits au lieu de les déclencher comme des saillies d'animateur des Grosses Têtes. Dans ce livre, elles deviennent plus lourdes comme si le gamin s'amusait de ses propres blagues.

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Le plus drôle des Français

L'intelligence.

Je ne sais pas si Coluche était le plus drôle des français, chose que je ne contesterai pas du moins, mais pour moi pourvu d'une intelligence rare. Rendez-vous compte d'un de ses points d'orgue par exemple, estimé à 14% dans les sondages pour une présidentielle. Qui a fait mieux, peut-être Zelenski, je le concède !..



Je ne suis pas dans le culte idolâtre coluchien, et pourtant force est de reconnaître qu'il m'a bien fait rire : il n'était pas comme les autres et avait inventé son style car je ne vois pas de qui il avait pu s'inspirer, ses blagues à deux balles faisaient mouche. Je n'adhère pas forcément à tout ce qu'on peut dire sur lui, alors j'ai ma version.



J'étais bambino quand il m'estomaqua pour la première fois : il apparaissait dans une émission de Danièle Gilbert et il ne disait qu'un mot : c'est rigolo, c'est rigolo !.. Je pense même que c'est là qu'il est né médiatiquement. Malgré tout il a marqué son époque et figure dans les anthologies idoines, alors que la plupart d'aujourd'hui ne font même plus rire, c'est un comble pour un comique ! N'est-ce-pas l'intelligence suprême de se faire remarquer sur un seul mot, bon bien sûr il faut ajouter la bobine singulière du personnage ..

Je fus carrément adepte de son album : C'est l'histoire d'un mec..

Il a fait ensuite quelques films tristes, ou désopilants où son talent émergeait clairement; Son comique de scène équivalait à ses talents de comédien ou l'inverse ..Et puis la roue tourne, quand lui il a fait la sienne, moi j'ai fait la mienne (de vie). Et comme j'ai des accointances avec les Antilles et notamment la Guadeloupe, c'est en fait mon propos ici.



J'ai eu l'occasion de visiter il y a deux mois sa maison de la côte sous le vent en Basse Terre de Guadeloupe. Peut-être l'endroit le plus pittoresque de l'île où Christophe Collomb fixa ses pénates plutôt que la Martinique qu'il avait découverte avant, mais vu la présence de serpents vénimeux exécrables, il préféra jeter son dévolu sur l'île aux belles eaux..Karukéra à quelques Ceaser de portée !.. Chut il ne faut pas répéter ce fragment, un ou des malhonnêtes seraient capables de nous introduire une saloperie pour le plaisir de nuire, comme l'Angleterre d'aujourd'hui j'ai l'impression, ou bien un chinois mal embarqué qui nous souillerait de ça dans ses bagages : la chtouille des temps modernes dans le sillage de la covid ..



Sa maison toute en bois en coloniale, perchée sur un morne boisé entre la mer Caraïbe, s'il vous plaît, et le réservoir tropical de la Guadeloupe au relief saisisssant , où les chutes d'eau se disputent de beauté indépassable .. Si j'ai bien compris, dans cet endroit de rêve dont s'est emparé Coluche avec ses riches appointements d'amuseur public, il devait y avoir une plantation par là, où un colon n'avait pas lésiné sur l'import des meilleures arômes et autres flores du monde entier pour grâce à un climat propice y fructifier un lieu que notre propre imaginaire ne saurait même concevoir.. Donc Coluche y a trouvé en lieu et place un paysage presque clef en main, car je ne pense pas qu'il ait eu la volonté de Chateaubriand de se confectionner un immense jardin en regardant même ses arbres pousser.. Mais bon, ça reste à vérifier ce à quoi je m'avance !..



La maison de Coluche est aujoud'hui sous l'administration d'un parc botanique remarquable et est vouée à la location. Elle semble échapper aux post-coloniaux un peu indépendantistes sur les bords qui voudraient régenter l'île, mais on voit bien où ça mène : l'impasse. Tout ce qui faisait le charme de cette île qui avait ses laboratoires à champions .. est aujourd'hui exposée au versant de la chute, autre chute prosaïque bien sûr. On n'arrête pas de décommander, et le visiteur incrédule est bon pour faire demi-tour la tête basse ; pour les autochtones, c'est une autre histoire, on a le sentiment qu'ils glissent sur tout; leurs manifestations ne sont que réflexes de survie !..Ils préfèrent une liberté pauvre à un asservissement à la métropole qui ne les prend pas au sérieux, et il faut bien avouer qu'on se moque d'eux : ils votent Marine le Pen par esprit de dérision ..L'analyse est complexe, si j'ai compris quelque chose, paradoxalement, c'est la sincérité du guadeloupéen qu'on dirait ici en métropole son irascibilité, sa susceptibilité .. On en reparlera dans les prochaines années, j'en fais le pari.; si on continue tel qu'on est partis ! ..



