Le Figaro

Avant l'arrivée des Européens, des centaines de tribus indiennes vivaient sur le continent nord-américain. Tout le monde sait comment cela s'est terminé… un génocide de 14 millions d'âmes. Mais ce dossier se penche sur une période précise, celle des guerres indiennes qui se sont déroulées entre 1783 et 1890.



Une mise en contexte est présentée par André Kaspi (à partir du 17e siècle).



Un article de Farid Ameur est consacré à la bataille de Little Big Horn (1876). Les troupes du général Custer y seront massacrées par les Indiens (avec à leur tête le célèbre Sitting Bull).



Des réponses sont apportées à de nombreuses questions : Comment la population indienne est-elle organisée ?Les Indiens sont-ils pacifiques? Comment expliquer la longueur des guerres indiennes ?



Ameur estime à 30,000 le nombre d'Indiens morts au cours des guerres livrées par le gouvernement américain (entre 1783 et 1890 donc), un chiffre étonnant. La majorité des Indiens auraient été décimés avant ?



Olivier Delavault dresse quant à lui un portrait de Géronimo l'homme qui a « fait trembler les Américains durant trente-cinq ans ».



Le dossier est richement illustré (il y a de nombreuses cartes), il y a un dictionnaire des personnages les plus emblématiques des deux camps. le tout complété par une filmographie critique, une bibliographie commentée et une frise chronologique de la période.



Je pense lire plus tard la biographie de Sitting Bull de Farid Ameur.



Dans l'ensemble une lecture intéressante qui m'a appris plein de choses comme le fait que Davy Crockett soit mort à Fort Alamo. Et non je n'ai pas (encore) vu le film avec John Wayne…









Challenge livre historique 2020

Ce livre est un véritable régal !!! Il fait découvrir le cinéma français depuis Marcel Pagnol, Alexander Korda,Raimu, Paul Dullac et Fernand Charpin jusqu'à Emmanuel Mouret et Cécile de France. A recommander à tout les amoureux de la langues françaises , du cinéma et de l'Art en général ... A noter qu'il y a un petit historique de chaque films...

A l'occasion des quatre cent ans de la naissance de Jean de La Fontaine, Le Figaro édite une version actualisée d'un hors-série paru en 2018.



1621-2021, le monde que connaissait La Fontaine a bien changé, pourtant ses fables et leurs moralités gardent tout leur sens : "La raison du plus fort est toujours la meilleure", est toujours aussi vrai, et ce n'est qu'un exemple parmi beaucoup d'autres.



Réduire La Fontaine a un auteur pour enfant, est infiniment réducteur. C'est oublier que cet ami de Molière, pour être courtisan, n'en était pas moins un auteur controversé, qui en son temps était loin de faire l'unanimité.

Ramener la fable, à l'imitation d'Esope, que La Fontaine reconnaissait comme un maître, à une place de choix dans la littérature française, fut le grand mérite de l'auteur.



Car, et c'est bien le grand intérêt des fables, dire sous couvert d'histoires amusantes souvent vécues par des animaux, des vérités fondamentales qui n'étaient pas faites pour plaire aux puissants, était le but de La Fontaine.



Donc, encore une fois, réduire les fables à des récitations est une erreur, et même si pour beaucoup d'entre nous le corbeau et le renard, ou la cigale et la fourmi, font partie des souvenirs d'enfance, l'oeuvre du fabuliste, mérite que l'on s'y attarde pour en goûter toutes les saveurs.



Très joliment illustré, car les fables furent et restent sources d'inspiration pour les artistes, ce Hors-série, revient sur la vie et l'oeuvre de La Fontaine, en mettant l'accent sur son importance dans l'histoire et la littérature françaises.

En 2011, Le Figaro a sorti un numéro hors-série consacré aux Romanov.



La dynastie a été fondée par Michel Ier (couronné en 1613) et s'est éteinte avec Nicolas II lors de son exécution en 1918 avec son épouse et ses 5 enfants.



