Lison Carpentier

Je viens de terminer ce roman et j'ai beaucoup apprécié. Je lis peu de thrillers français mais j'ai suivi celui-ci avec beaucoup d'intérêt.



Une enquête glauque certes, mais très prenante avec des chapitres courts. Par contre, je n'ai pas réussi à m 'attacher au personnage principal, que j'ai trouvé froide et peu attachante.



Je n'avais pas deviné la fin plutôt surprenante.

Clémence, photographe et passionnée d'exploration urbaine, se retrouve face à un adolescent enchainé et torturé alors qu'elle visite une prison abandonnée. Un acte aussi barbare dans un décor aussi lugubre, c'est un très bon début pour ce roman !



J'ai passé un bon moment avec Ravages, dès les premiers chapitres Lison Carpentier nous offre une affaire sombre et tortueuse. Son personnage principal, Clémence, va vite avoir des réactions surprenantes qui vont la faire côtoyer la frontière entre victime et coupable. Un choix risqué mais judicieux car j'avais envie de savoir comment elle allait pouvoir se sortir de cette situation. Car cette découverte troublante dans la prison n'est que le début d'une enquête sinueuse.



Une enquête où quelques passages, assez sombres, m'ont rappelé l'ambiance que l'on retrouve dans certaines mise en scène du thriller Ne la réveillez pas de Angélina Delcroix. Et ce n'est pas pour me déplaire, au contraire ! Ici, l'auteure en profite également pour intégrer des faits de société bien réels à son intrigue, comme les violences domestiques, le trafic sexuel et d'autres que je vous laisse découvrir... Des injustices présentées sans poudre aux yeux et donnant un aspect plus concret à la noirceur de cette enquête.



Je garderai un très bon souvenir de cette lecture et je vous la conseille.
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L'autrice nous propose une histoire passionnante et palpitante, une vraie course contre la montre et contre la mort, de quoi happer le lecteur dès les premières lignes et ne plus le lâcher jusqu'au dernier chapitre. Le style est fluide et accrocheur et soutient ce récit rythmé et sans temps mort. Autant dire qu'elle frappe très fort et qu'elle nous offre un thriller qui vaut largement le détour.



Clémence est une jeune femme sans histoire passionnée d'exploration urbaine. Alors qu'elle se lance dans la découverte d'un nouveau lieu conseillé par un contact, elle va se retrouver au coeur d'une histoire complètement folle et sanglante, de quoi bouleverser sa vie de bout en bout. Qui peut lui en vouloir au point de jouer à un tel jeu avec elle? Pourquoi avoir enlevé son fils? Quel est le but de tout cela?



Il vaut mieux vous accrocher, car l'autrice nous réserve des surprises en pagaille! Ici les rebondissements sont légions et la toile dans laquelle elle nous enferme est tellement bien tissée et bien pensée, qu'elle arrive à nous surprendre à de nombreuses reprises. Cela fait que le lecteur en demande toujours plus et qu'il se passionne totalement pour cette intrigue originale.



J'ai retrouvé ici tous les ingrédients que j'adore dans les thrillers et j'ai dévoré ce roman. Je me suis très vite attachée aux personnages, même s'il est bien compliqué de savoir sur quel pied danser avec eux dans ce drame. Savons-nous vraiment tout? Les personnages jouent-ils franc jeu? Tant de questions qui nous font tourner les pages sans nous en rendre compte pour arriver à un final explosif et qui clôt cette histoire en toute beauté!



En bref, voilà un thriller comme je les aime avec son histoire palpitante, sanglante et complexe, et ses personnages attachants et passionnants à découvrir. Que demander de plus?

Lorsque Lison Carpentier m'a contacté pour me proposer de découvrir son premier roman, je n'ai pas hésité bien longtemps parce que le résumé me tentait vraiment beaucoup. C'est moche à dire mais j'aime beaucoup les thrillers un peu dérangeants, un peu sanglants et originaux. Je remercie Lison de m'avoir permis de me plonger dans son univers.



