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4.07/5 (sur 191 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Leta Blake est une auteure de romance gay à succès. Professionnellement et par sa formation ses domaines sont respectivement la psychologie et la finance, cependant elle a toujours eu une passion pour l'écriture. Elle prend plaisir à ciseler des romances et explorer la psychologie de ses personnages. À sa maison dans le Sud des États Unis elle travaille dur en essayant d'équilibrer son travail de tous les jours avec l'écriture et sa famille.


Website : http://www.letablake.wordpress.com
https://letablake.com/

facebook : https://www.facebook.com/letablakeauthor/

Twitter : letablake


Source : https://letablake.com/
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Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
LA MÉMOIRE, COMME CELA S’AVÉRA être le cas, était à la fois tout et rien. Elle n’avait pas de fond, pas de forme, pas de poids et aucune couleur. Elle était décrite, en termes techniques, comme des dépôts de protéines dans les cellules du cerveau. Toutefois, c’étaient des mots qui, dans leur cœur, étaient aussi mystérieux et ultimement magiques que toute autre métaphore utilisée pour tenter de comprendre le concept: la mémoire comme un entrepôt ou un ensemble de livres—une façon de garder la trace de l’équilibre des pouvoirs de la vie; ou la mémoire en tant que telle—un mode de vie, et une façon d’être.
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Chapitre 2 :
« …
— C’est juste que j’ai peur… commença Leith avant de s’arrêter.
— Peur de quoi.
— J’ai peur de ne jamais me rappeler.
— Et qu’y a-t-il de mal à ça ? Demande le docteur Thakur.
Pensant inexplicablement au visage de Zach lorsqu’il s’était détourné la veille, Leith combattit ses larmes.
— Je ne veux décevoir personne, dit-il.
—Qui avez-vous peur de décevoir ?
Leith haussa les épaules
— Les gens. Mes amis.
— Comme l’ami que vous avez rencontré hier ? Zachariah Stéphens ? ...»
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« — Et si c’était un bon souvenir, je te dirais de l’amener avec toi. Mais ce sont des conneries, tu n’as pas besoin d’avoir honte de toi pour devenir quelqu’un de bien. Tu es quelqu’un de bien. Potelé ou pas.
Patrick entend ses mots et se sent un peu irrité. Qu’est-ce qu’il y a avec Will Patterson pour qu’il l’inspire à donner de tels discours ?
— Je t’aurais baisé, ajoute-t-il, simplement pour détendre l’atmosphère.
Will secoue la tête et se détourne de lui.
— D’accord, peu importe.
Il jette un déodorant et un tube de gel coiffant dans la valise. Après un moment, il s’immobilise, puis lève les yeux vers Patrick, les yeux hagards.
— Tu le penses vraiment ?
— Quoi ?
— Ce que tu viens de dire.
Will semble à la fois légèrement agacé, mais aussi plein d’espoir.
— J’aurais baisé le Will, petit ange ado tellement fort qu’il n’aurait pas pu marcher droit pendant une semaine.
Will rougit.
— Je voulais dire par rapport au fait que je suis quelqu’un de bien.
Patrick hausse les épaules.
— Oui, probablement. Qu’est-ce que j’en sais ?
Will baisse le regard et Patrick se sent mal en voyant que la lueur d’espoir dans ses yeux disparait.
— Bien sûr que je le pensais, crétin. Tu es un putain d’ange de lumière pour les enfants atteints d’un cancer, les jeunes LGBTQ et les animaux maltraités. Tu es tellement bien que c’en est un peu dégoûtant. »
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— Bon, laisse-moi mettre les choses à plat, bien que je suppose que ce ne soit pas le bon mot à utiliser. Tu t’es prostitué avec des hommes et maintenant tu as une relation avec une femme que je n’ai pas encore rencontrée—dont je n’ai même jamais entendu parler—mais vous avez pu tout régler?

— Exactement.

— Pourquoi n’ai-je pas encore rencontré cette… comment as-tu dit qu’elle s’appelait? Miyoko?

— Ce n’était pas sérieux jusqu’à récemment, et tu n’étais pas vraiment en position de rencontrer de nouvelles têtes parce que tu étais occupé à rencontrer les anciennes.

