« [… nous postulons l'existence] d'une fonction relationnelle innée, automatique, qui se traduit par la mise en mouvement d'un certain "quantum d'affect". […] Nous désignons seulement par là le fait que la mise en action de cette potentialité relationnelle déclenche un certain nombre de processus de nature biologique, dont nous ne savons rien, si ce n'est qu'ils sont fondamentaux pour l'équilibre de l'organisme. » (p. 171)