Enfin entre parenthèses, cette vieille histoire du temps qui va sans jamais revenir, dans la peau qui se plisse toujours à sens unique et de toutes ces amoures, dans les froissements des heures, amours vent ou amours pierre, pareillement reléguées au grand foutu du passé, avec devant soi cet avenir si long, si rien, si loin, qui lui donnait, ailleurs que dans le studio, l’envie d’aller dormir.