Comment résumer 300 ans d'histoire russe en quelques lignes? Il y a moyen d'écrire plusieurs pages sur le sujet sans pouvoir en faire le tour. L'atout principal de ce dossier est d'en donner un large aperçu et d'être richement illustré.



J'ai beaucoup aimé le principe des « 12 journées de la vie des Tsars », comme par exemple le 9 juillet 1762 pour Catherine II (elle prend le pouvoir), le 31 mars 1814 pour Alexandre Ier (défaite de Napoléon) ou le 30 avril 1918 pour Nicolas II (il emménage à la villa Ipatiev).



C'est un peu comme une photo de la journée avec le contexte (rapidement brossé) et quelques anecdotes.



Il y a quelques cartes. C'est incroyable de voir la différence entre l'étendue du territoire russe à l'époque de l'avènement de Michel Romanov (1613) et après la mort de Pierre le Grand (1725).



Il y a aussi quelques articles pour approfondir quelques sujets importants comme celui de la construction de Saint-Pétersbourg.



Cette revue n'avait que trop traîné sur mes étagères...







Challenge livre historique 2020

L’histoire de Tintin, reflets de l’histoire du 20e siècle ...



Un incontournable pour les tintinophiles qui y retrouveront le résumé des albums situés dans les « modes » de l’époque où ils ont été dessinés.



Il en a fait du chemin ce reporter, même s’il n’a écrit qu’un seul article dans toutes ses aventures. On lui attribue même des rôles de chroniqueur scientifique, d’ethnographe et de critique d’art !



Un beau livre grand format, largement illustré des planches originales de Hergé et agrémenté de textes de style journalistique.



Que ce soit pour revoir le château de Cheverny qui a inspiré Moulinsart ou pour se rappeler les Omar Ben Salaad ou les Philippulus, on tourne les pages avec plaisir…

Très beau livre acheté pour sept euros sur un marché, j’ai eu l’impression d’arnaquer le vendeur. Il permet de découvrir la vie et l’œuvre de Gian Lorenzo Bernini dit le Bernin, fer de lance de la sculpture baroque au XVIIème siècle. L’ouvrage comprend bien sûr des chapitres détaillés sur ses trois œuvres les plus connues : l’enlèvement de Proserpine par Pluton, David bandant sa fronde pour affronter Goliath, Apollon et Daphnée. Trois statues éblouissantes de maestria, combinant une formidable maitrise technique et une incroyable expressivité, et qu’on peut admirer à la galerie Borghèse si on va à Rome.



On découvre d’abord ses œuvres de jeunesse dans l’atelier de son père, telle que la charmante chèvre Amalthée. Sont présentées également ses restaurations de statues anciennes, encore aujourd’hui unanimement saluées pour leur qualité et leur fidélité. Rapidement, il devient l’un des artistes les plus renommés de son poque. Mais au XVIIème siècle, un bon sculpteur est avant tout un bon entrepreneur. Et dans ce domaine, le Bernin est également un expert. En atteste sa participation à la construction de Saint Pierre de Rome : c’est son atelier qui réalisa toutes les statues de la colonnade qui dominent la place Saint Pierre. Son atelier encore qui réalisa le baldaquin de bronze au dessus de l’autel, la chaire de Saint Pierre et le splendide tombeau d’Urbain VIII !



Dans ces conditions on le devine, bien travailler c’était d’abord bien s’entourer ; et le Bernin semble avoir eu un don pour repérer et exploiter au mieux les sculpteurs les plus prometteurs de son temps. En fait, pour beaucoup d’œuvres tout le gros du travail était fait par ses collaborateurs d’après une esquisse rapide, et il se contentait des finitions. C’était le fonctionnement normal de l’époque, et la plupart de ses commanditaires considéraient comme suffisant qu’il ait mis la dernière main à l’œuvre. Et cela n’a rien d’absurde : qui a déjà sculpté un visage sait qu’il suffit de quelques copeaux minuscules pour changer totalement l’expression d’un visage.



