Mais qu’y aura-t-il là-bas et qu’est-ce qu’il y avait ici ? Pourquoi m’était-il si pénible de quitter la vie ? Il y avait quelque chose dans cette vie que je ne comprenais pas et que je ne comprends toujours pas.
[…]
Oui, la pitié, l’amour, aimer nos frères, aimer ceux qui nous aiment et ceux qui nous haïssent, nos ennemis… oui c’est l’amour (…) que je ne comprenais pas… Voilà ce qui me faisait regretter la vie, voilà ce qui me resterait si je devais encore vivre. Mais il est trop tard maintenant, je le sais.