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Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
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Le chat qui jouait Brahms

Encore une jolie histoire de Qwilleran et de ses 2 siamois. Rien d'exceptionnel à dire sur cette série sauf que je la trouve sympathique et que j'aime en lire un tome de temps en temps. C'est rafraîchissant.
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Le Chat qui parlait aux fantômes

Si, comme moi, vous lisez ou relisez les enquêtes de Jim Qwilleran, vous savez fort bien que ce n’est pas pour le suspens, mais plutôt pour cette manière de décrire l’Amérique du Midwest sans avoir l’air d’y toucher. Le comté de Moose n’existe pas ? Qu’à cela ne tienne, il nous dit pourtant beaucoup sur cette Amérique rurale, cette Amérique où le souvenir des pionniers est encore bien vivace et où le présent se fait au rythme des saisons. Ce n’est pas l’Amérique profonde, non, plutôt une paisible Amérique des classes moyennes. Pourtant, même là, le drame, la tragédie, peut survenir au milieu d’une ville paisible.

Qui pouvait bien vouloir la mort d’Iris Cabb ? Cette femme, qui avait enterré plusieurs maris, n’était pas si proche que cela de son fils, qui ne semble d’ailleurs pas manifester un chagrin outrancier à l’annonce de son décès : elle n’avait toujours pas fait connaissance avec son petit-fils, elle n’avait jamais trouvé le temps pour aller le voir, et avait refusé que son fils vienne la visiter. Conservatrice du musée de la ville (place enviée), fan de rose, elle avait tout de la femme apparemment inoffensive (certains de ses maris ne seraient sans doute pas d’accord).

Qwill ne dit rien, n’en pense pas moins et n’hésite pas à prendre la place de conservateur par intérim pour mieux découvrir ce qui s’est passé, et aussi empêcher un charmant voisin de mettre trop facilement la main sur le poste. Les nouveaux venus se remarquent très facilement dans cette petite communauté, et si, pour Kristi, la voisine de Qwill, il s’agit d’un retour au pays après quelques errances personnelles et sentimentales, pour d’autres, les raisons de leur venue dans cette petite communauté paisible sont plus obscures.

Paisible ? Il faut parfois le dire très vite. il suffit de lire le récit des catastrophes, pas toujours naturelles, qui ont endeuillé la communauté au fil des siècles. Les amateurs de généalogie sont les bienvenus : les Bibles familiales, scrupuleusement remplies, permettent de connaitre les descendants de chacun, mais aussi les aléas de leur vie. Les connaissances historiques de Qwill lui permettent aussi de chercher les anomalies qui peuvent survenir. Et s’il ne croit pas aux fantômes, il sait que les vivants peuvent faire beaucoup de dégâts – sur les hommes et sur les animaux. Et parce qu’il est seul, sans autre famille que celle qu’il s’est constitué, il sait que favoriser les siens au détriment du bien commun n’est pas une bonne chose. Qwill est journaliste, les petits secrets ne lui résistent pas.

Bien sûr, dans cette petite communauté, la morale bien pensante domine. Et s’il ne fait pas bon vivre sans être marié, il est pire encore de négliger compagne et enfants.

Le chat qui parlait aux fantômes est l’un des opus les plus sombres de cette série. Pour l’humour, cependant, vous pouvez compter sur la première apparition de Bootsie, le siamois de Polly Duncan, l’amie de Qwill. Il n’est pas sûr que Koko et Yom-Yom sen remettent.
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Le Chat qui remontait la rivière

Revoici Qwilleran ! Polly est partie en vacances, elle lui envoie régulièrement des cartes postales dans lesquelles elle se réjouie de son périple et des rencontres qu'elle fait tandis que Qwill... ressent le besoin de s'aérer un peu. Quoi de mieux que de louer un bungalow, entouré de charmants voisin ?

Autant vous le dire tout de suite, ce n'est pas l'aspect policier qui l'emporte - même si l'intrigue comporte deux meurtres, un suicide et une crise cardiaque, ce qui fait beaucoup pour une seule intrigue.