Et le grand mérite de ce livre, c’est justement de présenter également les œuvres de ses principaux collaborateurs qu’ils réalisèrent en dehors de son atelier ! Une façon de leur rendre hommage et de les associer à la gloire du Bernin, mais également de comparer les styles et de mesurer son impact sur le monde de l’art. Andrea Bolgi, Francesco Baratta, Giuliano Finelli… De tous ce dernier semble avoir été le plus doué, capable de faire littéralement de la dentelle de marbre ajourée ! Mais ses portraits n’atteignaient pas le degré d’expressivité de son maitre, et il ne bénéficia jamais de commandes aussi importantes. On voit également ses successeurs, tels que l’Algarde.



Encore plus intéressant, les rares concurrents du Bernin figurent également. Ce fut surtout Francesco Mochi, qui n’accepta jamais vraiment la domination de son rivale, et fut le seul à tenter de dépouiller certaines de ses œuvres de son influence : figures austères, froides, longilignes… Fascinantes aujourd’hui, échec critique à l’époque !



Sculpteur majeur de l’histoire européenne, le Bernin fut un artiste complet, qui outre le génie et la technique, possédait deux dons précieux : savoir s’entourer et savoir gérer un grand chantier.

La touche fragmentée..



Oui 1874 fut cette date qui lance Monet dans une aventure picturale sans précédent qui va faire des gorges chaudes à l'académisme.

Pensez que de Belle-ile il va revenir avec des chefs d'oeuvre plein la besace. Ce truc était impensable avant lui.

J'accueille avec beaucoup de sympathie ce numéro spécial du Figaro consacré à l' Impressionnisme qui a donc 150 ans. Et dire qu'on pensait qu'on avait tout dit sur le phénomène. Eh ben non, déjà on découvre de nouvelles toiles qui semblent venir de nulle part avec un bonheur inégalé. Et puis des gens nouveaux se penchent sur la question. Tous nouveaux qu'ils sont, ça ne les a pas empêchés de nous resservir ce portrait de la femme de Monet peint sur son lit de mort, chose que j'ai réprouvée déjà !



Ce Impression, soleil levant peint à Londres en 1874 par Monet qui initie le répertoire impressionniste a en fait une valeur symbolique. Il est remarquable par ce qu'il inspire de facture nouvelle et pas qu'un peu. Il ne sera surtout pas contesté par tous les émules qui suivent. Mais comme on sait Monet ne sera pas seul dans l'aventure. C'est comme une équipe de football au zénith: c'est six, sept bons joueurs en même temps qui font l'équipe. Ils vont se tirer la bourre ces chers petits pendant bien deux décennies, et à leur tour des peintres talentueux vont apparaître qui vont supplanter l'impressionnisme. Monet et sa bande auront ouvert la voie !



Ce Train dans la neige de Monet peint en 1875, également frappant d'originalité qui donne effectivement l'impression de saisir l'instant avec des effets comme jamais on a fait : et dire que je l'ai vu non pas croupir dans un petit musée au nord de Paris pendant longtemps, mais plutôt m'étonner que la garde était à peine assurée pour veiller à ce trésor. Bon le musée a fermé maintenant depuis quelques décennies : le train dans la neige à rejoint Marmottan où il y est certainement mieux, non pas caché et sans recul possible dans la pénombre, mais avec force éclairage tamisé à bon escient, attisant le regard passionné des visiteurs nombreux venus du monde entier.



Qui est allé se geler le derrière pour peindre ces joyaux, comme aller en Norvege par moins 20 pour nous restituer des fragments des frimas : Monet. Chapeau bas monsieur Monet !

La lecture du Problème Spinoza d'Irvin D. Yalom, m'a donné très envie de m'intéresser à l'œuvre de Spinoza. Avant de me plonger dans la lecture de Traité Théologico-politique et d'Ethique de Spinoza, l'ouvrage de Luc Ferry m'a permis une première approche. J'ai apprécié sa lecture car même si les concepts restent complexes, il rend accessible l'œuvre de Spinoza et de Leibniz.

Le plus dans cette collection de plusieurs ouvrages sur de nombreux philosophes, un CD !

