Quand on l'observait attentivement, on voyait M. Watts s'enfoncer en lui-même. Il fermait les yeux, comme pour tenter de saisir des mots aussi ténus que des étoiles lointaines. Jamais il ne forçait la voix. Ce n'était pas nécessaire. Les seuls autres bruits provenaient du feu, de la mer et des animaux nocturnes qui s'éveillaient dans la jungle, et eux aussi se taisaient en l'entendant. Même les arbres étaient attentifs.