Et pourtant, l'intérêt n'est pas là, il est dans les anecdotes que Qwill collecte pour son journal - mais aussi pour son plaisir. Il aime à se pencher sur la vie des pionniers, que des passionnés s'évertuent à reconstituer dans des spectacles bon enfant. Il est bon de voir à quel point une histoire peut être différente, selon les personnes par qui elle a été transmise. Il est intéressant de voir que la ruée vers l'or n'est pas seulement un souvenir vivace, ancrée dans la mémoire collective, mais une réalité. Je ne vous parle même pas de la dangerosité inattendue de certains métiers, ou des angoisses d'une amie proche de Qwilleran, qui est pourtant loin d'être superstitieuse.

Le chat qui remontait la rivière est un roman sympathique et agréable à lire, surtout pour les amateurs de chats... et d'écureuils.
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Le chat qui mangeait de la laine

Il est toujours amusant de lire ou de relire des romans, si on les a appréciés. Le chat qui mangeait de la laine est le deuxième volume des aventures de Qwilleran et de Koko. Jim n'est pas encore un riche héritier - ce ne sera le cas que dans la seconde époque de ses aventures, qui regroupe la majorité des romans. Il est un journaliste, divorcé, presque un célibataire endurci. Il ne boit plus une goutte d'alcool et peine à entretenir son chez-soi, qu'il est d'ailleurs sur le point de perdre. Au niveau professionnel, ce n'est pas tellement mieux : sa "promotion" n'en est pas vraiment une, elle est plutôt un placard un peu mieux aménagé.

Et pourtant, Qwill s'en tire bien, presque trop bien, au désespoir des femmes qui convoitent sa place - comme si la décoration était un domaine strictement réservée aux femmes. Seulement, la suite des événements - un cambriolage, un décès - ne laisse pas de soulever des questions. Les coïncidences, très peu pour Qwill. Il n'en faut pas plus pour réveiller l'enquêteur qui est en lui.

Autant dire qu'on cherche à le décourager, très vite. Autant dire qu'il fait la sourde oreille et mène discrètement ses investigations, tout en continuant à s'occuper du Gai logis avec soin. Les ennuis, les complications ne sont jamais loin. Même Koko fait des siennes ! Je ne parle pas de sa passion subite pour la laine ou la décoration, de petits troubles digestifs, je vous parle de volonté d'aller voir ailleurs si Qwill y est ! En effet, Koko, seul la plupart du temps s'ennuie. Que faire ? Consulter ! Et si vous connaissez un peu la série, vous vous doutez du verdict de la spécialiste - surtout que la première victime laisse derrière elle une charmante siamoise, dont son délicat mari n'a aucune envie d'hériter.

Le chat qui mangeait de la laine est un sympathique roman policier, qui montre des personnages en proie au doute, trahis parfois, machiavélique souvent. Jim et ses amis paient de leur personne dans cette enquête - qui a dit qu'être journaliste était une partie de plaisir ?
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Le chat qui avait un don

Voici donc l'une des dernières enquêtes d'un trio improbable.

C'est fort amusant, plein de fantaisie, un poil décalé bref une lecture qui donne le sourire et que tout le monde devrait entreprendre par ces temps maussades.

Mais alors que nous raconte " Le chat qui avait un don"

La ville de Pickax se prépare à créer un nouveau club pour personnes âgées dans un ancien dépôt de nourriture et de graines, le Old Hulk. Mais le bâtiment prend feu mystérieusement et une jeune femme meurt, piquée par une guêpe.

Jim Qwilleram , célibataire et corpulent va être mêler à ce drame. Et il va pouvoir compter sur le couple de chat siamois Koko et Yom Yom qu'il a élevé car croit-il, ces matous l'aide dans ses enquêtes. surtout que le chat Koko dispose d'un don mystérieux, celui d'anticiper les appels téléphoniques et d'émettre des cris lorsque quelqu'un souffre.