Clémence Duchesnay, trentenaire divorcée, partage sa vie entre son métier de photographe pour un magazine géographique et sa passion pour l’exploration urbaine.Lors d’une escapade dans l’ancienne prison de Rennes, elle découvre un jeune garçon agonisant dont le corps mutilé porte une inscription gravée sur le torse.Dès lors le cauchemar commence : prise au piège, Clémence commet l’irréparable et se trouve confrontée à un monstre sadique, pétri de vengeance qui utilise les lieux explorés par la jeune femme comme scène d’exposition de ses crimes. Lorsque son propre fils disparait, Clémence n’a d’autre choix que d’accepter le chantage de son bourreau et de suivre ses traces.



Je suis un peu embêtée parce que, si j'ai globalement bien aimé ma lecture, je n'ai pas spécialement accroché avec le personnage de Clémence qui est pourtant l'héroïne de toute cette histoire. C'est une jeune femme qui pratique l'urbex toute seule et qui n'a pas été épargnée par la vie et qui semble bien partie pour subir d'autres moments difficiles. J'ai d'ailleurs eu un petit souci avec le début du roman parce que je n'ai pas compris comment cette mère de famille a pu accomplir le geste qu'elle aura envers le jeune garçon. Du coup, je crois que je n'ai pas toujours compris ses réactions au fil des pages, et je n'ai pas été très encline à tenter de mieux la cerner et l'apprécier.



Ceci étant dit, le roman est plaisant à parcourir, peut-être quelques longueurs par ci par là mais ça c'est parce que je chipote un peu. J'ai passé un moment agréable en compagnie de ce roman, je l'ai même lu assez rapidement en fait. Il a suffit que je trouve le temps de me lancer pour ne plus lâcher mon livre. J'avais très envie de connaitre le dénouement de tout ça.



J'ai bien aimé la plume de Lison, efficace sans être pesante, sans fioritures certes mais le thriller ne s'y prête pas vraiment. Le récit est bien construit, il y a une bonne dose de suspense qui fait que le lecteur s'interroge au fil des pages et je trouve ça important de ne pas deviner la clé de l’énigme tout de suite. J'aime me faire trimballer par les auteurs et Lison est parvenue à me tenir en haleine et à garder mon attention tout au long du récit. Pour un premier roman, je le trouve bien réussi.



Petit point négatif parce que je ne suis que futilité : la couverture ne me plait pas trop, je la trouve un peu terne. En fait, elle ne correspond pas à mes goûts mais bien évidemment, il ne faut pas s'arrêter à ce détail !



Une découverte très sympathique !

𝙲𝚕𝚎́𝚖𝚎𝚗𝚌𝚎, 𝚙𝚑𝚘𝚝𝚘𝚐𝚛𝚊𝚙𝚑𝚎 𝚙𝚊𝚜𝚜𝚒𝚘𝚗𝚗𝚎́𝚎 𝚍’𝚞𝚛𝚋𝚎𝚡, 𝚜𝚎 𝚕𝚊𝚗𝚌𝚎 𝚜𝚎𝚞𝚕𝚎 𝚊̀ 𝚕𝚊 𝚍𝚎́𝚌𝚘𝚞𝚟𝚎𝚛𝚝𝚎 𝚍’𝚞𝚗𝚎 𝚙𝚛𝚒𝚜𝚘𝚗 𝚊𝚋𝚊𝚗𝚍𝚘𝚗𝚗𝚎́𝚎. 𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚞𝚗𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚜𝚊𝚕𝚕𝚎𝚜, 𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚍𝚎́𝚌𝚘𝚞𝚟𝚛𝚎 𝚞𝚗 𝚓𝚎𝚞𝚗𝚎 𝚊𝚍𝚘 𝚜𝚞𝚜𝚙𝚎𝚗𝚍𝚞 𝚕𝚎𝚜 𝚋𝚛𝚊𝚜 𝚎𝚗 𝚌𝚛𝚘𝚒𝚡, 𝚝𝚘𝚛𝚝𝚞𝚛𝚎́. 𝚂𝚞𝚛 𝚜𝚘𝚗 𝚝𝚘𝚛𝚜𝚎, 𝚕𝚎 𝚗𝚘𝚖 𝚍𝚎 𝙲𝚕𝚎́𝚖𝚎𝚗𝚌𝚎...



