Il s'agit de passer de la collapsophobie à la collapsosophie, car rester prisonnier de ses peurs condamne d'une part l'individu à rester dans l'inaction et menace d'autre part l'humanité à vivre des jours très difficiles. Nous pouvons canaliser nos peurs afin qu'elles nous poussent à agir positivement. Il est en effet possible de les convertir en action et de fonder une espérance, l'espérance d'un monde métamorphosé pour le meilleur plutôt qu'effondré pour le pire.