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Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
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Le Chat qui n'était pas là

Quand je n'arrive plus à me concentrer et à profiter de mes lectures, je retourne vers la série des Chats de Qwilleran. Le calme, la sérénité reviennent avec ces romans. Idéal en période difficile, indispensable pour ma survie mentale! Essayez...
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Le chat qui parlait aux oiseaux

Comme d’habitude, Qwill tatillonne dans ses habitudes, a l’art de monter en épingle des évènements insignifiants.

Cette fois, il joue carrément les assistantes sociales.

L’intrigue n’est guère plus épaisse que dans les autres romans de la série, mais ça fait du bien une petite récré de l’esprit entre deux livres plus copieux.

Et puis, Koko est quand même un super chat qu'on retrouve avec plaisir.

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Le Chat qui remontait la rivière

Qwill séjourne quinze jours au Pays d’En-Bas, à l’auberge Casse-Noisettes.

Plus que jamais, il se mêle de tous les évènements, met son grain de sel, participe aux activités, fait des manières, subit sa popularité, sans jamais se départir de son calme flegmatique.

Pourtant, deux meurtres, un suicide est une crise cardiaque.

Mine de rien, entre repas et spectacles, il mène sa petite enquête avec l’aide de Koko et YomYom.

Ah ! ça repose un petit Jackson Braun de temps en temps !

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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

C'est avec une réelle gourmandise que j'ai lu ce livre (premier d'une longue série du genre) relatant les enquêtes "félino-policières" de Jim Qwilleran et de son chat siamois Koko, lequel est doté d'un sixième sens pour le moins surprenant. Si vous n'appréciez que les polars réalistes et poisseux à la James Ellroy (que j'adore par ailleurs), passez votre chemin ! Certes des crimes ont également lieu ici, mais c'est bien là le seul point commun que l'on pourrait trouver entre ces deux catégories de romans.



Le héros de Lilian Jackson Braun, Jim Qwilleran, n'a rien d'un fringant jeune officier : il s'agit d'un ancien chroniqueur criminel que des problèmes de boisson ont mis sur la paille et qui doit se contenter d'accepter le travail qu'on lui donne, dans un domaine très éloigné de ses compétences. Le passé de l'auteur, journaliste elle-même, ainsi que ses goûts pour l'art et la gastronomie ressortent tout au long de l'histoire, créant une atmosphère feutrée et plaisante pour qui partage ses passions, chats y compris !



... la suite sur mon blog !
Lien : http://lafautearousseau.over..
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Le Chat qui sniffait de la colle

La série des chats qui... est un petit délice pour un moment de détente, de plaisir et de bonne humeur. A lire dans l'ordre, ou dans le désordre, chaque livre ayant une histoire indépendante malgré des personnages et des héros félins récurrents. Il ne faut pas s'attendre à du polar noir, mais les péripéties vécues par le journaliste Jim Qwilleran sont dignes des grands romans policiers. Signes particuliers, il est entouré de deux chats, dont l'un, Koko, a d'un flair infaillible et d'un nombre de moustaches hors norme, donnant à ce siamois de grande lignée un don, que seul Qwill sait exploiter. Il faut dire qu'il est lui-même doté d'une moustache qui le titille au moindre fait louche; Ah, qu'ils font bien la paire ces deux-là!!!

Ce titre est construit différemment des autres. Chaque chapitre s'ouvre comme une scène de théâtre, avec des didascalies initiales.

Dans le volume précédent, nous laissions la belle demeure Klingenschoen en cendre. Cette fois, les travaux ont commencé pour en faire un théâtre municipale. Mais les répétitions sont troublées par le meurtre d'un des acteurs amateurs et de sa femme. Assassinat, crise cardiaque, suicide et accidents mortels s'enchainent, comme d'habitude, et les moustaches de Koko et de Qwill frémissent.
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Après avoir lu la quasi totalité des aventures de Mr Q et de Koko dans le désordre, j'ai pour projet de relire la série dans l'ordre ... un jour peut-être quand ma pal aura diminué !

En attendant, je viens de me replonger dans le numéro 1, petite récréation entre deux lectures "urgentes". (Surtout histoire de voir si ça peut être mis entre les mains de mes petites-filles, qui se sont lancées dans la lecture d'Agatha Christie.)



