Ma mère estimait qu’un seul homme ne suffisait pas à son bonheur, mais elle appréciait trop la sécurité du mariage pour y renoncer. Comme mon père voyageait énormément, elle avait tout loisir de se distraire sans pour autant manquer à son rôle de parfaite maîtresse de maison dès qu’il revenait. J’ai découvert ses activités extraconjugales quand j’avais dix ans. Les gens ne se gênaient pas pour parler ouvertement devant moi. Nous vivions dans une petite ville et ma mère faisait le sujet de tous les ragots. Mon père ne pouvait pas les ignorer, mais il n’a jamais rien dit. Il aimait trop ma mère pour lui faire le moindre tort, si bien qu’il a souffert toute sa vie en silence. J’ai juré que jamais je ne vivrais la même chose.
Elle le connaissait seulement de réputation, par les articles et les photos parus dans les journaux. La trentaine, célibataire, il était aussi célèbre pour ses plaidoiries retentissantes que pour ses succès féminins. Une cour d’admiratrices le suivait partout. Lisa devait être la seule femme du pays à faire exception. C’était exactement le genre d’homme qu’elle préférait voir de loin, et il fallait qu’elle travaille avec lui !
Un ordinateur aurait plus de cœur que lui. Il fonctionne comme une machine.
Un homme mûr ne courtise pas une ravissante jeune femme de vingt ans sa cadette. Surtout si l’homme en question est l’un des principaux associés d’un important cabinet d’avocats.
Elle dont le calme était connu, il suffisait d’un mot, d’un regard de ses yeux bleus pour que cet homme la mette invariablement dans tous ses états.
L’astrologie, c’est une fantaisie. De toute façon, je ne veux pas savoir ce qui va m’arriver, je préfère avoir la surprise…
Il est très bel homme et plus jeune que moi. Je connais beaucoup de filles qui payeraient cher pour un regard de lui.
Les machines elles-mêmes ont besoin de ralentir de temps en temps