L’idée n’était pas mal, ça partait bien avec une scène de crime pas très réjouissante, et une floraison de personnages qui auraient pu être attachants pour les uns, détestables pour les autres.



Sauf qu’on sait tous que la gentille Clémence n’a pas torturé ce pauvre garçon, et que le piège, personne n’y croit dès le début (ou alors, ils jouent très mal ce rôle). Les enchaînements sont très faciles, pas de réel suspense, les personnages en réalité clichés, les dialogues creux... À tel point que j’abandonne ma lecture, désappointée.



Pour les novices du thriller, pourquoi pas. A défaut d’une rediffusion d’un épisode de Julie Lescaut, cette lecture fera votre soirée. Mais pour les chevronnés du genre, passez votre chemin, vous risqueriez de trouver le temps long...

Ravages, un titre évocateur qui laisse libre cours à l’imagination.



Clémence est une photographe de renom et qui vit de sa passion. Elle est maman d’un garçon qu’elle aime plus que tout. Elle a des relations compliquées avec son ex-mari. Mais elle a une passion secrète : l’urbex. Faire des photos de lieux abandonnés, mais en leur donnant une tout autre dimension. Mais un jour, en visitant une prison abandonnée, une course-poursuite s’engage entre elle et un chien pas des plus sympa et Clémence doit s’enfermer dans l’une des geôles. Mais la première chose qu’elle voit, c’est un ado accroché à une croix avec un tatouage sur le ventre. Et pas n’importe lequel : CLÉMENCE. Son propre nom est gravé dans la chaire de ce jeune homme. Mais pourquoi ? Le piège s’est refermé et elle doit comprendre qui est derrière tout ça et pourquoi. Un début d’histoire qui commence bien et qui ne laisse aucun doute que ce roman est un thriller.



L’enfance de Clémence est importante tout comme sa vie d’adulte. Ses choix ont des conséquences, mais ce sont ceux de ses proches qui vont lui porter préjudice et qui vont l’embarquer dans une course-poursuite effrénée à la recherche de son ou ses persécuteur(s). Tout au long de sa quête, des indices seront semés, mais d’une façon plutôt « macabre » et il faudra les comprendre, les interpréter. Malgré tout, elle ne pourra pas faire cavalier seul et devra apprendre à faire confiance à une personne en particulier... Qui est-elle ? Lisez ce roman pour le découvrir.



Cette épopée entraîne le lecteur dans une course aux indices parsemée d’embûches et de découvertes qui déstabilisante. Je dois bien reconnaître que j’ai découvert une auteure de talent qui ne laisse pas de temps mort. Rebondissements, surprises, subtilité et énorme coup de bambou à la fin sont les ingrédients de cette histoire. La chute du roman nous démontre une fois de plus que le passé finit par revenir et nous tirer les orteils.



Lisa Carpentier est une auteure que je découvre et qui m’a fait passer un excellent moment. L’inventivité, l’imagination et la finesse de l’histoire m’ont donné envie d’avancer rapidement, car je voulais comprendre ce qui arrivait à Clémence ainsi qu’à Maxime est une victime. Tenir en haleine son lecteur et l’achever par un final détonant, c’est fort. Si vous êtes un fan de thriller bien ficelé où tout ne vous est pas dévoilé dès le début alors n’hésitez pas, foncez ce livre vous plaira. Quant au titre, il me fait penser aux conséquences des mensonges, des choses cachées qui ont été les déclencheurs de tous ses malheurs. La manipulation et la subtilité sont aussi de la partie.



