Faut-il avouer, que, à l'instar des gens du seizième siècle, le traducteur fut attiré par la beauté des dessins; le savant l'étonna, sans le séduire; qu'en second lieu il chercha à retrouver la philosophie de Léonard de Vinci, sa doctrine métaphysique et morale; et qu'enfin il estime que cet homme incomparable a perdu son temps,gaspillé le plus beau génie à inventer des métiers à rubans, des laminoirs, des dragues et des canons.