Alors la belle case créole de Coluche et son jardin d'Eden là dedans ? Comme je n'avais pas bien suivi la mésaventure du comique, je l'exerce aujourd'hui rétrospectivement. Comment se fait-il que celui qui a choisi de tourner le dos aux zones huppées et autres stations balnéaires de l'ïle qui sont à une portée de Céasar et qui a choisi de vivre un peu à la sauvage, sans arrière-pensée aucune, plutôt près de l'habitant comme on dit, s'est littéralement ramassé là-bas ?? Il y fut presque lynché ! l'homme qui a inventé les Restos du coeur, quoiqu'on en pense ? Y-at-il eu un trou dans la raquette ? son intelligence fût-elle mise à mal ?



Wikipédia ne mentionne à ce propos que l'incidence sur Patrick Deweare qui se suicide à la carabine offerte par Coluche son meilleur ami prétendûment qui a eu le tort de lui confisquer sa femme qui l'a suivi en Guadeloupe dans son errance. Bon, il y avait anguille sous roche et à mon sens, c'est très mal formulé !



En fait Coluche n'y venait qu'en fêtard

Dans son paradis de sept hectares

De beauté luxuriante

Que des mines éthérées, souriantes

Aguichant ses potes Renaud, Dewaere

Et femmes s'extrayant de la galère.



Après le suicice de son ami Dewaere, Coluche qui projetait pareille maison à côté de la sienne pour ses grands "amis", est anéanti, son paradis devient un enfer, il en vient à détester cet endroit, les gens locaux, et ne sera plus remarqué qu'à de rares occasions. La maison de Coluche sera incendiée plusieurs fois, Hugo passera par là, et un incendie fatal arriva, il ne restera que des cendres. Et aujourd'hui la maison refaite en lieu et place n'est pas la maison de Coluche..



Les relations entre la population locale et Coluche furent donc distendues, pour devenir détestables. Il n'y a pas eu d'incompréhension totale, il y a simplement eu une incompatibité. C'était bien méconnaître l'Histoire de la Guadeloupe .. Finie l'intelligence, revers de la médaille pour le comique.. Exit comme une sortie de l'aéroport du Raizet !..

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L'avant-scène théâtre : A droite à gauche

On peut être riche et de gauche. On peut être ouvrier et de droite. On peut avoir beaucoup de bien et être contre l'héritage. On peut être de droite et épouser une musulmane. On peut aimer Joséphine Ange Gardien et apprécié le Vosne-Romanée 1er cru. On peut être de gauche et soutenir les policiers et gendarmes.

On dit que Ruquier se joue des clichés ici. Peut-être. Mais moi j'ai eu l'impression de retrouver nombre de conversations auxquelles j'ai pu participer. Et cela m'a bien fait sourire (malgré quelques longueurs peut-être).

Politique et humour peuvent faire bon ménage, la preuve.
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Radiographie

Je me suis dirigée vers ce livre pour une seule raison : me mettre sous la dent un petit format à lire dans l'attente d'un livre commandé chez mon libraire préféré. C'était compter sans la plume experte de notre ami Ruquier ! Je me suis laissée complètement emporter et séduire par son récit.

Le moins qu'on puisse dire c'est que Laurent Ruquier a ce métier dans le sang. Il faut je pense être de sa génération ou d'une génération voisine pour apprécier pleinement l'impact de cet univers radiophonique qui le berce depuis l'enfance.

La scène du petit déjeuner entre son père et lui, les deux radios qui déversent leurs programmes (Europe 1 et RTL à l'unisson dans une cacophonie que ni l'un ni l'autre ne vient rompre, même pas l'autorité paternelle) est d'anthologie. Chacun l'oreille collée au poste, à SON poste.



On suit son parcours, sans se dire que tout était tracé mais en mesurant la détermination d'un homme qui s'accroche à ses rêves et qui y croit, malgré tout ce qu'aurait pu être sa vie, contre tout ce qu'elle aurait dû être.