— Arthur, à quoi joues-tu?

— Elle est plus jeune que moi. Majeure, cependant. Elle est majeure!

Leith fixa son frère.

— Majeure comment?

— Elle a vingt ans. Le mois prochain. De toute façon, ça n’a pas d’importance pour moi. Les seules personnes que ça ennuie sont ses parents.

Il renifla et dégagea les cheveux de son visage.

— J’ai dix ans de plus qu’elle et je possède un bar. Dans lequel elle travaille. Je ne suis pas l’idéal pour ses parents, ça c’est certain.

— Tu fréquentes une employée de dix-neuf ans. Tu es son patron.
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Chapitre 2 :

«… Ho ho ! Joyeux Noël ! Ashton est dans la place ! Comme vous le savez, il y a trois ans, j’ai fait imploser ma famille d’homophobes en ramenant un de mes coups d’un soir de Grindr à moitié nu à un repas de fête ! Il n’y a pas meilleure façon de se faire déshériter ! Satisfaction garantie ! Je vous le recommande !

Cette année, et dans l’idée de disperser de la joie, je vous propose une offre généreuse. Pour une petite place où dormir à moindre coût (le temps que mon immeuble soit désinfecté), je vous aiderai à transformer vos réunions de famille saisonnières en un énorme merdier ! Vous avez des parents homophobes, des tantes envahissantes, des oncles moches ou encore des cousins terriblement insensibles ? Vous aussi, découvrez quel bonheur c’est de gâcher leurs vacances !

Engagez-moi comme faux petit ami et votre insupportable tante Karen ne vous parlera plus de mariage ni de bébé. Non, elle sera bien trop occupée à se demander pourquoi vous sortez avec un gay (si vous êtes une femme) ou quand vous êtes devenu queer (si vous êtes un homme). Vous serez leur sujet de discussion pendant des mois !

Avec mes deux ans de cours de théâtre pris à l’université, je peux faire sembler d’aimer n’importe qui. Eh oui ! Même vous. Et, je peux aller aussi loin qu’il le faudra pour que votre famille implose/explose/se décompose. Alors vous préférez la jouer sérieux et engagé ou libre et dévergondé ? Je peux vous proposer le mode bûcheron viril ou reine glorieuse à paillettes. Appelez-moi juste M. Jingle Bells ! En échange d’un endroit où dormir (sérieusement, ce serait juste pour trois nuits ! Promis ! je serais à votre service !

Contactez-moi pour plus d’informations !

(Non, mais vraiment, j’ai besoin d’aide ! Les hôtels près de mon bureau sont TROP CHERS ! Qui a demandé à Knoxville de jouer les villes luxueuses comme ça ? Qui est le génie du marketing qui a rendu cet endroit super chic ? Oh, c’est moi. Enfin. Pitié. Trois nuits. Sauvez mon portefeuille.) …»
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— j’ai commencé à sortir avec toi, et nous avions une alchimie folle.
— C’est peu dire.
Leo déglutit et ferma les yeux.
— Et c’était effrayant pour moi.
— C’est vrai ?
Grant fronça les sourcils, inquiet.
— Je pensais que tu…
Les yeux gris de Leo s’ouvrirent avec ferveur.
— Oui ! J’avais tellement envie de toi. Je n’avais jamais senti quelqu’un vouloir de moi auparavant. C’était beaucoup.
— Je… d’accord.
— Alors quand Curtis s’est pointé en disant toutes les choses que je voulais entendre, j’ai fui.
— J’étais là.
— Je sais. Je dois tout te dire pour que tu sois sûr de vouloir être avec moi.
— Bébé, je suis sûr maintenant. J’en suis sûr depuis longtemps.
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Chapitre 1 :

« … Arthur brossa les vêtements de Leith comme s’il le dépoussiérait, puis il dit :

— Leith, écoute. Il y a quelqu’un qui est venu te voir, et tu dois être incroyablement gentil avec lui.

— D’accord. Pourquoi ? Qu’est-ce qui ne va pas chez lui ?