Incroyable petit livre pédagogique que nous offre ici Le Figaro. C'est un livre à entrées multiple, grâce à son précieux index ( une bonne ocasion de prendre d'ailleurs l'habitude de coonsulter l'index d'un livre quand il existe) et si vous n'avez pas trop le temps, vous pouvez le consulté juste pour avoir la réponse à une question d'orthographe, avec des informations que vous n'avez pas forcement dans le dictionnaire... et tellement plus sympatique que d'ouvrir un livre de grammaire, pour chaque mot, il est discuté des problématique posé par le mot, sous forme d'histoire du mot, c'est donc assez amusant à lire, juste par curiosité, mais un livre que tous ne vont pas forcément lire de bout en bout, même si c'est possible... le genre de petit livre qui peut unir les Français... car heureusement, tout le monde a heureusement assez d'instruction pour avooir aujourd'hui de bonnes bases en grammaire et orthoographe, on est beaucoup moins pénalisé par les fautes de nos parents quand ils parlent quand c'était souvent le cas dans nos campagnes dans la France d'après guerre... le petit livre sera peut être un peu trop précis pour des étrangers, mais pas du tout pour un Français, à partir de la 4e ou la 3 e cela peut être un bon objet.... et même pour des gens qui ont fait des études supérieurs... qui y trouveront les petits problèmes épineux des choses qu'on n'a pas eut le temps de parler à l'ecole... Un livre très bien fait pour nous faire voir la grammaire l'orthographe et même la prononciation d'après la côté de l'anecdote historique....

Et comme bien sur c'est éditer par un journal... cela fait vivre nos emplois locaux via nos marchands de journaux... nos emplois locaux sont précieux... à travers eux c'est votre emploi chez vous que vous défendez en limitant la supression de l'intermédiaire, contact humain doonc nous avons d'autant plus besoins que l'on risque de vivre d'autres confinement privés en plus, de contact sociaux....

Numéro hors-série du Figaro sorti en 2005, ce beau livre est très richement illustré.

On y trouve une chronologie des albjms , un journal du XXème Siècle qui nous montre que Tintin, dont le métier de reporter est tout relatif dans ses aventures, a tout de même marché dans les traces laissées par l'actualité des époques qu'il a traversées : l'Union soviétique, l'anschluss transposé en Syldavie, Ibn Seoud transformé en émir Ben Kalish Ezab, la guerre en Mandchourie...

On suit les nombreux voyages de Tintin qui est comparé à Albert Londres, et on sort enfin des polémiques stériles qui ont entouré certaines de ses aventures.

Un très beau livre de collection.

Un charmant petit livre sur les expressions françaises qu'on ne ressort plus tellement et qui mériteraient pourtant d'être utiliser de nouveau ( à la place de la recrudescence des anglicismes et des mots totalement déformer de leur sens : ADN, addictif, écosystème, écologie.... etc.... nous mettant dans une ambiguïté totale), 100 expressions ( en faite un peu plus que cela avec certaines variantes...) classés en cinq grandes catégories : habilement et comportement en société, les relations hommes/femmes, les critiques, l'argent, et pour finir les revers de la vie !

La plupart son connue mais certaines sont à redécouvrir en fonction du langage utilisé par votre entourage, ce ne sont pas forcément les mêmes que vous connaissez et celle que vous ne connaissez pas... de quoi peut être alimenter les conversations... car parfois on ne sait même plus ce que cela veux dire... et l'on pourrait jouer en société, à d'après vous, cela veux dire quoi ? Qui en connait le sens ?

Si saper comme un Milord, ou ça lui va comme un tablier à une vache nous parle, le Roi n'est pas son cousin parlera peut être moins... certaines sont même si amusantes, qu'on peut en inventer des variantes, histoire de travailler son élocution personnelle.... tout comme être chocolat... sucrer les fraises... Heureusement, dans ce petit livre formidable, on apprendra l'essentiel sur le sujet!



