Citations de Lil Evans (187)
Quand les épreuves de la vie vous attrapent, elles ne vous épargnent pas !
... la gloire était un alcool plus enivrant que l’absinthe ; une fois qu’on en avait goûté un verre, on voulait la boîte au goulot.
- Dis-moi à quel point tu as souffert.
Elle se mordit les lèvres et prit son visage entre ses mains.
- Je n'ai pas souffert. On ne souffre pas quand on ne connaît rien d'autre, tu sais.
Tout est beau, chez toi, Siana. Et c’est bien ça mon problème.
Quand elle plonge son regard dans le mien. Je jurerais que Cupidon m’a décoché une deuxième flèche en plein cœur, parce que je viens de tomber une nouvelle fois amoureux d’Autumn Fells.
Un jour, quand le regard des autres cessera de vous importuner, peut-être que vous découvrirez ce que c’est que d’être heureux, dans ce cas.
Dans la vie, il faut savoir faire des choix, même s’ils sont difficiles.
- Il ne va pas mourir, madame ! N'est-ce pas que vous n'allez pas mourir dans MON train, MONSIEUR ? demanda-t-il au blessé, sur un ton qui ne lui laissait pas d'autre choix que de survivre.
(L'attaque des Dronantikus, Kim Amiano K)
- (...) pour la moindre once de douleur que je ressens en voyant tes marques, j'ai envie de t'en offrir mille de bonheur.
Mais pourquoi fallait-il tomber aussi bas pour pouvoir se relever?
Pleurer, ça n’a rien à voir avec la faiblesse, au contraire. C’est avoir trop d’émotions, trop de doutes, trop de douleurs parce qu’on encaisse sans arrêt. C’est avoir été fort trop longtemps, si longtemps que ça doit bien déborder d’une façon ou d’une autre.
« Il ne se passe pas une seule seconde sans que j’aie ses lèvres sur les miennes. Ses mains sur ma peau. Ses bras autour de moi. Et toute cette tendresse, toute cette douceur, elle n’est que pour moi. Toute pour moi. Ça me rend heureuse à l’infini. »
« — Tu m’as offert quelque chose que je ne pensais pas posséder, donc maintenant que tu l’as repris, je suis en manque.
— De quoi s’agit-il ?
— De mon cœur, Lola.
Je plaque la main sur ma bouche pour étouffer un petit sanglot ému, alors il m’enlace par-derrière, puis ses lèvres se posent contre mon cou. Là, je fonds contre lui, et le serre à mon tour. »
« J’ai juste fait pire.
J’ai joué avec elle, ses sentiments, sa vie, la forçant à venir jusqu’ici pour un boulot qui semblait lui plaire, l’étourdir d’impatience, jusqu’à ce que je prononce ces fameux mots. Ceux qui lui ont volé toute sa joie. »
Encore une fois, je l'embrasse de toute mon âme. Encore une fois, je la touche, la caresse, incapable de me lasser de la soie de sa peau. Elle représente mon opium. Ma dépendance. Ma morphine. Avec elle, je me sens mieux. Heureux. Comme je ne l'avais jamais été de toute ma putain de vie.
Cette femme… Putain… Elle représente ma rédemption. Pour elle, je deviendrai meilleur. Je deviendrai un foutu saint, un prêcheur, un homme honnête. Parce que, ouais, je suis accro à elle, et si je devais retourner un jour en taule et me reprendre quinze ans à l'ombre, je claquerais. Je dépérirais. Ses sourires sont ma drogue, ma came, mon ecstasy la plus pure, la plus mortelle qui soit. Et j'en ai besoin. J'ai besoin de la sentir couler dans mes veines à en triper pendant des heures.
Pourquoi son corps tout entier réagissait-il à l'odeur d'un Lynx, de toute façon ? Et pourquoi se sentait-il en colère à la vue d'un animal aussi petit et visiblement perdu ? C'en était trop. Il fallait qu'il demande des comptes à la jeune femme avant que la situation n'échappe à tout contrôle.
Mais soudain, les choses s'envenimèrent !
Elle se sentait complètement libre et paisible, avec lui. Et avec sa famille.
Et elle espérait plus que tout pouvoir rester avec eux le plus longtemps possible même si... elle le savait, son temps était compté.
J’ai envie d’elle comme j’ai envie de vivre. À fond. Et j’ai besoin d’elle comme j’ai besoin d’air pour respirer. Pour toujours.
Mignon ? Charmante ? Non, mais ça vous arrive souvent d’insulter les gens comme ça, dans la rue, sans même les connaître ?