Bon j’ai assez écrit et je vous laisse aller à la découverte de ce roman. J’espère pouvoir bientôt découvrir son prochain roman...

Merci encore pour ce moment de lecture.

Le commentaire de Carole : COUP DE COEUR!

Un titre qui ne pouvait mieux représenter ce roman. Notre principal personnage étant Clémence Duchesnay, qui se passionne spécialement pour la photographie des lieux historiques et abandonnés. C’est donc dans une vieille prison de Rennes que Clémence se présente et où une surprise de taille l’attend. Elle découvre le corps d’un jeune garçon suspendu, les pieds coupés et les extrémités brûlés affichant sur son torse le graffiti Clémence Duchesnay. Le suspense commence et nous tient en haleine jusqu’à la dernière page. Abasourdi et paniqué, c’est à ce moment, que Clémence commet une grossière erreur qu’elle va regretter par la suite. Fuyant la prison, elle n’a qu’un but découvrir qui est derrière ce scénario macabre. Vont se greffer à l’histoire, le commissaire Delambre, qui est un bon ami de Clémence qui va tout faire pour l’aider et la protéger, il y a aussi Sébastien Cantrel, commissaire de métier et l’ex de Clémence dont il partage la garde de leur fils, Quentin. Cantrel a une attitude déplaisante et pour des raisons que je vous laisse découvrir Clémence a bien fait de le laisser. Pour finir, il y a Déclat, un blogueur qui a communiqué avec Clémence sur Internet et qui pourrait lui aussi faire parti des suspects. Tout au long de l’histoire d’autres indices vont apparaître à Clémence qui la fera, à la fois paniquer et lui donner encore plus d’énergie pour découvrir le tueur qui a plus d’un mort à son actif. Un roman bien écrit avec une main ferme sans détails superflues, mais avec des rebondissements à répétition. Un thriller que je vous recommande.
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Je remercie Lison Carpentier pour m’avoir proposé de lire et chroniquer son roman « Ravages » dont le titre m’a interpellé me faisant de suite penser à Barjavel un auteur que j’adore. Pour le coup, le genre n’est pas le même puisque Lison Carpentier nous propose un thriller.

Ce roman a été particulier à lire pour moi car une scène au tout début m’a laissé perplexe et j’ai gardé ce goût amer en moi pendant toute ma lecture, ce qui fait que je n’ai-je pense pas apprécier ce récit à sa juste valeur.

En effet, dans ce roman, nous allons vivre à ses côtés, les ravages qui viennent pulvériser la vie de Clémence, une jeune femme divorcée, reporter photographique pour un magazine touristique, dont la passion est les photos de sites abandonnés comme cette prison rennaise où démarre l’intrigue de ce roman. Elle est aussi accessoirement, maman d’un ado Quentin. C’est justement dans cette prison que se déroule cette scène qui m’a vraiment dérangée tant pour moi, elle n’est pas envisageable. Sans spoiler puisque nous en sommes au tout début de l’histoire, je ne comprends pas comment une mère de famille pour échapper à d’éventuelles ennuis judiciaires ou causés par son tordu d’ex-mari commissaire au bastion, peut se résoudre à achever un enfant de 12 ans. D’autant que l’auteure aurait pu, je pense, nous l’épargner. C’est certainement un parti pris de sa part, une prise de risque assumée et il en faut, néanmoins chez moi, ça n’a pas matché.

Cela mis de côté, Lison Carpentier nous offre là un récit bien construit au suspens maîtrisé et nous tenant en haleine, des personnages qui même s’ils sont assez peu nombreux, nous amènent à beaucoup se questionner sur l’intrigue en étant sans cesse dans la recherche du rebondissement suivant. Elle nous fait également voyager entre Paris, la Bretagne et le Hainaut où se retrouvent les différentes victimes.