Bosser avec lui doit être à la fois fantastique et horrible ! Comme tous les passionnés, il ne souffre pas l'à peu près. Mais sous l'exigence et la gouaille qui le caractérisent, on sent un homme juste, qui sait d'où il vient, où il est et qui regarde son arrivée à RTL comme un "retour aux sources"...



C'est pas le tout, mais je vous laisse : Je vais jeter une oreille sur le replay...

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Avant que t'oublies tout !

j'aime beaucoup écouter Ruquier et sa bande tous les jours à la radio. J'ai donc eu envie de lire ce livre pour connaître mieux cette "vieille dame indigne mais si attachante" qu'est C Sarraute. Et là, grosse déception : si ce livre d'entretien se lit facilement et rapidement, on y découvre la vie d'une femme née avec une cuillère d'argent dans la bouche, qui se vante d'avoir à peine élever ses enfants ,de n'avoir jamais laver la vaisselle, de n'avoir jamais passer l'aspirateur. Par contre elle prône fièrement la liberté sexuelle et l'alcoolisme mondain chez les soit disant intellectuels parisiens qui font malheureusement parfois la pluie et le beau temps. Un mot : vanité. Seul les passages "people" sauvent ce livre.
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Radiographie

Ce livre m'a été prêté par ma mère car nous partageons toutes deux une sorte de sympathie naturelle pour Laurent Ruquier. Son intelligence, son humanité et sa verve (et, il faut bien l'avouer, son homosexualité assumée) nous le rendent plutôt agréable.



Ce livre est à son image : humble mais réaliste, c'est un récit éclairant sur la passion (l'amour) de son auteur pour la radio. Certes, on y apprend beaucoup sur ses motivations, sa jeunesse, ses amitiés, ses rencontres, mais il s'agit essentiellement pour lui de raconter son parcours radiophonique et ce qui, dans cette enfance et ces rencontres, lui a permis d'être à l'antenne aujourd'hui.



Pour quelqu'un comme moi, qui écoute très rarement la radio, la lecture de ce roman sera agréable mais sans plus. Si Laurent Ruquier sait transmettre son plaisir à son lecteur, les références récurrentes à des émissions ou des vedettes de la radio m'ont perdue plus d'une fois.



Un livre intéressant qui trouvera pleinement sens entre les mains d'auditeurs de la même génération que Ruquier, ou qui s'intéressent de près au monde de la radio.
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Radiographie

Une biographie écrite avec simplicité et pudeur.



On prend en sympathie Laurent, le petit havrais, jovial et passionné par les media de l’époque : trois chaînes télévisées et quatre stations radio. C’est attachant et charmant.



Tout se gâte quand Laurent monte à Paris. De fil en aiguille, il enchaîne avec succès les représentations et la radio.



Plus Laurent progresse dans sa carrière, moins il semble avoir à partager avec son lecteur autre chose que des référence, des noms, et des dates qui s’entremêlent froidement.



Non décidément, j’aurais dû m’arrêter à la page 117.

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Finement con

😄 Finement con - Laurent Ruquier 😄



Laurent Ruquier est un animateur que j'aime beaucoup que ce soit dans ses émissions TV ou dans Les Grosses têtes. Je le trouve drôle, percutant et cultivé, aussi lorsque j'ai vu son livre dans la masse critique de Babelio, je me suis dit : pourquoi ne pas le lire maintenant?



J'ai apprécié ma lecture, j'ai ri, parfois je l'avoue un peu honteusement (c'est pas très gentil des fois alors on rit sans assumer lol) mais je me suis aussi rendu compte de la rapidité de "l'actualité". En effet, certains bons mots du début du livre notamment, m'ont laissée perplexe, je ne me souvenais plus de l'affaire dont il était question, pourtant 2020 ce n'est pas si loin... mais les histoires qui font grand tapage passent et laissent leurs places à d'autres tout aussi bruyantes qui finalement tomberont elles aussi dans l'oubli... Ainsi je me suis replongée dans les affaires chaudes de l'année passée comme celle de Griveaux (vous vous en souveniez vous de ce scandale sexuel?), dans la course à la mairie de Paris ou encore dans les débuts de la pandémie. Un retour sur le passé sur le ton de l'humour, avec de bons mots, parfois de l'humour noir, parfois de l'humour gras, parfois de l'absurde et du "tiré par les cheveux" bref chacun y trouvera forcément son compte.

Pour vous donner un petit aperçu je vous mets quelques exemples de ce que vous pourrez trouver dans ce livre 😊







"À l'enterrement de Michou, plusieurs personnes se sont évanouies en voyant Orlando bouger."