— Tout va bien chez lui. Il est seulement inquiet à ton sujet. Nous parlerons des spécificités plus tard, mais pour l’instant… laisse-le t’étreindre et te toucher, d’accord ? Laisse-le se rassurer. Il en a besoin.

Leith fronça les sourcils.

— Est-ce un de mes amis ?

— Oui. C’est ton meilleur ami. Son nom est Zachariah Stephens. Cela semble-t-il familier ? Tu l’appelles Zach.

— Zach ?...»
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Chapitre 3 :

«… — Triomphe ! hurla Alec. Le triomphe du cœur humain !

Grant se cogna la tête contre la porte en signe de protestation, puis s’effondra sur le sol. Dehors, Alec chantait la chanson du « baiser dans un arbre » et d’autres hymnes enfantins à l’amour.

Grant enfouit son visage dans ses genoux, inspirant et expirant lentement tandis que les minutes s’écoulaient. Il sut que Dennis était arrivé parce qu’Alec cria :

— Chéri ! Devine qui est un vrai connard quand il est amoureux ?

Une chose était sûre : Grant devait se trouver un meilleur meilleur ami. …»
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Chapitre 2 :

«… Que faisait-il ici ? N’avait-il pas une vie ? En Californie ? La dernière fois que Grant avait vérifié, c’était le cas.

— Grant ! appela Leo alors qu’il essayait de passer le poste, le visage enfoui dans un dossier, espérant éviter toute interaction.

Grant s’arrêta, se retourna lentement et dit :

— Dr Anderson pour toi, Leo. Et quelle désagréable surprise de te voir ici en cette belle journée d’automne ! Que nous vaut cet honneur ?

L’infirmière baissa les yeux sur ses formulaires, mal à l’aise, et Leo se mit à rire.

— Tu n’as pas changé du tout, n’est-ce pas, Docteur Anderson ? Tu es toujours aussi charmant.

Leo sourit comme s’il était heureux de voir Grant et inclina la tête d’une manière que Grant était réticent à admettre attrayante.

— Je ne vois pas du tout ce que tu veux dire.

— Je veux juste dire que c’est bon de te voir

Le sourire de Leo devint doux, ce qui serra la poitrine de Grant.

— Sérieusement, poursuivit Leo en lui touchant le bras, les doigts agrippant la blouse blanche de Grant. Tu as l’air en pleine forme. Comment la vie te traite-t-elle ?

Les yeux de Grant se rétrécirent.

— Elle me traite comme elle me traite toujours. Comme un chirurgien occupé. Maintenant, si tu veux bien m’excuser, il faut que j’aille faire le chirurgien.

Grant tapota sa montre.

— Le temps est compté. …»
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Chapitre 2 :



« … Cela hérissa légèrement RJ, malgré l’excitation.

— Quoi ?

— Rien.

— Grossier, M. Danvers.

Il avait sorti sa voix dominante. Celle que son pervers d’ami allemand, Pieter, lui avait appris à utiliser lors de leurs stages D/s à Berlin. Se penchant en avant et établissant un contact visuel, il demanda :

— Expliquez-moi.

M. Danvers céda comme un délicieux bébé soumis, et RJ déglutit difficilement, prenant note de ce fait.

Bon sang, M. Danvers.

— Très bien.

M. Danvers se pencha en avant, chuchotant.

— En vérité, j’avais peur de toi à l’époque. Quand tu étais dans ma classe, je veux dire. Tu étais toujours si intense. Tu me regardais comme si tu avais envie de me frapper ou une chose comme ça, et, eh bien, je…

Il s’interrompit, riant encore.

— C’est ridicule, non ? Tellement ridicule.

— Pourquoi aurais-je voulu vous frapper ?

RJ ne comprenait pas comment M. Danvers avait pu interpréter son regard lascif, inspiré par le fait de voir ce fantastique cul se trémousser chaque fois que M. Danvers écrivait sur le tableau noir, comme violent.

— Ça n’a pas d’importance. Peu importe.

M. Danvers se mordit la lèvre inférieure, et ses yeux retombèrent sur la bouche de RJ.

— Tu es plus accessible maintenant. J’aime ça.

Oui. C’était une réponse qu’il prendrait sans se plaindre. …»
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