« Ravages » est un bon thriller à suspens qui me fera encore longtemps réfléchir à cette maman capable de tuer un jeune garçon… Sans oublier que dans la vraie vie certaines mamans sont capables d’ôter la vie à leurs propres enfants...


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Un thriller glauque et sanglant qui se partage entre la France et la Belgique et qui a pour toile de fond les égoûts de l'affaire Dutroux.



Il y a des scènes peu ragoûtantes mais la trame se tient et même si le lecteur n'a pas envie de croire à ce genre de versions, la réalité semble parfois démontrer qu'avec les humains, on n'est jamais au bout de nos peines ni des dépassements de l'incroyable mais vrai.



Un livre de 285 pages, rapide à lire. Idéal pour passer un bon moment.

Des idées prises un peut partout, club des 5, Daniele Steel, presse à scandale, Thilliez et autres stars du roman noir français, puis amalgamées sans vraisemblances ne font pas un roman. J'ai eu du mal à arriver au bout car la crédibilité morale et mentale des personnages varient suivant le récit, l'autrice espère que le lecteur va gober son histoire sans réfléchir. Ecriture basique voire banale, longueurs et digressions qui permettent de faire, théoriquement, de belles phrases, j'ai avancé péniblement vers la fin, survolée pour les 15/20 dernière pages. Dès le début çà déraille, Clémence, photographe professionnelle et fan d'urbex en privé, tombe, dans des circonstances rocambolesques, sur le corps d'un d'adolescent atrocement mutilés. Son nom est tatoué sur le torse de l'enfant. Que fait Clémence? Normalement elle prévient la police. Non! Elle laisse son appareil photo sur place, se précipité dans un commerce pour acheter de l'acide chlorhydrique afin d'effacer le tatouage. Comme le gamin réagit à la douleur de l'acide, elle prend une brique et lui assène un coup sur les cervicales afin de l'achever. Pour l'autrice Clémence est une victime. Evidemment l'appareil photo a disparu et des photos de la scène de crime vont être publiées sur le net. La très peu clémente Clémence va tout faire pour démontrer son innocence., quitte à tromper la police. Mais tout est bien qui finira bien. Sauf pour le lecteur qui se pose des questions sur ce qu'il lit.

Un premier roman prometteur qui respecte les codes du thriller à la perfection !



Sous une plume fluide et agréable à lire, on suit les traces de Clémence, une jeune maman passionnée d'urbex, ce loisir peu commun qui consiste à photographier des lieux abandonnés. Au cours d'une de ses "visites" dans une prison de Rennes, elle découvre un cadavre qui porte son nom gravé dans la chair. Elle comprend qu'elle est impliquée dans une affaire dont elle entrevoit toute l'horreur. Commence alors un jeu du chat et de la souris entre un dangereux criminel et la jeune femme qui fera appel au commissaire Delambre, ami de longue date, pour l'aider.



Le personnage de Clémence est ambiguë et bien développé, même s'il m'a parfois manqué l'expression de ses émotions autres que la peur ou le dégoût. Même s'il est dit qu'une certaine froideur fait partie de son caractère, cela rend ses réactions peu crédibles face aux horreurs qu'elle traverse sans discontinuer.



Le point fort de ce livre est, selon moi, qu'il n'y a aucun temps mort. Chaque chapitre nous révèle son lot de surprises et fait avancer l'histoire de manière dynamique. Alors que l'on croit que l'enquête touche à sa fin, une nouvelle s'ouvre au milieu du livre et nous replonge en plein tourment.



J'ai passé un très bon moment de lecture et ai adoré découvrir cette enquête aux thématiques originales et aux retournement de situations inattendus. Je vous le recommande vivement si vous êtes amateurs du genre !

