Le poète, grâce à son apprentissage précoce du verbe et de la musique... connaissait la notion de dépassement de soi et ce que cela impliquait de souffrance et d'élévation... Son esprit connaissait la course damnée de la rime parfaite. A trop la poursuivre, il s'était maintes fois perdu dans les méandres marécageux des mots.