J'ai dit plusieurs fois que j’aimais particulièrement cette série (en dehors du fait qu'il y ait des chats !) à cause de l'ambiance du Pays de Pickax, de cette petite ville où on finit par connaître tout le monde.



Or, la série commence au pays d'En-Bas (pas encore baptisé ainsi bien entendu) pour quelques épisodes, et je me demandais si j'allais apprécier.

Je l'avais déjà lu il y a plus de 20 ans, et ne me souvenais que de quelques passages.



J'ai été agréablement surprise.

En effet, si dans les derniers volumes de la série que j'ai lu (les derniers parus) l'ambiance prime nettement sur le côté policier, et même sur l'histoire, ici, il y a une vraie intrigue, une bonne présentation des personnages, et une histoire qu'on suit agréablement, sans lassitude.

En outre, il est d'autant plus agréable de découvrir James Qwilleran, et Kao K'o Kung, qu'on sait ce qu'ils deviennent ensuite.

Intéressant donc de connaître un peu le parcours de notre journaliste préféré, de le voir aux prises avec le manque d'argent, avec le souci de se faire reconnaître et de trouver un travail, etc ...

Amusant quand on sait ensuite ce qu'il va advenir.

Amusant aussi de voir ses premiers contacts avec le chat, d'abord tout à fait involontairement de sa part, une obligation à supporter. Puis une attirance de plus en plus marquée.



Pas mal d'humour aussi dans ce roman, puisque soucieux de retrouver un travail dans le milieu du journalisme, Mr Q va se voir confier le domaine culturel, auquel il ne connait strictement rien. Chargé de la rubrique spectacle, il doit en outre collaborer, ou supporter, ou éviter, le personnage en charge de cette partie. Personnage haut en couleurs et particulièrement détesté de façon assez générale.



Très intéressant de suivre le parcours de Qwilleran, avec quelques allusions à ce qu'il a fait jusque là. Je vais continuer de les (re)découvrir dans l'ordre.

Il me reste à dénicher le volume 5, Le Chat qui Jouait Brahms. Ce n'est pas le seul qui me manque, mais le seul dans les neuf premiers, et un tome essentiel puisque celui où Qwilleran va découvrir le pays d'En Haut. (Finalement, ça y est, je l'ai !)



Un conseil si vous ne connaissez encore pas du tout cette série : vous pouvez choisir de commencer par le numéro un, ou au contraire vous lancer tout de suite dans la découverte du Pays d'En Haut (à partir du 5 ou 6, voire plus loin). Mais surtout, évitez de commencer par un des derniers parus. Vous risquez d'être déçus et de ne pas vouloir aller plus loin. L'intrigue disparaît presque au profit de la vie dans la communauté de Pickax. A réserver aux fans de la série !
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Le chat qui allait au placard

(...) Je commencerai par vous déconseiller très vivement de lire la 4e de couverture, qui révèle beaucoup trop d’éléments de l’intrigue à mon avis. Je lis les titres de cette série sans regarder les résumés, car je fais totalement confiance à l’autrice, donc je n’ai pas été spoilée, heureusement pour moi.



Ce n’est pas que les intrigues de ces romans soient extrêmement palpitantes ou pleines de suspense: souvent le mystère n’apparaît que tardivement et sa résolution reste en arrière-plan, tandis que nous suivons la vie quotidienne du comté de Moose et de ses habitants, tous plus hauts en couleurs les uns que les autres. Mais vous risquez d’attendre des évènements qui arrivent assez tardivement dans le récit…



Ici les réflexions de Qwill tiennent plus de place que dans les derniers tomes que j’ai lus, en conséquence de quoi les personnages qui peuplent cet univers si particulier sont moins nombreux et moins présents. Du coup, si j’ai trouvé l’évolution de « l’enquête » plus intéressante, le récit en a, selon moi, perdu un peu de son charme.



Cet opus n’en reste pas moins une très bonne lecture. Je retrouve toujours avec plaisir Qwill, ses siamois et leur entourage, ce sont vraiment des livres parfaits pour le cocooning 🙂
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Le chat qui connaissait un cardinal

Un meurtre a lieu dans le jardin de l'ex-journaliste, Jim Qwilleran et l'homme assassiné n'était pas très apprécié dans la communauté et de ce fait, tout le monde est suspect.

C'est toujours un éternel bonheur de retrouver Qwill et surtout lorsque, comme dans cet épisode, il mène vraiment une enquête !

Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce tome, rondement mené et avec tout ce qu'il faut de suspens.

En bref : à lire !
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La vie secrète du chat qui...

Un petit recueil qui reprend des anecdotes de Qwill sur ses chats, mais elles sont déjà parues dans l'ensemble des romans de la série, depuis la première rencontre de Qwill et de Koko. Pour un lecteur attentif des romans de la série, il n'y a là rien de bien original.
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Le Chat qui cassait la baraque

Un petit changement pour l'auteure qui ouvre son roman par une lettre à ses lecteurs. Elle nous présente la façon dont Jim Qwilleran est entré dans sa vie vingt cinq plus tôt. Ce personnage, ses chats, sa vie et sa moustache.



Dans cette histoire, nous voici confronté à une dame de 82 ans, ex-propriétaire d'un club privé d'Hollywood, de retour au pays pour y finir ses jours, "pour y mourir, mais pas tout de suite".



Elle amène avec elle ses chapeaux extravagants, ses bijoux voyants, ses perroquets flamboyants, son employée effacée et son neveu magouilleur...



Encore une histoire de famille, de magouille, à la hauteur du talent de Koko.

Encore une occasion pour Qwill de quelques rencontres nouvelles et de quelques idées pour "la plume de Qwill."
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Le chat qui parlait aux oiseaux

Les nouveaux personnages croisés dans ce roman sont très pittoresques : Maude Coggin la nonagénaire , le jeune Culvert et ses parents en particulier. Ce sont des gens simples et travailleurs, de véritables braves gens. Je ne sais pas si je les croiserai dans les tomes suivants, mais ça me ferait plaisir ! Quant à tous ceux que l'on retrouve d'un tome à l'autre, ouvrir un roman de Lilian Jackson Braun me donne l'impression de rendre visite à de la famille ! C'est un plaisir de les voir évoluer, changer de carrière, de vie de famille, grandir, vieillir aussi ...

L'enquête de ce tome est passionnante : sur fond de magouilles politiques, immobilières, Jim Qwilleran va aider à démasquer un vrai "pourri". En parallèle, la petite ville de Pickax subit un peu malgré elle le progrès de la fin du siècle : informatisation , le tourisme encore et toujours, l'installation de nouveaux commerces... Les habitants sont plutôt réfractaires à tout ce bouleversement de leurs habitudes, ce qui donne lieu à des passages plutôt drôles !

Koko et Yom Yom sont toujours aussi malicieux et surprenants.

On découvre aussi Qwill en grand jaloux, ce qui est très amusant parce que dans les 15 premiers tomes il nous a montré son coté "célibataire séducteur un brin misogyne" !

L'atmosphère de ce roman est un vrai bonheur : l'humour de l'auteur, les paysages qui servent de décor à l'histoire, l'enquête, les personnages, tout m'a plu ! Je ne me lasse pas de cette merveilleuse saga.
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Le chat qui jouait au postier

Qui a tenté de tuer Jim Qwilleran , le nouvel héritier des milliards Klingenschoen ? Jim ne le sait pas encore, alors qu’il se réveille amnésique sur la lit de la clinique de Pickax, dans le pays d’en haut.

Deux mois plus tôt, Jim s’installait dans la majestueuse demeure Klingenschoen comme le stipulait son testament. Grâce à Koko, son chat siamois, sa moustache frémit, et il peut s’empêcher de mener une enquête sur la disparition d’une jeune fille cinq ans plus tôt ? Cette enquête ne sera pas sans conséquence.

Derrière les façades bourgeoises et policées des grandes familles de la région, derrière leur vernis de respectabilité, se cache parfois les secrets les moins avouables.

Alors, il n’y aurait pas de crimes, là-haut ? Et pourtant, Monsieur Q ne risque pas de s’ennuyer !





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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

A travers une écriture simple et plaisante, l'auteur nous invite à la découverte de bien curieux personnages. Enigmatiques et colorés, ils nous entrainent dans des aventures rocambolesques intéressantes et sympathiques. Si la trame pourra rapidement sembler simpliste, c'est sans compter sur le ton employé par Lilian Jackson Braun pour charmer ses lecteurs et les entrainer dans un univers fait d'art et de distinctions. Une lecture sans grandes prétentions, plaisante et sympathique.
Lien : http://art-enciel.over-blog...
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Le chat qui lisait à l'envers est la premier tome, d'une longue série policière écrite par une américaine, paru en 1966 dans un style so british. On découvre un personnage qui va être celui que l'on va suivre dans les autres histoires. Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel devenu journaliste artistique. Il n'y connaît rien en art, mais c'est d'autant mieux. Son trait physique caractéristique c'est sa moustache qui le titille par moment. Il n'aime pas l'alcool et adore boire des jus de tomates.