J'ai terminé ce livre hier soir et j'ai apprécié certaines choses plus que d'autres mais de manière générale il est positif. J'ai totalement accroché au décor, original et parfait pour les films d'horreur. J'aime beaucoup le style de l'autrice, il est intense et addictif, je n'ai pas pu lâcher le livre, les pages se tournaient les unes après les autres. Beaucoup de rebondissements, de surprises et d'étonnement. Un thriller comme on aime, un peu sadique, très psychologique et aussi terrifiant par moments. Les personnages en revanche ne m'ont pas vraiment touché, ils sont là et ils font le travail c'est tout je n'ai pas vraiment réussi à les apprécier plus que ça. Je recommande ce livre à tous les fanas de thrillers.

Dans ce roman, nous suivons Lucie, maman et femme active, lasse et un peu dépassée par les événements et actes répétitifs de son quotidien.



L'autrice a choisi d'utiliser un narrateur, qui place ainsi le lecteur, en spectateur de l'histoire de Lucie.

Nous la suivons en alternance à son travail, son domicile et sous forme de souvenirs.

Je vais donc scinder mes impressions en plusieurs parties.





💼 Mes ressentis dans la partie professionnelle 💼 :



Après avoir mis un nom, sur la maladie de son fils, Lucie ne se sent plus à sa place dans son travail et tout se bouscule dans son esprit pour trouver le moyen de rester active, tout en étant présente pour accompagner son enfant !



L'autrice avec des descriptions courtes, nous permet de comprendre les questionnements de Lucie.

La dualité qui la tiraille entre sa part professionnelle et sa part maternelle !

On y ressent aussi, la mise en avant, de cet environnement toxique de collègues, qui portent leur jugement sur la vie personnelle, sans en connaître l'entière situation !



👪 Mes ressentis sur la partie familiale 👪 :



Ici, au travers de gestes du quotidien, Lucie se remémore des souvenirs, avec ses enfants. Elle se remet en question comme toute mamans, pour savoir si elle fait comme il faut, ou si elle aurait dû faire différemment.



L'autrice, en nous partageant ces tranches de vie, les pensées de sa protagoniste, des situations, nous emmène au fil de la lecture à un univers plus sombre, pesant, laissant présager un drame.

L'autrice y aborde la charge mentale, souvent portée par les femmes, mais qui peut aussi toucher les hommes.

Cette partie, la plus riche en émotions, m'a emportée.



🤯 La révélation 🤯



Dans la dernière partie du texte, l'autrice nous donne d'autres indices, ceux-ci m'ont mis sur une nouvelle piste, qui s'était avérée juste, en partie.

L'ambiance est digne d'un thriller psychologique, car tout se mélange, s'accélère et nous emporte dans le tourbillon de l'histoire.

Puis, tout prend sens, lors de la révélation choc et bouleversante finale...



La plume accessible, le rythme, le choix de la narration rendent le récit intense, immersif.

L'auteure par ses mots a su faire ressortir toutes les émotions de sa protagoniste et me donner l'impression que je le vivais aussi !

Ce livre aussi magnifique, que terrible, mérite d'être lu !

Cependant, préparez vos mouchoirs ! Mon cœur de maman a été profondément touché par cette histoire !



Merci pour la découverte de votre plume !

Séisme, c’est la déflagration interne qui détruit tout, c’est quand une mère subit une charge mentale à son paroxysme, c’est quand un père de famille brille par son absence, c’est au final un récit tristement banal, mais important !



L’autrice nous raconte, en quelques pages seulement, l’histoire de Lucie Vernois, une mère de famille qui mène tout de front, ses enfants, sa maison bien tenue, sa carrière, tout est organisé au mieux pour que personne ne manque de rien et puis ce n’est pas ce qu’on attend d’une mère ?