On trouvera d'autres livres du Figaro littéraire aussi intéressant

Pour la connaissance des romans, même s'ils ne sont pas à lire comme le dit l'autrice, ils ont à connaître car ils ont marqués la société française, mais on remarquera l'absence de polar ( même si on site certains enquêteur comme Miss Marple, Poirit, Sherlock Holmes,, la liste et assez pauvre en la matière) et s'il y a le petit prince, on regrettera l'absence du genre fantasy bien plus riche en situation pro-féministe que les romans issu du XIXe... à part quelques romans de la littérature anglaise ( comme Loin de la foule déchaînée) ou bien dans les livres de Conan Doyle ( Miss Mary Morstan est décrite comme une femme qui aurait été très utile Sherlock Holmes si elle ne c'était pas marié.... sans compter la femme qui l'a tenu en échec!) et une partie des polars repris dans la série les Rivaux de Sherlock Holmes, la fantastique enquêtrice avec un patron handicapée dans la série des enquêtes de C.B. Strike... Cependant, ces listes peuvent être modifiés, et les romans et personnages sont à connaitre, même si vous ne lisez pas tout... autre grands absents les Rois Maudits, et les Grandes familles de Maurice Druon, et la série de Henri Troyat : la Lumière des justes, ou bien la Virginienne de Barbara Chase- Riboult

Les 100 héros de la littérature

Les 100 héroïnes de la littérature

Les 100 romans Français qu'il faut avoir lu



Pour corriger son écriture :

1001 curiosité de la langue française ( Françoise Nore)

Littrés références

Les Nuances de la langue française (Jean-Loup Chiffet)

Ces Mots perdus au fond de nos dictionnaires (Jean -Loup Chiffet)

Ballade Littéraire parmi les figures de style (Jean-Loup Chiffet)

100 mots & expressions employés à mauvais escient (Julien Soulier)

100 fautes de français qui nous agacent ( Julien Soulier)



Et pour les fantasy ou les mythes chez d'autres éditions :

La Grande Encyclopédie du Hobbit chez Hors collection, collectif

Le héros aux mille et un visage Joseph Campbell

Les Biscornus les Mal-aimés de féérie Nicolas Lecorre

Le livre des simples Erica Lais

Le Grimoire des plantes de sorcière Erica Lais

Du conte de fée J.R.R. Tolkien

Tolkien l'Effigie des Elfes.



Liste de base à compléter

Ce numéro HS est paru à l’occasion de l’exposition « Crime et châtiment, de Goya à Picasso », au musée d’Orsay en 2010



Il raconte l’histoire (succincte) des plus grands criminels des deux derniers siècles et présente la vision des grands artistes fascinés par ces assassins, tels Géricault de l’affaire Fualdès, Delacroix de Louvel, David et Munch de Charlotte Corday, …..



Un retour aussi sur des artistes face à la justice :

Honoré Daumier coupable d’impertinence,

Courbet « victime d’un fatal engrenage »,

Egon Schiele « condamnation d’un artiste « immoral »,

Van Gogh, une rédemption par enfermement…



Mais aussi Badinter et Victor Hugo contre l’horreur du crime ; l’atrocité des châtiments avant la Révolution ; le crime et la science dans la seconde moitié du 18e où des chercheurs tentèrent d’avoir une approche scientifique du crime et des criminels, avec la physiognomonie de Lavater, les théories de Lombroso et Bertillon à la base de l’anthropologie… Pas toujours pour le meilleur.



Le tout illustré de très belles œuvres, dont beaucoup, de dessins, notamment assez rarement rencontrés, sauf à les dénicher dans les tiroirs des musées et autres associations…



Un excellent numéro dont les piqûres de rappel sur l’histoire de notre justice ne font pas de mal, mais qui laissent à penser, à mon humble avis, qu’elle a encore du travail sur la planche.

