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4.16/5 (sur 48 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Il s’est lancé dans l’écriture début 2014, sollicité par ses amis il a fini par franchir le pas de l'auto-édition. Le modeste succès rencontré lui a donné le courage de continuer.

Lauréat d’un concours d'écriture érotique en fin d'année dernière, il a enfin pris suffisamment confiance en lui pour proposer ses écrits à une maison d'édition.

Même s’il doit sa notoriété naissante à l’érotisme, elle n’est pas pour autant sa seule passion. Amoureux de fantasy, son rêve est d’en écrire un roman dans les prochaines années.

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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Sa main droite fila sous sa nuisette pour venir caresser habilement ses lèvres gorgées de désirs. Elle était restée frustrée de sa rencontre avec le beau Simon et elle eut envie de se soulager. Sauf qu’à la place d’imaginer Simon, c’est Louise qui vint illuminer ses fantasmes. Elle l’avait déjà vue nue et le souvenir de cette iamge venait embellir son rêve de plaisir.
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Il s’enfonça en elle d’un magistral coup de reins. Il s’attendais à trouver de la résistance, mais la jumelle imaginaire de la blonde chérie n’était peut-être pas si indifférente que cela à la situation. Elle serra les dents, mais Simon vit son plaisir se dessiner sur ses traits.
Il la burina sauvagement avant d’oser lui prendre une poignée de cheveux et de tirer. Doucement dessus. Quand il s’aperçu que Louise gémissait encore plus, il osa coordonner ses mouvements de bassin avec un très léger tirage de chevelure, qui se changea rapidement en un fou rodéo. Elle prenait véritablement son pied, et lui auss
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Pour lui, le sentiment amoureux n’était pas de l’amour et inversement. Ou plutôt, la passion des débuts n’était pas de l’amour. La passion était facile et volage, éphémère et intangible. L’amour était difficile, risqué, durable et concret. L’amour demandé des engagements, des efforts, des attentions, à tous moments. La passion se suffixée a elle-même, elle s’auto entretenait, elle produisait assez d’énergie pour alimenter les fougues.
Il existait des théories, comme quoi la passion se dissipait forcément au bout de quelques temps. Certaines étapes d’une relation, dans la durée, était difficile à franchir. Il y avait le cap des deux mois, celui des premiers ébats, quand son partenaire était inévitablement un prince charmant ou une princesse enrobé dans un mirage sensoriel surpuissant. Puis il y avait le cap des six mois, souvent celui des premières lassitudes, de la routine, de l’amertume. C’était un cap assez facile à tenir si aucun élément provocateur ne venait s’immiscer entre les deux amants. L’étape des deux ans était nettement plus costaude. C’était souvent à ce moment-là que l’un des deux demandait d’avantage d’engagements : s’installer ensemble ou sortir la carte de crédit pour s’offrir un luxueux rassemblement d’amis et de parents destiné à officialiser l’union. C’était une étape critique, probablement la plus critique. Simon ne savait absolument pas comment gérer cette étape. Alors quant à imaginer franchir celle des sept années de vie communes…
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Elle avait un cul si doux, si ferme, si rond que Simon était capable de l’exciter à sa seule pensée. Il la griffa légèrement, osant pour la première fois associer douleur et plaisir, si bien que Louise, surprise, frissonna. Il sentit ses jambes fléchir, mais la retint à bout de bras sans plus d’efforts.
Sa bouche s’ouvrit d’avantage, il engloba l’ensemble du sexe gourmand de Louise et l’embrassa délicatement. Connaissait ses désirs, il savait ses faiblesses. Il tira la langue pour la remonter entre ses lèvres torrides jusqu’à effleurer le petit bourgeon sensible. Louise se cabra et il l’entendit tenter d’exprimer quelque chose qui ne ressembla qu’à un gargouillis incompréhensible. Il commença alors une lente et lancinante danse autour de son clitoris gonflé. Il le débusqua, le salua, le taquina, le souffla, lui épela le mot chaud d’une dictée appuyée, le suçota, le couronna enfin d’une tiare de baisers endiablés.