Voici un roman charmant au ton un peu vieillot et un poil suranné qui donne tout son charme à ce récit que l'on lit avec amusement.

À noter aussi l'humour en demi-teinte qui nous enchante et donne un petit côté ludique aux enquêtes de nos félins incroyables et de leur maître...









Un des titres que je recommande fortement dans cette série policière.


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Le chat qui parlait aux oiseaux

Papillons, perroquet et corbeaux



A 600 kilomètres au nord de partout, la vie est (d’ordinaire) assez tranquille, notamment pour Qwill et ses deux chats siamois, KoKo et Yomyom. Qwill écrit des chroniques pour le journal local le « Quelque chose du comté de Moose », fréquente les restaurants de Pickax et des environs où il goûte à loisirs les spécialités locales, participe -quelque fois à son corps défendant- à diverses activités sociales et passe d’agréables moments avec sa bonne amie Polly responsable de la bibliothèque ! Accessoirement et avec l’aide précieuse de KoKo doué de facultés extraordinaires grâce à ses soixante vibrisses, il participe à la résolution d’enquêtes et d’énigmes ! Et d’ailleurs, en ce printemps précoce où Pickax se prépare à deux évènements d’envergure, l’inauguration du centre artistique et le concours d’orthographe, un drame se produit : la ferme Coggin est détruite par un incendie, et sa propriétaire, une octogénaire que de mauvaises langues prétendaient sorcière, est retrouvée morte dans son fauteuil… Une triste affaire qui prend une autre tournure lorsque Qwill apprend que la vieille Mrs Coggin venait de vendre ses terres… pour un prix dérisoire.

J’ai toujours grand plaisir à retrouver les aventures de Qwill et de ses chats. Ces polars délicieusement surannés sont très bien construits et plus complexes qu’il n’y parait. Evidemment, pas de course poursuite effrénée, mais, même à 600 kilomètres au nord de partout, la violence (toute proportion gardée, on n’est pas dans un roman noir !) n’est pas absente…

Une très agréable manière de concilier deux de mes « passions » : les chats et les polars !

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Le chat qui déplaçait des montagnes

Une nouvelle enquête de ce trio improbable.

C'est fort amusant, plein de fantaisie, un poil décalé bref une lecture qui donne le sourire et que tout le monde devrait entreprendre par ces temps maussades. Un des titres que je recommande fortement dans cette série policière.

Mais que nous raconte « Le chat qui déplaçait des montagnes »

Après cinq années de formalités, Jim Qwilleram entre enfin en possession de la fortune dont il a hérité mais qui lui pose un sérieux dilemme : que va-t-il faire maintenant ? Qwilleran décide de partir quelque temps dans les Potato Mountains afin de réfléchir au calme. Mais il va tomber au beau milieu d'une polémique...

C’est la onzième enquête de Ko Ko et Yum Yum

Jim Qwilleram et un monsieur entre deux âges qui tient la critique gastronomique d'un journal de Chicago. Célibataire et corpulent, il élève un couple de chat siamois Koko et Yum Yum qui croit-il, l'aide dans ses enquêtes.

Car des enquêtes, il en pleut autour du cher homme il ne peut emménager où que ce soit sans que les meurtriers se déchaînent autour.

Mais heureusement les Siamois sont là. Une oreille dressée, un frémissement de moustache, une attitude inhabituelle de la jante féline finissent toujours par le mettre sur la piste de l'assassin.

L'équipe de détectives la plus invraisemblable, la plus insolite et la plus délicieuse de l'histoire du roman policier : Koko, un chat siamois au talent extraordinaire doué d'un flair pour le mystère; Qwilleran, un journaliste qui a le nez du crime et Yum-Yum, une adorable siamoise adulée par ses deux compagnons.

Voici un roman charmant au ton un peu vieillot et un poil suranné qui donne tout son charme à ce récit que l'on lit avec amusement.