Dès l'éditorial, on est surpris.... la violence des conquistadors auraient été exagéré, que ni l'Eglise ni Isabelle la Catholique n'auraient été pour réduire les indigènes en esclavages.... mais on nous rappelle les sacrifices humains (alors qu'en Europe, on ne sacrifiât même pas les animaux) par millier.... il y a quelques années j'avais d'ailleurs été choqué par les innombrables sacrifices humains des gens e Lambayeque, Ce qui ne veux pas dire que plus tard, après la conquête, il se serait passé des choses.... on nous parle même de conquistadors qui, en nombre bien inférieurs, se seraient associés à des tribus locales dont certains étaient cannibales... Le Figaro nous parle de calomnie qui remonterait déjà à la période des conquêtes.... et qu'en on sait ce qui s'est passer pour Henri III rois de France, qui n'a jamais été homosexuel.... (même si j'aime bien le génie d'Alan Turing, il faut aussi appelé un chat un chat....) et même les conquistadors auraient abondamment pratiquer le métissage, avec des gens qui à l'époque, d'après les papiers officiels, étaient bien considérés comme des Hommes!.... et l'on vous explique que les populations indiennes d'Amérique latine se sont beaucoup réduite, malgré la variole.... qu'en Amérique du Nord.... et cela n'est pas la première fois que j'entend parlé de cela, car les esclaves noirs fusillaient en Floride.... du temps o elle était espagnol... il y a surement quelques réalité là dessous...



Cependant, le magasine ne démarre pas sur les chapeaux de roue sur le dossier, on vous parle des opportunistes de la IIIe République.. je ne suis pas sûr d'y adhéré... à une équivalence avec la macronismee... mais ce n'est pas pour cela que j'ai acheté le numéro... il est vraie que la IIIe république ne brille pas... mais pour Mr Macron.... attendons un peu... c'est trop tôt pour juger...

On nous parle après d'un débat sur la guerre juste... débuté avec St Augustin et St Thomas d'Acquin, et très certainement le sujet continuera à faire couler de l'encre... On nous parle des mythes de la guerre d'Espagne, car oui, même si on n'apprécie pas Mr Francon, on nous a quand même tue les purges stalinienne pendant la guerre.....dans les rends républicains... et donc les remises en causes de l'histoire de cette guerre... comme de bien d'autres.... n'ont pas finit de faire couler de l'encre... Le Figaro Histoire n'est donc pas seulement historique, il est revendicateur des remise en question.... On nous parle d'une limite républicains/ antirépublicains qui ne seraient pas aussi tranchés dans la réalité.... C'est bien possible... Ensuite on nous présente quelques expositions une page sur le pouvoir vue par l'académie des sciences morales et politiques, suivis de quelques livres... bref... une histoire politique... et pas apolitique... avis aux amateurs...

Eugénie Bastié nous parle religion chez Tolstoï et Dostoïevski, qui ne voient pas la religion de la même manière.... Eugénie Bastie il faut bien le dire aime bien ou avec les sujets philosophiques ou religieux qui sortie de l'ordinaire... je ne me serais jamais posé la question... et elle a récemment fait une émission sur Blaise Pascal à coupé le souffle, un auteur auquel c'est intéressé aussi Maria Montessori ! Et Maria Montessori, il n'y a pas plus apolitique et terre à taire... Blaise Pascal autrement-dit attire visiblement des gens très différents, je me dis que je devrait moi aussi m'y intéresser un peu! Après quelques mots sur la Grèce et un plat national néo-zélandais, enfin on rentre dans le sujet...P40! avec une guerre sur la péninsule ibérique... pour la successions du roi Henri IV de Castille... qui va réussir à l'allier avec le roi du Portugal.? Car les grandes découvertes ne sont pas sans être en rapport avec les questions de pouvoir... On longe l'Afrique... puis on se lance vers les Indes (Christophe Colomb! A l'époque, ce sont les épices, notamment le poivre noir qui permet vraiment de faire fortune... et donc d'avoir le pouvoir... et ce n'est que le début de l'histoire.... Cortes, le Mexique... les Incas On nous écrit un cortes bien plus humain... come cela arrive le plus souvent en historie, quand les détracteurs diabolisent souvent la réalité... pour de l'argent ou pour du pouvoir... quand ce n'est pas simplement par fantasme! Les raisons, aujourd'hui n'ont pas beaucoup changer pour dire du mal du voisin... et un pays très métissé se dessine, bien plus intéressant que les images contrastées et simplistes qu'on nous décrits si souvent!. On nous parle ensuite de la conquête proprement dite, son organisation le profil des conquistadors, et l'importances des crimes de guerres! Si une partie est avéré, il y aurait eut exagération par les Hollandais qui se révoltaient contre les Habsbourg espagnol... on ne nie pas les fait, on nous dit que l'invention de l'imprimerie a favoriser une guerre de propagande comme celle que l'on voit actuellement fortement augmenté par le net... Sans doute parce que nous vivons nous aussi une facilité de la propagande nous pouvons nous dire... oui, il y a peut-être une réalité la dessus... une guerre qui fie grâce à l'imprimerie une déformation des faits... c'est de l'ordre du possible... une hypothèse qui doit être prise avec précaution mas qui ne doit pas choquer. Cependant, les conquistadors ne sont pourtant pas idéalisés, car dès Colomb, il y a un premier problème pendant son absence, des Espagnols qui font des razzias et sont massacre... à son retour Colomb ne pouvait admettre cela sous peine de se voir dépasser par les évènements... c'est la tragédie humaine qui commence ici comme ailleurs... qui se serait produite comme cela de façon fortuite pour l'intérêt de quelques pillards... bien loin des décideurs... Ce ne serait que sous Charles Quint que la convoitise et les véritables ennuis commence... avec Cortes...

