AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.5/5 (sur 124 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Auteure chez Harlequin

Vivre, c’est choisir, et choisir, c’est renoncer. N’emprunter qu’un passage, quand dix s’ouvrent simultanément et qu’on voudrait les prendre tous… Léna Forestier a donc choisi romancière et nouvelliste, parce qu’écrire est le seul métier qui permet de ne renoncer à rien, d’habiter tous les lieux de la Terre et d’être quelqu’un de différent à chaque histoire.

Ajouter des informations
Bibliographie de Léna Forestier   (14)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Authentique. Exquise. Intrépide. Nouvelle collection de romance historique française à découvrir dès le 1er avril 2020 chez Harlequin : https://www.harlequin.fr/collection/alienor Deux premiers titres : Les demoiselles du Cap Fréhel, Léna Forestier Le Complot en forêt De Crécy, Paul D'Hayures.


Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
En traversant son petit salon, elle jeta un coup d’œil par la fenêtre. Un emménagement, oui, c’était bien ça. Une camionnette de location était garée juste devant l’entrée de l’immeuble, et un garçon et une fille s’échinaient à soulever un matelas dans le but évident, mais encore loin d’être atteint, de le faire passer par les doubles portes grandes ouvertes du hall. Armelle ne put réprimer un ricanement de satisfaction. Ah, quand même  ! Il y avait une justice  ! Ramez bien, mes cocos, ça vous apprendra à faire du bruit pendant que j’essaie de bosser  ! Elle avait toujours trouvé comique le spectacle de deux personnes en train d’essayer de transporter un matelas. C’est bien la chose la plus encombrante et la moins maniable qu’on ait à déplacer au cours d’un déménagement. Quoique les cartons de livres ne soient pas mal non plus. La terreur des amis que vous embauchez pour vous aider. Elle entendait encore les cris d’horreur de sa sœur et de son beau-frère devant les dizaines et les dizaines de cartons dans lesquels elle avait empaqueté sa bibliothèque. Parce qu’elle n’était pas du genre à jeter ni à vendre. Les sites de vente de bouquins d’occasion feraient faillite, s’ils devaient uniquement compter sur des gens comme elle  ! Elle possédait encore les livres qu’elle avait lus dans le cadre de l’école primaire, du collège, du lycée, de la fac, auxquels il fallait ajouter ceux qu’elle achetait pour son plaisir et tous les services de presse qu’elle recevait pour son travail. Les cris d’horreur dataient de…eh bien, de trois ans maintenant, calcula-t-elle. Dire que son emménagement dans ce petit appartement qui surplombait la Saône ne devait être que transitoire…Elle l’avait choisi à la va-vite, juste après sa séparation d’avec Sylvain.
Commenter  J’apprécie          20
Sa mère. Belle, fantasque. Le genre de mère que rêve d’avoir tout adolescent. Mais il est certainement le plus mal placé pour faire preuve d’objectivité. N’importe quelle femme, à côté d’une mère trop tôt disparue, paraît laide et sèche à un garçon de quatorze ans débarqué sur le bord de la route avec son chagrin.
Commenter  J’apprécie          10
l n’y a que dans les films qu’un type se pointe dans un pays dont il ne connaît rien, ni la langue, ni les coutumes, et parvient à mener à bien une enquête à partir d’une vieille photo et de quelques indications sur un cahier. Et pourtant, s’il y réfléchit, une succession de hasards heureux l’a déjà conduit jusque-là. Il pourrait encore être en train de chercher quelqu’un pour lui traduire le petit mot.
Commenter  J’apprécie          00
C’est presque aussi incongru que… que quoi ? Se dire qu’il ne le verra plus jamais ? Qu’il ne pourra plus jamais lui demander quels étaient ses rêves, ses espoirs, quand il avait vingt-quatre ans, et si la vie lui a apporté ce qu’il attendait de ce premier voyage, de ce premier emploi, de cette liberté toute neuve de décider seul de soi ?
Commenter  J’apprécie          00
l'attente est si douce, si délicieusement excitante, quand elle s'accompagne d'un sentiment d'évidence...
Commenter  J’apprécie          10
« Je suis né le jour où je l’ai rencontrée. » Il y a cela aussi. Cette impression de regarder avec des yeux neufs, de penser avec un esprit neuf, de ressentir avec un cœur neuf. Et tout cela, simplement parce qu’une main s’est glissée dans la sienne.
Commenter  J’apprécie          00
Plus il s’approche et plus les battements de son cœur s’accélèrent.
Bientôt, il est là, tout près d’elle. Leurs regards se cherchent. Il y a les paroles qu’ils prononcent et tout ce qu’ils ne se disent pas, mais que leurs corps expriment pour eux.
Commenter  J’apprécie          00
Après tout, il ne serait peut-être pas si difficile que ça à reproduire ? Mais est-ce qu’il ferait autant d’effet sans la coiffure traditionnelle, les fleurs, le kanzashi ? C’est l’ensemble qui lui donne ce visage de princesse d’un autre temps…
Commenter  J’apprécie          00
Un break, ce n’est pas vraiment une rupture. On dirait « rupture », sinon ?
Commenter  J’apprécie          10
C’est vrai, tu n’es pas un mirage. Parce que les mirages ne sentent pas la pêche et on ne peut pas en être amoureux. Or, je t’aime, Léane. Je t’aime comme j’ignorais qu’on puisse aimer !
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Léna Forestier (199)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur l´Etranger par Albert Camus

L´Etranger s´ouvre sur cet incipit célèbre : "Aujourd´hui maman est morte...

Et je n´ai pas versé de larmes
Un testament sans héritage
Tant pis
Ou peut-être hier je ne sais pas

9 questions
4758 lecteurs ont répondu
Thème : L'étranger de Albert CamusCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}