Bienvenu au coeur d'un journal, avec l'odeur du vieux papier, le bruit des machines à écrire et aussi le fameux Club de la presse où le serveur connaît pleins de ragots. Son journal le Daily Fluxion, était surtout réputé pour sa rubrique artistique avec les articles de George Bonifield Mountclemens III qui n'hésite pas à être acerbe et sans pitié. Ce dernier va être au coeur de l'intrigue qui va composer l'histoire. Jim va rencontrer George chez lui et toute sa vie va se transformer.

Suite à cela, il a un petit appart pour pas cher juste à l'étage en dessous de son compère journaliste et un nouvel ami très spécial. Un chat siamois à l'instinct développé au nom Kao k'o Kung dit Koko.



Le patron d'une agence d'art meurt assassiné, puis George Bonifield Mountclemens III, un artiste nommé Ciseau mais qu'est-ce qui relit toutes ces personnes? Un tueur en série? Il veut mener l'enquête pour comprendre et le chat va beaucoup l'aider. D'ailleurs, sans lui il n'aurait rien compris, il serait d'ailleurs même mort.



L'histoire n'est pas structurée comme peut l'être à un Agatha Christie. Ici tout est lent, calme et tranquille. Pas de précipitation pour découvrir la ville, les gens, les artistes, on a le temps. L'avantage, cela vide la tête. La lecture ne stress pas et ne perturbe pas. La lecture d'un nouveau tome dans quelque temps n'est pas à exclure.
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Le chat qui allait au placard

Toujours autant de plaisir pour ces moments de lecture détente. A découvrir et /ou redécouvrir .
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Le chat qui faisait la bombe

J’ai découvert cette série il y a une dizaine d’années. Bien sûr, je ne pouvais pas passer à côté : une série policière mettant en scène un chat détective. Depuis, j’ai lu la série dans son intégralité pratiquement.

La série comprend 30 titres, dont le dernier est inachevé (et non traduit en français) car Lilian Jackson Braun est décédée récemment à l’âge honorable de 97 ans. Les premiers tomes se passent dans une grande ville américaine et ont été écrits dans les années 60. Mais à partir du cinquième tome (écrit dans les années 80), l’action se déroule dans le comté de Moose, région imaginaire située à 600 km au nord de partout. A partir de là, la romancière crée une véritable communauté de personnages qui se retrouvent d’un tome à l’autre et dont on suit l’évolution. C’est finalement la véritable richesse de cette suite de récits dont les intrigues policières constituent davantage un prétexte à retrouver les habitants de Pickax qui sont de joyeux lurons qu’à vivre un véritable suspense ou une intrigue palpitante.



Les héros sont le journaliste Qwilleran, sympathique célibataire à la célèbre moustache, mais surtout ses deux chats siamois Koko et Yom-Yom. Yom-Yom est une délicate femelle tandis que Koko, diminutif de Kao-Ko-Kung, est un mâle astucieux qui utilise mille subterfuges pour mettre Qwilleran sur la piste des coupables. Il pousse un cri particulier quand un meurtre va être commis, fait tomber des livres en rapport avec la solution ou encore lèche la photo du coupable. Malheureusement, la série est assez inégale et certains volumes sont franchement en-dessous des autres. Mais si comme moi, vous vous êtes attachés aux personnages et aux habitants du comté de Moose, vous les retrouverez avec plaisir à chaque lecture. Un autre bémol consiste dans la répétition de certains faits d’un livre à l’autre qui peut être barbante pour le lecteur fidèle, surtout s’il lit les différents opus de manière rapprochée. Mais cela reste une série très divertissante qui a connu un immense succès mondial et qui ne pourra que séduire les passionnés de chats.



Dans Le chat qui faisait la bombe, la ville de Pickax va fêter ses 150 ans et, à cette occasion, de nombreuses festivités se préparent. C’est l’occasion pour les Ledfield, un couple fortuné, d’accueillir leur neveu. Ce dernier demande à Qwill s’il peut venir dessiner la grange pour ses études d’architecture. Mais dès son arrivée, Koko est pris d’une curieuse frénésie et se jette du balcon sur le jeune invité, telle une bombe … Que lui arrive-t-il ?



