Depuis qu’il avait quitté Cuba, près de quinze ans plus tôt, en se promettant de ne jamais revenir, Irving avait fait le même cauchemar que tous les Cubains jetés dans l’exil : il revenait un jour sur l’île et… on ne le laissait pas repartir. Il avait beau expliquer, dire qu’il n’avait rien fait de mal, supplier… il était piégé sans issue possible.
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