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3.63/5 (sur 80 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Leafar Izen est ingénieur multimédia diplômé de l'Institut Image et Communication ( IMAC) (1992-1995).

Il a évolué quinze ans dans le domaine des sciences et de l’ingénierie. À 35 ans, il renonce à la ville et à cette carrière pour s’installer comme aubergiste et guide de montagne en Patagonie Chilienne, où il a vécu sept années durant, sur les pentes du volcan Calbuco.

En 2015, l'éruption brutale de ce dernier le ramène vers les Cévennes et l’entraine vers l’écriture.

Depuis 2016, sous le nom de plume Leafar Izen, il se consacre exclusivement à la littérature. Il a auto-édité ses deux premiers ouvrages, un recueil de poésie, un ouvrage traitant de métaphysique avant de trouver un partenaire éditorial auprès des éditions du Bord du Lot.

Il partage son temps entre les Cévennes et la Patagonie.

son site : http://www.leafar-izen.com/
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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
Était-ce vrai ce que d'aucuns prétendaient ? Que la terre et les hommes connurent des jours si courts qu'on s'endormait en voyant l'astre disparaître sous l'ouest pour se réveiller sous un nouveau soleil, surgissant de l'est plus vite que la lune ? Un soleil qui traversait le ciel à la vitesse d'un char de guerre ? Était-ce vrai qu'en ces temps le soleil prenait tout de vitesse et qu'il n'était nul besoin de le fuir ou de courir après ? À quoi ressemblaient alors les arbres, les plantes , les mers, la terre et les animaux qui peuplaient la planète ?
L'enfant peinait à s'imaginer un tel monde.
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Un jour ou l'autre, c'est le vague à l'âme qui triomphe.
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Bien vite, il refusa d’avancer tandis qu’une épaisse écume verte s’accumulait sur ses babines. Dans leurs orbites, les yeux de l’animal se révulsaient et laissaient voir le blanc des globes oculaires. Ce blanc qui, chez toutes les créatures, se révèle avec la peur. Ce blanc que seuls les humains affichent, du premier au dernier jour de leur vie, depuis qu’ils se croient mortels.
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Les grands hommes écrivent l’Histoire… et l’effacent quand cela devient nécessaire.
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« Nous sommes tous d'accord sur le fait que cette théorie est folle. La question qui nous divise : est-elle assez folle pour avoir une chance d'être correcte ? » (Niels Bohr)

Et si, dans sa quête éperdue pour objectiver et comprendre « le » monde qui nous entoure, l'Occident s'était fourvoyé en partant d'un problème mal posé ?
Obnubilé par la volonté de décortiquer le monde sensible, ce quelque chose qui se présente à nos sens, l’homme moderne butte sur la question « pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » et peine à com prendre pleinem ent le fonctionnement de ce quelque chose.
Mais face aux dernières avancées de la science, face aux paradoxes et aux questions qu’elle soulève, l’esprit est en droit de se demander « pourquoi ne voit-on que quelque- chose, là où il y en a infinité ? ».
Sous peine d’être pris entre le marteau des nouveaux obscurantismes et l’enclume d’un matérialisme désenchanté, il nous faut aujourd'hui redécouvrir une spiritualité éclairée. Rien d’impossible à cela, à condition de définir un cadre d'analyse su samment large. Un cadre, infiniment large pour tout dire, car la finitude n'est que la vision partielle d'une conscience qui se croit individuelle. La nature profonde des choses prend sa source à l'infini.
La spiritualité n'est pas le spiritisme, mais une démarche qui consiste à repartir de la seule certitude absolue : l'Être, par opposition au matérialisme qui postule une primauté de la matière. Postulat qui, si on le considère avec rigueur, relève de la croyance.
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L'explication spirituelle des phénomènes n'est pas synonyme de croyance ou de superstition, à condition de poser le problème avec su samment d'altitude, à condition d'oser remettre en question des certitudes bien enracinées certes, mais erronées. L'hypothèse spirituelle est compatible avec les dernières avancées de la science, en particulier celles de la théorie quantique, pour peu qu'on en saisisse les grands principes.
Cette science nous conduit inexorablement à nous intéresser au vide. Ce vide qui s'avère être plutôt un trop plein, trop plein auquel la physique donne aujourd’hui le nom de « mousse quantique » : un substrat qui agite le « vide » dans l’infiniment petit, semble soutenir l’existence de toute chose et qui n’est finalement guère di érent de ce que les anciens dénommaient Esprit.
Ce trop plein est doté d'une énergie intrinsèque infinie, et c'est notre hypothèse, vibre d'une infinité de réels. Cette multiplicité des réels est explicitement observée à l'échelle microscopique : c’est le principe d'indétermination. Mais elle est aussi postulée à notre échelle et à toute échelle, par l'une des sept écoles d'interprétation de la physique quantique que l'on doit à Hugg Everett : c’est la théorie des mondes multiples.
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Mais l'inexplicable prodigalité du Phytoïde de Katz compte pour beaucoup dans ce miracle sans cesse renouvelé. Comment le Phytoide est-il capable de faire apparaître de l'eau, sur une planète où l'oxygène et l'hydrogène ont radicalement absents ? Dans quels mondes cachés les racines du Phytoide de Katz se prolongent-elles ? D'où proviennent cette eau et toutes les substances qui suintent de l'arbre étrange ? Nul à ce jour n'a pu percer ce mystère et, pour l'heure, D-Cyg est et demeure une lune grise majoritairement irrespirable.
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Depuis que Thyra s'exerce à réduire l'influence de l'imago sur son cortex, ses fabrications oniriques sont plus difficiles à contrôler mais plus intenses. Elle a également constaté que les images s'impriment plus durablement dans ses pensées une fois réveilée.
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La terre entonnait son printemps comme un chant nuptial et s’offrait toute entière. Et, pour celles et ceux qui allaient sous le Levant, sans attaches et sans demeure, les nuages composaient dans le ciel la partition d’une symphonie prometteuse.
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Thyra sait que ces femmes et ces hommes qui se croisent sans se voir sont accaparés par d'intenses communions, par des recherches immersives ou par l'assimilation compulsive de nuages objectifs, quand ce n'est pas tout cela à la fois.
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Rien n’a de sens ni de raison, la vie est sa propre justification.
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