Louise maintenant criait à perdre haleine. Ses jambes tremblantes, reposaient dans les bras tendus et musclés de Simon qui lui martyrisait toujours le cul d’une poigne solide. Dans un moment de folie partagée, le bel écrivain pointa un doigt curieux au centre des deux lobes divins, jusqu’à atteindre la corolle irisée. La réaction fut surprenante ; Louise hennit ! Puis dans une dernière ruade, elle se laissa retomber sur le doigt fureteur et succomba à un puissant orgasme.
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S’il y avait bien un domaine ou il pouvait s’enorgueillir d’une véritable expertise, c’était dans le cunnilingus.
Aucune de ses ex n’avait jamais émis un reproche concernant ses aptitudes et les cris que poussait Maria lui confirmaient son talent. Il léchait, happait, suçait, fouillait, grignotait, léchait, tournait, embrassait, tant et si bien qu’elle finit par lâcher une longue plainte qu’elle ponctua d’expression très explicite dans sa langue natale.
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Et puis, avait-il le moindre droit de regard sur les choix de sa fille ? Légalement, oui, puisqu’elle n’était pas majeur, mais normalement, c’était beaucoup plus discutable. Il ne pouvait pas lui imposer de sortir avec tel ou tel mec.
Ou de ne pas sortir du tout !
Bizarrement, il aurait préféré qu’elle sortit avec une fille, comme il l’avait cru à l’origine. C’était con comme réflexion, probablement sexiste, mais ça l’avait rassuré un temps. Pourtant, les filles peuvent ne pas être tendre non plus. Définitivement con comme attitude en effet.
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La mythologie érotique laissait souvent entendre que les asiatiques étaient très étroites. Ce n’était pas son cas. La queue coulissa sans encombre jusqu’à ce que la belle brune sentît les abdos de Simon claquer contre ses fesses. Elle se voyait tourner de l’œil tellement la sensation était indéfinissable. Il l’embrassa dans la nuque et elle feula de plaisir. Ses mains puissantes la soulevaient et la rabaissaient en rythme tandis que son bassin ne bougeait pas, à peine avançait il quand il la laissait s’enfoncer au plus profond. Il ne la baiser pas, il se branlait avec son corps, tel un jouet, une poupée.
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Simon savait, à l’oreille, reconnaitre l’orgasme de sa chérie. Il décida de jouer avec elle encore un peu. Il réactiva ses caresses sur le clitoris enflammé, mais cette fois ci plus douces, plus espacés, juste ce qu’il fallait pour entretenir les braises d’une jouissance qui n’en finissait pas. Au bout d’un moment, elle clama sa défaite, implora qu’il mit un terme à ses souffrances, lui tira les cheveux, mais rient n’y fit : sa langue tournait doucement, mais surement au milieu des chairs brulantes. Elle ne pouvait s’y soustraire, il la tenait fermement, et elle jouit encore une fois dans un râle délicieux.
Quand il la reposa sur le canapé près de lui, elle le regarda, le souffle court, les yeux exorbités et articula difficilement ;
Oh… mon… dieu…
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1 Tu n’as pas pris de dessert, n’est-ce pas ?
Sans attendre sa réponse fiévreuse, elle grimpa debout sur le canapé, agrippa les cheveux courts de Simon et l’attira entre ses cuisses dans un mouvement torride. Il en ouvrit la bouche de surprise et fut accueilli par une gorgée suave et terriblement excitante.
Ah oui, c’est comme ça que tu le veux !
Il enfonça sa langue entre les chairs appétissantes de sa blonde affamée. C’était le jeu qu’il préférait entre tous. Celui où il faisait succomber Louise à sa guise, ou elle était sous son emprise malgré sa position docile.
Il commença par boire en elle, comme pour absorber le trop plein d’excitation. Quand il senti qu’elle lâchait prise sur ses cheveux pour se retirer au bord du canapé, il prit le relais en la tenant fermement par les fesses.
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Zoé regarde la scène. Il y a tant de possibilités encore à essayer, elle se liquéfie rien que d’y penser. Elle fait un rapide inventaire des positions imaginables, des compositions excitantes, des imbrications troublantes. Elle veut aussi essayer dans son cul. Et puis les deux queues à la fois. Elle imagine aussi son mec se faisant prendre. Elle veut leur queue, leur jouissance sur elle, elle veut les sexes doux et suintants de ses amies. À ce moment- là, le temps s’arrête et elle contemple l’étendue de son plaisir, de son imagination, elle ressent une immense plénitude. Elle sait qu’elle est heureuse.
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