"Anne Hidalgo a décidé de célébrer à sa façon le nouvel An chinois : ce sera l'année du rat tous les jours dans la capitale."



"Des scientifiques viennent de découvrir que le génome du coronavirus muterait moins vite que les opinions de Ségolène Royal."



"Campagne de vaccination en France. Le ministère de la santé a tranché. Afin de respecter la distanciation, c'est la Fédération française de fléchette qui sera en charge de la campagne de vaccination."



Si vous avez envie de revenir sur l'année écoulée sans l'angoisse qu'elle a engendré ou simplement de rire en picorant chaque jour quelques bons mots de Mr Ruquier ce recueil est parfait 😊.
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Radiographie

Laurent Ruquier est un personnage beaucoup trop médiatique pour qu'une autobiographie - assez brève, du reste ; l'auteur n'a qu'une petite cinquantaine d'années - présente un réel intérêt. Un auditeur ou téléspectateur attentif, un peu curieux, peut-être admirateur sur les bords, sait déjà tout ce que renferme cette "radiographie", tout de même sympathique à lire. On y découvre quelques anecdotes d'enfance, de jolies rencontres avec les plus éminents représentants de leurs catégories (radio, télé, ciné) à une époque donnée et, une fois n'est pas Ruquier, de petits jeux de mots désuets dont l'auteur se fait un régal quotidien. Pour les inconditionnels.
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Radiographie

Ce type d'ouvrage n'est pas forcément du grand déballage et on est quand même bien loin de la presse people et de ses raccourcis. Quand en plus, c'est la "vedette" qui prend vraiment la plume, c'est encore mieux. On est alors sur de l'authentique autant que possible même si certains détails sont passés sous silence. On n'a d'ailleurs pas forcément besoin de les connaître. On évite ainsi la curiosité malsaine. Et même si cela peut être important, un livre suivant pourra en être l'objet dans le futur (dixit Ruquier lui-même).



Laurent Ruquier n'est pas issu d'une famille avec pignon sur rue. Il s'est fait lui-même, avec un peu de chance, mais surtout beaucoup de travail. Et on le sait, la chance, ça se provoque aussi pour une grande part.



Dans ce titre qui porte bien le sien justement, il nous propose de voir ou revoir son parcours personnel qui l'a conduit vers son parcours professionnel.

On se rend vite compte comme lui-même que les deux sont imbriqués depuis si longtemps que c'est une issue logique.



L'écriture est telle que lors de ma lecture, c'est la voix de Laurent Ruquier que j'ai entendu pour me raconter cette destinée. C'est tout lui, du moins ce que j'en connaissais.

Pas de faux semblants, juste un retour sur le passé avec ses moments d'ennuis, de "loose" totale et puis ces autres moments quasi magiques.

Un parcours immense, mais que je trouve mérité d'autant plus que Laurent Ruquier ne semble pas oublier d'où il vient...
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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On va s'gêner ! Le plus drôle des 15 ans

Voilà, même pas un petit weekend pour le terminer, et encore, j'ai fait de longues et nombreuses pauses dans ma lecture.

Un livre recueillant une sélection des meilleurs moments de l'émission d'Europe 1 "On va s'gêner". Lorsque l'on suit l'émission quotidiennement, on retrouve des répliques plus ou moins récentes. Tout dépend à partir de quand l'écoute a commencé. Certaines font toujours mouches et déclenche le rire même si la voix des chroniqueurs ne s'entend plus. D'autres perdent de leur force hors contexte, l'écrit n'étant pas suffisant. Parfois, rien de mieux que d'entendre des paroles de la bouche de celui qui les prononcent !



S'ajoute à tout cela des portraits de l'ensemble des chroniqueurs, de la main même de Laurent Ruquier. Le plus souvent, on retrouve ce que l'on sait déjà, on apprend peu de choses, peu d'anecdotes. Chacun à sa petite éloge et on sourit à l'évocation de tel ou tel élément renvoyant à la personnalité du chroniqueur en question.



Le tout est vraiment très bien construit. On sent que cette compilation n'a pas été réalisé au hasard, en plaçant les répliques n'importe comment. Il y a une structure s'élaborant notamment autour des portrait qui deviennent un peu les piliers porteurs du livre.



En somme, un livre sympathique pour découvrir des jeux de mots, des blagues, des piques que l'on ne connaissait pas, pour redécouvrir sous un jour différent celles que l'on avait entendu mais il y avait déjà les podcasts pour cela.