Pour ce qui est de l'esclavagisme, il n'aurait été justifié que par la découverte du cannibalise sur des terre n'appartenant pas à l'Espagne par Colomb à son deuxième voyage... Se dessine dont plus un choix des cultures qu'un esclavagisme par racisme et profit... et probablement une montée du racisme avec le temps...Heureusement aujourd'hui on ne met plus en esclavage pour cela... et on a d'autre moyen pour lutter contre quelques aérations du plus à l'isolement de certaines personnes qu'à une appartenance à une race.... race qui ne devrait pas avoir autant d'importance qu'on y prête encore... sauf pour glorifier une culture que l'on découvre... L'histoire ne peut se soumettre hélas à tous les jugements que l'on nous inculque depuis le plus jeune âge.. On nous parle de la syphilis qui fait son apparition en Europe... à cause des voyage... un sujet ui raisonne aussi à nos oreilles... car le COVID est le même phénomène... Ce serait après les Habsbourg que les indigènes auraient souffert de tractation commerciale... Et quand on pense que d'autres sources nous parlent de fuite d'esclaves des Amériques vers la Florides espagnol, on a envi de ce dire... il y a peut être un brin de vérité là dessus... L'Espagne aurait au contraire pendant un temps créé des villes bien plus florissantes que plus au nord... Atacuala capturé parce qu'il a jeté une bible par terre et son peuple y voyant une preuve qu'il n'ai pas divin un roi qui est déchu... par cette preuve... oui... il n'y a pas à dire... on ne m'avait pas raconté les choses comme cela... Cela rappelle l'Homme qui voulut être roi.... Et tous les jours on en apprend car bien des choses que nous avons apprises ne sont pas de simples résumés mais dé textes soit idéologique de l'enseignant soit tiré d'une idéologie puis résumé... e ne sais pas ce qui est pire... il faut tout vérifier même si cela nous semble crédible... Gardons l'esprit ouvert...

Un petit livre très bien fait avec des accords classiques mais aussi des associations plus osées, comme un champagne sur une pizza, les erreurs à ne pas faire...

c'est une bonne initiation aux accords qui ne fige pas les choses mais au contraire ouvre des voies.

Un must have pour les amateurs

Un bel ouvrage qui retrace de très nombreuses œuvres de Poussin ainsi que son histoire et ses rencontres qui ont su influencer son talent.

Je l'avais vu en conférence, présenter son livre. Je l'ai donc acheté. C'est passionnant de découvrir cette histoire par un journal, avec ses articles disparates, ces grands moments, ces petits riens.

Comme écrit dans le livre, si l'histoire de l'humanité s'inscrivait en une année, le XXème siècles ne représenterait qu'un quart d'heure! Mais quel 1/4 d'heure! où des progrès extraordinaires ont été réalisés (pour le meilleur et pour le pire). La vie est devenue plus facile pour une partie de la population grâce à ceux-ci, la connaissance du monde (ou tout du moins les voyages) sans égal, des choses incompréhensibles (le laser, les ordinateurs,...qui peut me dire comment cela fonctionne).