Mais quand on diagnostique un trouble sévère de l'attention à son ainé qui doit être suivi, c’est toute sa machine bien huilée qui est menacée. On suit alors les pensées de Lucie, ses questionnements, ses inquiétudes pour sa carrière notamment, ses idées préconçues de ce qu’on attend d’une mère, sa culpabilité de ne pas être à la hauteur (bien évidemment), mais surtout cette absence criante du père.



C’est un crève-cœur que de suivre ce périple qui ne présage rien de bon.



Merci à Lison Carpentier de mettre en lumière ce dysfonctionnement familial banalisé, voir pire, accepter par la société. La charge mentale fait des ravages et ces quelques pages en sont un bon exemple.
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Clémence est une photographe passionnée d'exploration urbaine, elle se lance seule à la découverte d'une prison abandonnée.

Une très mauvaise surprise l'attend... Un enfant suspendu les bras en croix a été torturé et le nom de clémence est écrit sur son torse.



Pourquoi, et qui voudrait la mêlée à ce cruel horrible ?



Clémence va être aidée son ami Commissaire Pierrick, mais ce n'est pas tout son fils va être enlevé elle doit tout abandonner pour partir à sa recherche.



L'écriture est extrêmement fluide, l'histoire est très prenante et pas beaucoup de répit.

J'ai eu beaucoup d'interrogations pour essayer de démêler tout ça et croyais moi ça n'a pas été simple puisque'il m'a fallu terminé le livre pour trouver le fils conducteur.

Beaucoup de fausses pistes, un suspense réussi haut la main même si l'histoire pour moi a été du déjà vu, ça ne m'a absolument pas gênée.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Clémence et l'ambiance.

Un premier roman que j’ai trouvé très sombre, voire trop, pour que je puisse en apprécier pleinement les divers rebondissements.

Attirée au départ par le quatrième de couverture, j’ai rapidement déchanté dès les premiers choix de l’héroïne, à laquelle je n’ai malheureusement pas réussi à m’adapter. Privilégiant l’action à la réflexion, j’ai trouvé que l’histoire partait un peu trop dans tous les sens et que le final, bien que surprenant, est tombé comme un cheveu sur la soupe tout en ayant comme une arrière gout de déjà vu.
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Ce roman a eu le prix des Lecteurs 2020 de France loisirs

C’est, je pense, le premier roman de l’auteure, en tout cas, le premier édité et félicitations



Je l’ai lu sans pouvoir le quitter. J’ai été totalement conquise par cette lecture



Quand j’ai lu le premier chapitre, je ne savais pas si j’étais réellement prête à me plonger dans un thriller à nouveau. Dès les premières pages, on est mis dans le bain. C’est violent, sanglant, terrifiant. Mais comme je déteste ne pas aller au bout de ma lecture, je l’ai continué



Je l’ai adoré, j’ai été surprise du début à la fin, impressionnée même ! J’avais l’impression de lire un thriller de Karine Giebel. Je me suis attachée aux personnages, surtout à Clémence, j’avais cette envie d’aller plus loin dans ma lecture pour connaître son histoire, son enfance, ce qu’elle a vécu car on la découvre comme une femme un peu blessée par la vie mais qui continue à vivre malgré tout. Un thriller à couper le souffle

Ma libraire m avait indiqué que certains passages étaient plutôt noirs. Effectivement elle n'a pas menti. Ce roman montre par moment ce qu'il y a de plus vile dans l'esprit humain. On arrive néanmoins à s'identifier à l'héroïne, principale, Clémence, qui est à la fois, attachante, torturée, sensible, à fleur de peau. Au fil du roman , les révélations sur sa jeunesse ne font qu'alourdir l'ambiance de cette histoire. Une véritable réussite pour un premier roman. Ames sensibles, accrochez vous...Cette auteure le mérite

Merci à Lison Carpentier pour ce service-presse.

Voici un roman policier dans lequel j'ai joué les yoyos émotionnel.