À noter aussi l'humour en demi-teinte qui nous enchante et donne un petit côté ludique aux enquêtes de notre critique gastronomique et de ses deux matous.

Une série qui me ravie à chaque fois et que j'apprécie toujours autant. Parfait pour cette période de vacances où j'ai du mal à me concentrer et à lire !


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Le chat qui déplaçait des montagnes

Pris d’une soudaine lubie, Jim Qwilleran décide de passer quelques mois à la montagne, en compagnie de Koko et Yom Yom. Il découvre bien vite qu’un meurtre a eu lieu et décide de mener l’enquête.



Ce tome reprend le schéma classique de cette série: un mystère à résoudre, des chats qui participent à la résolution dudit mystère, un journaliste têtu et gourmand, des personnages hauts en couleurs. Ce qui change un peu ici, c’est l’environnement et les protagonistes, puisque nos héros quittent le comté de Moose pour une villégiature montagnarde.



Nous découvrons donc tout un nouveau contexte, sur fond de dissensions entre autochtones attachés à leur terre et citadins décidés à faire de l’argent. Qwill va rencontrer un tas de nouvelles personnes et tenter de démêler le vrai du faux. Contrairement à certains tomes où l’enquête est carrément anecdotique, celui-ci fait la part belle à l’aspect policier et le lecteur peut s’amuser à réfléchir avec les indices qui sont fournis par l’autrice.



Un très bon opus, qui m’a fait passer un excellent moment.
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Le Chat qui jouait aux dominos

La toute nouvelle station balnéaire de Pear Island est le théâtre d’incidents suspects ayant déjà fait un mort. Qwill est sollicité par un ami inquiet et part s’installer sur l’île avec Koko et Yom Yom pour tenter de percer le mystère.



Comme toujours avec les livres de cette série, j’ai passé un très bon moment et j’ai eu le sourire tout au long de ma lecture. Il ne semble jamais se passer grand chose et on n’est pas dans le policier haletant, pourtant c’est toujours difficile de lâcher mon bouquin quand je suis plongée dedans.



On rencontre des personnages déjà connus et de nouveaux protagonistes tout aussi hauts en couleurs. La micro-société de l’île est tout aussi étrange à nos yeux que peut l’être celle de Pickax et l’autrice nous amuse avec leurs manies et leurs histoires, ainsi qu’avec les habituelles anecdotes félines qui parsèment les tomes de cette série.



En résumé: une lecture bien agréable, qui m’a donné l’impression de retrouver de bons amis 🙂
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Le Chat qui inspectait le sous-sol

(...)

Comme toujours avec cette série, on ne peut pas réellement parler d’enquête ou de suspense haletant, même si on rencontre un mystère à résoudre au fil des pages. Le récit repose essentiellement sur le quotidien de Qwill et de ses siamois adorés, les discussions avec les habitants de Mooseville, qui sont tous plus ou moins hauts en couleurs, les facéties des chats et les plantureux repas dégustés par notre trio.



Alors on pourrait penser que c’est ennuyeux, vu qu’il ne se passe, finalement, pas grand chose (les victimes pourraient trouver à y redire, remarquez ^^), mais pourtant ce roman, comme tous ceux de cette série, se dévorent plutôt facilement. Ils sont même assez addictifs. Encore une fois, j’ai été happée par l’ambiance si particulière dans laquelle baignent les aventures de Qwill, Koko et Yom Yom; j’ai souri de la malice des siamois et de l’originalité des personnages; je me suis coulée sans y penser dans le confort généré par ma lecture. Au point que la fin est arrivée trop vite pour mon goût!



