Peut-être que ça n’a pas d’importance. Beaucoup de gens ont des fantasmes qu’ils ne réalisent jamais, qu’ils soient violents ou pervers, fous ou carrément impossibles biologiquement. Si ce n’est que dans ma tête et que ça me fait jouir, où est le mal ?
(Et quand je dis jouir, c’est un euphémisme.)
Le problème, c’est quand les lignes de la réalité et du fantasme se confondent.
Comme c’est arrivé hier soir.