Et pourtant l'humanité n'est guère épargnée par les guerres, catastrophes, laisser aller....

Ce livre n'est pas une bible mais des fragments d'histoire à picorer de temps en temps, pour se remémorer.

A l'occasion de l'exposition "van Gogh-Artaud" (mars à juillet 2014) au musée d'Orsay, le Figaro a sorti ce superbe hors série. Les photos en couleur sont magnifiques et les articles très intéressants. En revenant du boulot, je me plongeais dans ces pages ensoleillées et je me laissais guidé par les mots. J'en sortais toute nettoyée, toute illuminée et plus rien n'avait d'importance. Rare sont les revues qui m'ont fait un tel effet.

Ce sont des livres, ce sont des guides et ce sont des visites virtuelles grâce au dvd qui accompagne chaque volume. Un plan du musée aurait été bienvenu ainsi, sans doute, qu’une photo du bâtiment, cela peut sembler anecdotique, pour autant, un musée c’est d’abord un lieu et parfois un lieu architecturalement emblématique, l’ancienne gare d’Orsay en est la preuve, s’il le fallait. Ensuite ce sont des œuvres, collectées, conservées puis exposées, constituant, dans une des catégories suivantes - l’art, l’archéologie, les Beaux-arts, les arts décoratifs, l’histoire, les sciences, l’histoire naturelle, les techniques et l’ethnologie -, une collection publique destinée à, selon la définition internationalement reconnue, transmettre le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d'études, d'éducation et de délectation.

Malheureusement, nombre des pièces qui devraient être présentées dans le Musée archéologique d’Athènes sont ailleurs ; longtemps, la Grèce fut le libre-service archéologique de l’Europe entière. Pour autant, ce Musée détient des pièces incroyables, y compris dans les pièces réservées à des arts dits mineurs, ce filet pour les cheveux, en or, daté du IIIème siècle av. J.-C. en est une preuve flagrante. Qu’il s’agisse des fresques de Théra, antique nom de Santorin, que ce soit celle des boxeurs, des antilopes ou du pêcheur, à la saisissante beauté, aux traits si vivants, ou du masque d’or d’Agamemnon, ses productions, même appartenant à la période qualifiée d’archaïque sont, déjà, un apogée. Le kouros d’Anavyssos, de toute beauté, le mouvement suspendu de la Niké d’Epidaure et le cheval bondissant du jockey d’Artémision sans omettre la transcendante modernité de l’idole en forme de violon feront oublier toutes les absences même les plus célèbres.

J'adore Tintin. Mais pas ce livre sur Tintin. Impressionnant de vacuité, pur exercice de style, qui n'a rien au fond. Rempli de phrases vides. Banal.

Un premier tome très intéressant qui se consacre aux prémisses de la Seconde Guerre mondiale.

L’ouvrage décrypte tous les événements qui ont précipité l’Europe dans un second conflit : le Traité de Versailles, la crise de 1929, l’accès au pouvoir en 1933 de Hitler, la remilitarisation de l’Allemagne, la guerre civile espagnole, les prétentions territoriales d’Hitler… L’analyse de chacun de ces événements permet de comprendre pourquoi le conflit était inévitable et comment on est arrivé à ce point de non-retour vers une guerre ouverte en Europe.

l’ouvrage est plutôt bien réalisé tant au niveau des textes que des nombreuses photos illustrant les propos de l’auteur ; on comprends, point à point, les erreurs commises par les démocraties et les appétits démesurés des pays totalitaires.

L’ouvrage est agrémenté de quelques descriptifs complémentaires : détails de l’uniforme allemand, présentation de véhicules de combats, infographies et cartes.

Bref, c’est un ouvrage très complet qui présente parfaitement la situation de l’entre deux guerres. Un premier tome assez prometteur d’une collection passionnante (et riche en informations) sur la Seconde Guerre mondiale.