C'est un livre pour marqué le coup des 15 ans de l'émission, qui aurait pu être un peu plus conséquent avec peut-être plus que la participation unique de Laurent Ruquier.
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Finement con

Toujours plaisant de voir Ruquier, d’entendre Ruquier de lire Ruquier ; mais il faut aimer Ruquier. Sans cautionner son politiquement correct j’aime ses créations : émissions, vannes à deux balles, mais pas son théâtre. Je parle de ses pièces pas de son investissement dans le théâtre Antoine, car il est très louable, quand on a de l’argent que l’on a gagné avec mérite de le dépenser pour sa danseuse. Je me sens un peu coupable car, quand il débutait avec Jacques Martin, je le trouvais particulièrement nul. Mea culpa Laurent. Et bravo pour le combat « Je ne pense pas tout ce que je ris. »

Bon je m’égare. Ce finement con m’a distrait et c’est un compliment. Covid et têtes de turc (Castex, Veran, Delfraissy, Riester…) Ça ne vole pas haut mais j’aime ça. Le titre résume parfaitement le contenu.

J’ai gardé sous le coude quelques perles qui m’ont plu.

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Finement con

Tout d'abord merci à Masse Critique pour ce roman !

Si vous aimez les Grosses têtes et surtout si vous aimez la partie "Fake news", alors ce livre est pour vous.

Il s'agit d'un recueil des fakes news des deux années passées, c'est-à-dire un peu la spécialité de Laurent Ruquier, utiliser l'humour avec de l'actualité mais ici à travers de fausses informations.

A travers ses blagues, Laurent Ruquier nous fait passer des messages de ce qu'il pense et notamment de cette dernière année, le confinement et la façon dont le gouvernement a géré cette crise.

Ce livre donne le sourire et fait rire, même si j'avoue que je préfère les entendre que les lire (du coup j'ai souvent lu les fake news à voix haute, ce que je ne fais jamais en temps normal).

Ce livre est aussi un rappel de l'actualité finalement des deux dernières années et ça ne fait pas de mal !!

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On préfère encore en rire

Livre à l'agrafeuse ... et qui se répète en plus.
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Avant que t'oublies tout !

Au départ, je ne suis pas fan de ces témoignages de personnes connues. Je ne me dirige pas spontanément vers ce type d'ouvrages. Il faut néanmoins que je le reconnaisse : j'ai lu ce dialogue entre Claude Sarraute et Laurent Ruquier avec délectation et en une seule traite. Un peu comme un magazine Closer ou Gala effeuillé négligemment chez le coiffeur et pour lequel on affirme haut et fort que, jamais ô grand jamais, on ne lirait cette "littérature" ailleurs qu'en séance de brushing. Moi , j'avais une bonne excuse pour le lire : une critique à rédiger



Il faut être honnête; le style est énergique et vif, à l'image de Laurent Ruquier et cela procure au dialogue une vraie fluidité.

Et puis, les ingrédients sont là : des indiscrétions sur le monde des média, des révélations sur la vie privée de Claude Sarraute....

Enfin, cerise sur le gâteau, des éléments sur Nathalie Sarraute , son oeuvre, sa vie et sur les rapports mère /fille. Il est vrai que des personnalités aussi dissemblables ont de quoi étonner. Pourtant, à sa façon, grâce au milieu dans lequel elle a évolué et à sa vie sentimentale, Claude a aussi réussi sa vie. En tout cas, elle ne s'est pas ennuyée. Ce dialogue n'a que la valeur que l'on accorde à une expérience de vie mais il nous met en contact avec un certain milieu parisien qui peut en intérésser plus d'un.



A lire dans une salle d'attente , dans l'avion ou dès que l'on a deux heures à tuer. C'est agréable, les littéraires y trouveront des informations sur Nathalie Sarraute, les Rastignac des infos sur la manière de réussir à Paris dans la sphère politico-médiatique (Ah, les dîners en ville...) et les autres un agréable moment léger comme une bulle de champagne.
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Ravi de vous recevoir...

Retour quelques années en arrière sur les années "rien à cirer" de Laurent Ruquier.

J'ai été curieuse de relire les descriptions des diverses personnalités de cette époque, des descriptions qui paraissent parfois obsolètes mais rappellent aussi des souvenirs.

On y rencontre aussi certaines personnalités désormais décédées ou encore que j'avais oubliées.

On reconnaît l'humour de Laurent Ruquier.

Le seul inconvénient de ce genre de livre, c'est qu'il vaut mieux écouter ces descriptions que de les lire, car on y perd un peu de sa substance.
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