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3.68/5 (sur 11 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Los Angeles, Californie , 25/01
Biographie :

Lindsey Rosin est auteur, réalisatrice et productrice.

Diplômée de l’Université de Pennsylvanie, elle a toujours aimé écrire des histoires, que ce soit pour le théâtre, la télévision ou le cinéma.

Elle a ainsi créé des scénarios pour de célèbres chaînes américaines, dirigé plusieurs comédies musicales et a gagné de nombreux concours de dramaturgie.

"169 jours pour le faire" (Cherry, 2016) est son premier roman.

Elle vit à Los Angeles avec son mari.

son site : http://lindseyrosin.com/
Twitter : https://twitter.com/lindseyrosin?lang=fr

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Ses préférées étaient celles de Yoda.Alex trouvait qu'elles ressemblaient à ses pensées.
Désordonnées,mais malgré tout logiques et sensées.
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Parfois,la vérité semblait plus fausse qu'un vrai mensonge.
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Les gens normaux sont ceux qu'on ne connaît pas encore.
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Emma murmura au reste de la Bande que si elle aimait les photos c'était parce que, une fois prises, elles ne changeaient jamais, contrairement à leurs sujets.
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Ma mère dit toujours que le déjà-vu, ça signifie qu'on est en train de faire ce qu'on est exactement censés faire.
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Vanessa Martin était la fille la plus aimée et la plus détestée des secondes. Tout dépendait de qui parlait : les garçons adoraient ses débardeurs décolletés, ses soutiens-gorge rembourrés, ses minuscules shorts, son rire aigu et sa manie de suçoter tout ce qui lui passait sous la bouche, crayons, sucettes ou mèches de cheveux ; les filles la haïssaient pour les mêmes raisons.
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Les orgasmes restaient un domaine mystérieux. Elles avaient comparé leurs baisers, bien entendu, discuté de langues, de dents et de salive, et comment les gérer ; elles avaient donné leur avis sur leurs seins, ce qu’elles aimaient et quel degré de pression leur donnait la sensation d’être des vaches qu’on trayait ; elles avaient échangé des dick-pics, des histoires de suçons et des appréciations sur les garçons qui savaient dégrafer, d’une main, leurs soutiens-gorge ; elles avaient, en gloussant, discuté de ce qu’elles faisaient de leurs mains, de leurs lèvres, de leurs dents et de leurs langues à proximité de la nuque d’un garçon, de sa bouche, de son sexe… Elles avaient même comparé toutes les tailles, toutes les formes et toutes les couleurs possibles de pénis, exprimé leur opinion sur le rasage et sur l’épilation, confié ce qui les excitait vraiment…
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Elle n’avait jamais – jamais – commandé le même parfum de glace deux fois. Le Bigg Chill changeait sa carte tous les dimanches ; et chaque dimanche, Alex prenait son temps pour tester toutes les nouveautés. Elle finissait toujours par choisir le parfum le plus excentrique, comme Oréos-cheesecake, ou litchi-menthe. Ce jour-là, elle s’était décidée pour caramel-crème anglaise.
Avec sa beauté naturelle, elle pouvait se permettre des choix audacieux. Elle avait des jambes interminables, une peau d’un magnifique café-au-lait et des yeux bleus qui semblaient plonger au fond de votre âme. En un mot, elle était éblouissante.
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En cet instant précis, elle ne voulait qu’une chose : dormir. Si seulement elle avait pu éteindre son cerveau…
Trop de pensées, trop d’émotions le remplissaient ces derniers temps. Elle réfléchissait trop. Certains soirs, il lui suffisait de se masturber pour le mettre hors service quelques heures. Cette nuit-là, l’idée ne la tentait pas. Même en faisant l’effort de s’y mettre, elle n’était pas sûre de réussir à « finir », à voir le feu d’artifice. L’idée la déprimait plus qu’autre chose.
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La partie amusante de ces coups de fil tardifs – leurs « berceuses téléphoniques », comme ils les appelaient – était qu’ils n’avaient rien de sexuel ou de romantique. Même si, à la base, ils étaient d’accord sur le fait qu’il était impossible pour un garçon et une fille d’entretenir une amitié platonique, ils estimaient qu’ils étaient l’exception qui confirme la règle.
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