Donc, objectivement, ce n’est pas palpitant, pas imprévisible, mais ça fonctionne toujours et j’ai passé un excellent moment avec ce roman. Que je vous recommande donc sans réserve, comme tous les autres titres de la série 🙂 Une lecture parfaite pour le cocooning!
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Le chat qui parlait aux oiseaux

À Pickax, petite ville du comté de Moose, Maude Coggin, 93 ans, a péri dans l'incendie de sa ferme. Accident pour les uns, crime pour les autres... Proche de la vieille dame, le journaliste Jim Qwilleran cherche à éclaircir l'affaire tandis que Koko, son chat siamois extrasensible, montre déjà d'étranges signes de nervosité...
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Le chat qui mangeait de la laine

Encore un "Le chat qui...", je suis désolée mais je suis vraiment accro à cette série et ma mère en a acheté un paquet alors je peux même enfin les lire dans l'ordre. Celui-là est le 2ème, c'est là qu'arrive Yom-Yom, le deuxième chat de Qwilleran.

L'enquête m'a tenue en halène de bout en bout et j'ai passé un très bon moment.

En bref : si vous aimez la série, ce livre est à lire d'urgence et si vous ne connaissez pas, c'est le moment de vous y mettre !
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Un roman policier un peu bizarre, avec une histoire de chat qui lit et qui va aider le personnage principal en le guidant vers la solution de l'énigme. Cela reste farfelu tout le long, j'avoue avoir lu cela sans grand intérêt ni rejet non plus. Une lecture insipide mais pas de souffrance, juste l'envie d'aller jusqu'au bout. Je devrais peut-être m'atteler à toute la série, apparemment il y en plus d'une vingtaine...
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Le chat qui racontait des histoires

Voilà des nouvelles charmantes qui réconcilient avec la vie. J'avais déjà lu ce livre, mais je le reprends pour me reposer de mes dernières lectures : Anita Brookner (fort triste) et Olivier Adam qui m'a complètement traumatisée ! L'auteur prend pour prétexte des chats malicieux pour raconter des histoires curieuses et adorables qui sont vraiment très agréables à lire.
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Le chat qui disait cheese

Nous sommes à Pickax, « à 600 km au nord de partout », alors que la ville organise un forum gastronomique. Une mystérieuse inconnue a élu domicile à l’hôtel de la ville, tandis que Koko et Yom Yom ont développé une passion pour le fromage.



Que dire sur ce roman que je n’ai pas déjà dit à propos d’un autre tome de la série? Si vous aimez les chats et les cosy mysteries où l’enquête tient moins de place que la vie quotidienne des habitants hauts en couleurs d’une petite ville, alors cette série est faite pour vous. Si vous n’êtes pas convaincu-e-s, sachez qu’on y parle aussi beaucoup de nourriture et de livres ^^



Malgré tout, il y a vraiment des crimes et des coupables à rechercher, mais ça reste très soft, pas de descriptions sanglantes. Pickax est un peu comme le St. Mary Meade de Miss Marple, il fait bon y vivre, mais on ne sait jamais qui sera le prochain habitant à y passer 😆



Je n’ai jamais le coeur battant ou un souvenir très marquant des livres de cette série, mais je passe toujours un bon moment et je souris beaucoup en les lisant. Une série parfaite pour combattre un petit moral ou une petite flemme, voire une panne de lecture.
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Le chat qui donnait un coup de sifflet

Je crois bien que c’est le premier livre que je lis de cette auteure maintenant disparue. Je l’ai trouvé en brocante. Sa parution date de 1995 dans la collection Grands détectives de 10/18. Il est très agréable à lire et plein d’humour ! Je me suis même demandé s’il y aurait un meurtre mais tout arrive. Il y a eu un coup de couteau fatal dans la Taverne Trackside alors que les supporters de l’équipe locale de football fêtaient la victoire à plus de la moitié du livre (page 175) et ensuite tout s’est merveilleusement bien enchaîné jusqu’à la surprise finale. Les deux siamois Koko et Yom Yom sont irrésistibles et j’ai vu sur la photo de l’auteure dans Babelio qu’elle aussi possédait un siamois. Ce livre fut un bon délassement.
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Petit roman policier découvert un peu par hasard et qui m'a attirée par le titre.