Un bon cru, bien dans la veine de la série, qui suit une ou deux déceptions. J’ai été ravie de renouer avec Koko et Yom-Yom que j’avais abandonné depuis quelques temps. Mais je suis triste qu’il ne me reste plus qu’un tome à découvrir.
Lien : http://www.chaplum.com/le-ch..
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Le chat qui connaissait Shakespeare

Jim Qwilleran vit depuis un an à Pickax où il prend ses marques.

Le journal local prend feu le lendemain de la mort de son propriétaire.

Voilà de quoi intriguer Qwill, d'autant que Koko n'arrête pas de faire tomber des livres de Shakespeaare de la bibliothèque.

Lecture calme et tranquille sans qu'il se passe grand chose.
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Le Chat qui volait une banque

Le chat qui collectionnait les pennies

A Pickax on a beau être à 600 kilomètres au nord de partout, on s’apprête à vivre un mois de septembre palpitant ! Il y a évidemment les Jeux des Highlands où jeunes et moins jeunes montrent tout leur savoir-faire écossais, notamment le lancer de tronc d’arbre. Le vieil hôtel historique rouvre enfin, complètement restauré et son restaurant s’est doté d’un chef renommé du Pays d’En Bas : de quoi attirer la clientèle la plus chic et notamment un certain Delacamp, un joaillier qui vient périodiquement acheter les bijoux dont ces dames désargentées sont obligées de se séparer. Delacamp (le vieux Campo comme le surnomment certains) est toujours accompagné d’une jeune demoiselle, jamais la même, mais toujours présentée comme sa nièce, de quoi occuper les quelques mauvaises langues de Pickax. Le clou de la visite du vieux Campo est le thé qu’il donne –cette fois dans la grande salle de réception de l’hôtel- et à l’occasion duquel les bijoux sont présentés. Les affaires marchent bien, jusqu’à cette nuit funeste où Delacamp est étouffé dans son sommeil. Le lendemain, la « nièce » a disparu, mais inexplicablement, les bijoux ne semblent pas avoir été volés… Que s’est-il vraiment passé ? Evidemment, on peut compter sur Qwill et ses chats Koko et Yomyom pour trouver le fin mot de cette histoire.

Ce « chat qui… » est d’excellente facture (ce n’est pas forcément le cas de tous les volumes qui composent cette série : je les ai presque tous, et je vois que j’arrive bientôt au bout…) ! Qwill et les chats sont en très grande forme et l’intrigue, très bien construite réserve quelques surprises. C’est aussi l’occasion pour Qwill de plonger dans ses origines et certains passages sont assez émouvants. Mais bien entendu, c’est Koko qui tire la couverture à lui. Ce chat extraordinaire aux dons multiples (peut-être est-ce du à ses vibrisses surnuméraires ?) qui ne fait rien par hasard, est bien la star incontestée de ce petit cosy-mystery ! Yomyom est plus contemplative même si elle n’est pas la dernière pour participer aux petits jeux de son compagnon et apporte toujours par sa seule présence une touche délicate aux intrigues parfois sombres qui peuplent ces romans.

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Le chat qui mangeait de la laine et autres ..

Ce livre rassemble : Le chat qui lisait à l'envers - Le chat qui mangeait de la laine - Le chat qui aimait la brocante.

Trois enquêtes de Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel devenu journaliste, qui est confronté à des morts suspectes au cours de ses investigations et reçoit l'aide de Koko et Yom Yom, ses chats siamois dotés d'un flair infaillible.

Et on aime le charme gentiment rétro et parfois invraisemblables de ces félines enquêtes.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Le Chat qui sniffait de la colle

A priori, il y a une suite dans ces livres et j'ai attaqué par le 8 ! ce n'est pas très grave puisque je ne compte pas lire les autres livres car je n'ai pas eu de coup de coeur , au contraire ...

Jim Qwilleran est un célibataire riche qui vit avec ses deux siamois dans une petite ville tranquille jusqu'à ce que déroule l'innommable : le meurtre de 2 personnes très connus vers chez eux . Grâce à des indices donnés par ses chats et sa curiosité , il va pouvoir mener l'enquête !

Une lecture pas assez entraînante à mon gout personnel !
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

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