« Il est l’heure de me délester d’une partie de ma rage. Enfin, du moins, d’essayer. Le shoot apaisant ne dure que quelques instants. Et puis, boom, c’est le retour brutal à la réalité. »
« — Qui je suis est sans importance. Mais qui nous sommes est essentiel. (Il nous désigne tour à tour.) Tu es ma promise. Toi et moi sommes mari et femme.
— Tu délires !
— Pas du tout. »
« Je ne suis pas folle. J’ai dansé sur l’eau. Ce mec n’est pas humain. C’est Poe qui a fait ce miracle ! »
« Nous sommes des dieux. Je suis Poséidon, et toi mon épouse Amphitrite. Tu vivras et régneras à mes côtés, car telle est ta place. La maladie et la mort ne t’arracheront pas à moi, je briserai les Enfers de mes mains s’il le faut ! »
« Parce que ce type n’était pas réel. Qu’il m’a sauvé la vie (à poil !) dans un parking crasseux, en balançant des éclairs sur mon agresseur. Et qu’il s’est évaporé après m’avoir donné un dernier baiser. »
« Seule sa gorge est à nu ; j’y discerne ma chaîne ornée d’un taureau, symbole de ma puissance. Elle est donc ici en toute connaissance de cause. Étrange. »
« Je passe outre ton sale caractère, car il m’a manqué, et que je crains trop ta colère, ma femme. Mais tu redeviendras mienne, quoiqu’il m’en coûte. »
« Ses prunelles me détaillent des pieds à la tête, comme si j’étais la plus belle merveille du monde. »
J'ai dû manquer d'oxygène ou prendre un coup sur la tête, car ce que je vois ne peut être réel.
« Je ne vis que pour la protéger.
Je suis le dieu de l’ivresse.
Et j’ai choisi ma femme. »