Un clin d'oeil à l'époque déjà ancienne des "Martine". Enfin, c'est l'effet que cela m'a fait lorsque j'ai découvert les titres de la série, mais mon cerveau fonctionne souvent d'une façon un peu bizarre.

Ce journaliste m'a semblé bien sympathique, un peu paumé, non dénué d'humour et d'envie de bien faire.

Le gros coup de coeur est pour le chat, un chat intelligent et attachant.

Très bonne idée de créer un duo d'un nouveau genre. Halte à l'ère des chiens policiers, voici venu le temps des chats détectives.

L'intrigue n'est pas très compliquée, ce n'est certainement pas LE roman, policier de la décennie, mais l'écriture est agréable. Ce premier roman de la série m'a donné envie de lire le suivant, et rien que ce détail prouve que l'alchimie a fonctionné.

Si vous n'aimez pas les chats, je ne suis pas certaine que ce roman saura vous conquérir.

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Le chat qui aimait la brocante

À quelques jours de Noël, Qwilleran, notre détective félinophile est bien ennuyé. Fauché une fois de plus, il ne lui reste que de quoi payer quelques nuits d’hôtel et il aimerait bien remporter le prix de la nouvelle de Noël d’un montant de mille dollars, que le Daily Fluxion promet au journaliste qui fera le meilleur papier dans cette période festive. Hélas les sujets intéressants se font rares et les jeunes journalistes ont les dents plutôt longues et l’imagination fertile en ce moment.

Qwill se retrouve envoyé “très spécial” dans le quartier de “Came-Village” à la réputation sulfureuse, et qui regroupe une communauté hétéroclite de brocanteurs et antiquaires de tous poils dont les activités ne laissent pas d’intriguer les autorités. Lorsqu’arrivé au domicile de l’un de ces revendeurs de “came”lote en tous genres, une fois installé, il apprend qu’un jeune commerçant est mort en faisant une mauvaise chute, son sens du mystère l’avertit qu’une enquête plus approfondie mérite d’être menée.



C’est avec plaisir que l’on retrouve notre journaliste-enquêteur et ses deux matous Koko et Yom-yom, dans un univers bien particulier, celui de la revente de biens en tous genres et pas toujours “bien acquis”… Lilian J. Braun s’est visiblement fait plaisir en décrivant par le menu tous les genres d’antiquités que l’on peut trouver dans ces boutiques, à croire qu’elle avait l’habitude de les fréquenter assidûment de son vivant. L’enquête progresse doucement mais sûrement et les pistes se multiplient selon les rencontres que font notre enquêteur et ses chats. Un bémol cependant à cette critique, on a connu intrigue plus serrée de la part de l’auteur et ce n’est sans doute pas son meilleur opus, j’ai d’ailleurs assez vite démasqué le (ou la) coupable. Reste une histoire assez pittoresque et qui vaut tout de même le temps qu’on passe à la lire.
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Le chat qui avait un don

Dernier roman de la série du Chat qui...L'auteur devait savoir qu'elle n'en écrirait plus. Il est plus sombre, une page se tourne dans la vie de Qwill, et pas des moindres, après bien des années passées à Pickax.

Les hypothèses de lecture laissent le lecteur libre d'imaginer l'avenir de ce personnages récurrent et de ses chats.
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Le Chat qui inspectait le sous-sol

Jim décide de passer trois mois dans son chalet au bord du lac, à près d'une heure de route de Pickax. Il espère le grand air, le repos, les ballades et son inspiration pour ses chroniques bi-hebdomadaires.

Au lieu de cela, il décide de rajouter une aile à son chalet, mais rien ne se passe comme convenu. Il y a une épidémie de mort violente de charpentier dans le secteur, et à nouveau Mr Q se retrouve impliqué dans une enquête.



Qwill va vite se rendre que la petite communauté de Mooseville héberge de drôles d'oiseaux. Entre multiples pépins, morts fracassantes, tempête et risque de noyade, trois semaines de vacances sont bien vite passées!!!
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

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