Après une entrée en matière intéressante, un événement, qui je l'avoue m'a paru tout à fait invraisemblable, m'a un peu bloquée dans la poursuite de ma lecture.

Mais ne l'oublions pas ceci reste une histoire tout droit sortie du cerveau quelque peu "torturé" de son auteur.

Certaines scènes un peu brutales, m'ont aussi interloquée.

Pourtant tout ceci n'est que mon ressenti de lectrice.

En dépit de tout cela, malgré ces quelques "imperfections" dans la trame, et bien je suis contente d'avoir poursuivi ma lecture.



Clémence cette photographe, fan d'urbex et héroïne bien involontaire de cette histoire, nous transporte avec elle dans cette enquête, je le reconnais peu habituelle. Moi j'aime les nouveautés, les romans qui sortent des sentiers battus.

Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'ici on va de rebondissements en surprises.

Lorsque qu'en effet je pense avoir trouvé le coupable et bien bim !!!!

Tu t'es trompé ma fille, c'est pas lui.



Mais j'ai angoissé aussi pour Quentin, pour Maxime.

Quoi? Vous voulez savoir ce qui s'est passé? qui sont- ils ? Tss tss tss moi je sais tenir ma langue.

À vous de venir les rencontrer.



Une histoire bien ficelée, qui malgré ses petits défauts, ( mais qui n'en a pas) a su me captiver. Elle est bien écrite, l'auteur a une très jolie plume et une imagination débordante.



Alors un petit conseil, venez découvrir l'histoire de Clémence, vous verrez vous ne le regretterez pas.

Attention toutefois, âmes sensibles s'abstenir.
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Clémence Duchesnay, trentenaire divorcée, partage sa vie entre son métier de photographe, son fils Quentin et sa passion pour l’exploitation urbaine. Au cours d’une énième exploration dans l’ancienne prison de Rennes, elle découvre un garçon de l’âge de son fils qui agonise. Sur le torse du jeune homme est gravé le nom de Clémence. Pour ne pas être incriminée, Clémence va commettre l’irréparable.

Voilà pour le lancement de l’intrigue ; je n’irai pas plus loin dans le résumé pour ne pas vous dévoiler le moindre détail de cette intrigue haletante.



L’histoire compte assez peu de personnages et c’est plutôt plaisant.

Clémence Duchesnay donc, le personnage principal. J’ai eu du mal à la cerner : qui est-elle vraiment ? Comment fonctionne-t-elle ? Elle est nébuleuse, à tel point que je n’ai pas réussi à m’attacher à elle. Dès le début du roman, après sa rencontre avec l’enfant à la prison de Rennes, on comprend qu’on a à faire à un personnage particulier.



Son ex-mari, Sébastien Cantrel, Commissaire de police apparait comme un personnage odieux. Il est assez peu présent dans le roman même s’il tient un rôle important, sur le fond.



Pierrick Delambre, son amant, également policier, ne va cesser de croire en elle, malgré les apparences qui ne jouent vraiment pas en sa faveur. J’ai trouvé qu’il était le personnage le plus attachant du roman.



Ravages est un vrai bon roman, d’une qualité incroyable pour un premier roman. Avec une intrigue originale, Loison Carpentier nous embarque dès les premières lignes. L’ambiance est plutôt glauque mais c’est aussi ce qui m’a plu. Le rythme est haletant grâce aux nombreux rebondissements, le style est fluide. Le récit est bien construit, le suspens est maintenu tout au long du roman et ce jusqu’aux dernières pages. Il n’y a pas (ou peu) de longueurs.



Pourquoi j’ai choisi ce roman : J’ai découvert Loison Carpentier grâce aux réseaux sociaux, via ses chroniques littéraires, toujours justes. La couverture de son roman ne m’a pas laissée indifférente : simple et efficace.



Pour résumer : n’hésitez pas à aller le découvrir, vous ne serez vraiment pas déçus. Pour ma part, j’attends son prochain roman avec impatience !